Le 4 mai, la Commission européenne a proposé au Conseil européen d’instaurer « une contribution de solidarité » pour tout État qui refuse de recevoir le quota d’envahisseurs qui lui est attribué automatiquement.
Selon le mécanisme imaginé par les traîtres de Bruxelles, chaque pays de l’Union se verrait attribué un quota de répartition de référence, théorique, (exprimé en pourcentage du total des demandes d’asile), selon sa taille, son PIB et ses « efforts » pour accueillir des demandeurs d’asile. Si un afflux massif de demandeurs dans un pays a pour conséquence qu’il fait face à plus de 150% de son quota de référence, le « mécanisme d’équité » serait déclenché. Cela entraînerait automatiquement des obligations d’accueil des pseudo-réfugiés dans les pays qui sont, eux, en dessous de leur quota et la mise en œuvre de la « contribution de solidarité » en cas de refus d’accueil des envahisseurs.
Cette « contribution » est en réalité une véritable amende qui pourra s’élever à hauteur de 250 000 euros par « migrant » refusé par le pays concerné. Il s’agit donc bel et bien d’imposer à toute l’Europe le saupoudrage d’envahisseurs par le biais de ces quotas obligatoires sanctionnés financièrement. Et un responsable européen a même confirmé : « Le montant de la contribution pourrait changer, mais l’idée est de la faire ressembler à une sanction ».
Certains pays, notamment la Pologne, la Slovaquie, la Roumanie, la Hongrie, qui refusent d’accueillir des demandeurs d’asile, se sont déjà déclarés opposés à cette proposition.