Lorsque les responsables politiques occidentaux prétendent qu’ils ignorent ce qui se prépare derrière leur dos, ils propagent un discours enrobé de mensonges bien élaborés qui prouve, une fois de plus, leur connivence avec l’islam. Affirmer que l’islam n’est pas l’auteur de la barbarie qui nous frappe est un déni de réalité qui n’honore pas encore une fois, l’oligarchie politico-médiatique occidentale qui participe activement à l’islamisation de l’Europe.
Lorsque certains hommes d’État européens de haut niveau fondent en larmes devant les caméras du monde entier après les attentats de Bruxelles, nous pouvons comparer cela un aveu d’impuissance et de compromission, leur méconnaissance de l’ennemi n’est plus à démontrer car inconsciemment, elle est devenue l’alliée de l’islamisme, fournissant par la même un véritable alibi à l’islam conquérant.
En se donnant à un tel spectacle à la limite du pitoyable, ces hommes d’état démontrent une fois de plus que l’Union Européenne est une coquille vide, sans consistance, devant les attaques de l’islam se foutant éperdument des lamentations stériles, parce qu’il a compris que face à lui, il y a des hommes et des femmes sans conviction qui n’ont pas le courage de le combattre et qui préfèrent s’agenouiller tout en essayant de se justifier au lieu de relever le défi que l’islam leur lance.
Ce n’est pas en niant l’existence de l’islamisme barbare et en refusant le combat que l’Occident gagnera la guerre qui frappe à ses portes, bien au contraire, en adoptant un profit bas, l’Occident mercantile prouve qu’il est une proie facile pour l’islam. En se couchant devant l’Arabie Saoudite et le Qatar, « véritables sponsors de la terreur islamique », il prouve qu’il est désarmé pour contrer les attaques djihadistes. L’occident est devenu vulnérable parce qu’il n’a plus la capacité morale de prendre l’initiative.
Retenu par une repentance et surtout par le dogmatisme des droits de l’homme, l’Occident finira un jour ou l’autre dans les nasses de l’islam car ce n’est pas en restant passive face à l’agression de l’islam sunnite qui ne se gêne pas de lui porter des coups mortels au nom du djihad, sur son propre territoire que l’occident sortira vainqueur de cette guerre. Il est évident que depuis plus de mille quatre cent ans, l’islam s’est donné comme mission de soumettre l’humanité à son Dieu et ce n’est pas aujourd’hui qu’il s’est fait une place en Occident qu’il renoncera à son projet despotique.
Une multitude de pleureuses professionnelles et de soi-disant experts de l’islam se sont succédé sur les plateaux de télévision pour expliquer qu’il y a une différence entre l’islam et l’islamisme après les attentats de Bruxelles. Car, plus un mensonge est gros, plus il passe mieux et permet à l’oligarchie régnante de redorer son blason.
En Europe, et particulièrement en France, « l’imposture droit-de-l’hommisme » est devenue un vecteur destructeur de la civilisation helléno-chrétienne, devant cette de soumission avant l’heure, les occidentaux tremblent face à l’agression islamique.
Les Européens ne sont plus en capacité de résister à l’islam parce que « l’émasculation mentale » voulue par les tenants du pouvoir a détruit leur résistance légendaire. Et dans peu de temps, s’ils ne se réveillent pas de leur sommeil, ils subiront le même sort que tous les peuples sous domination islamique. Nier cette évidence, c’est préparer à ses enfants, l’installation d’un futur Dar El Islam européen où régnera le chaos islamique.
François Palaffittes
Effectivement, on peut parler d’une oligarchie oligophrénique politico médiatique occidentale.
L’invention de Satan :
I. Les Droits de l’homme
L’idéologie des Droits de l’homme, le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes et la démocratie comme régime politique sont les trois instruments de domination de la révolution… par le mensonge !
La Révolution moderne, inspirée par les Droits de l’homme, édifiée sur les ruines de la Chrétienté, prétend établir, en effet, l’égalité entre tous les hommes, leur redonner la liberté, et instaurer la fraternité comme le ressort héroïque de la société nouvelle. En fait, selon le dessein secret des puissances financières et idéologiques qui mènent le monde, la sujétion des peuples sera totale, implacable.
1. Selon cette théorie, universellement répandue aujourd’hui, l’homme se voit reconnu le droit de se gouverner et de participer au gouvernement du monde par ses propres lois. L’autorité à tous ses degrés n’est que la représentation de la liberté individuelle, les gouvernements ne sont que les mandataires du peuple souverain, seul législateur ; l’État n’est, ne veut, ne peut que ce que le peuple veut.
La Révolution instaure la démocratie, le régime politique et social où le droit de chacun est porté à son plus haut degré de puissance. Elle proclame, honore et défend les droits de tout homme à qui elle n’impose aucun devoir que son sentiment de la solidarité humaine ne lui fasse vouloir avec enthousiasme. Ainsi l’homme y est comme Dieu, souverain, maître de lui-même et du monde. C’est l’Humanisme apparent de la Révolution moderne, qui met l’homme à la place de Dieu.
2. En réalité, la Révolution moderne livre les pauvres hommes et les peuples désarmés au totalitarisme sans limites d’une race, d’une classe, d’un parti que Dostoïevski appelait d’un nom prémonitoire, « les Possédés », plus exactement « les Diaboliques ». C’est son Antihumanisme réel. En effet, la théorie de la Révolution est nécessaire et universelle ; elle ne souffre ni exception ni retard ni ménagement. Le pouvoir doit déclarer les Droits de l’homme dans l’absolu et veiller à ce que rien ne s’y oppose. Ainsi le pouvoir s’en trouve-t-il armé d’une formidable puissance et d’un rôle universel d’intervention constante dans la vie publique et privée, pour tout soumettre, actions, intérêts, convictions, à l’idéologie destructrice de l’ordre chrétien.
Une énorme machine répressive est mise en place sur les ruines des inégalités, des libertés, de l’ordre ancien : un appareil administratif, policier, carcéral au service de la classe de ceux qui détiennent le pouvoir ou qui savent s’en servir à leurs fins.
Le phalangiste a la Révolution moderne en horreur, parce qu’elle conduit l’humanité soit aux abattoirs de l’univers concentrationnaire, soit à la misère de peuples déracinés, désenchantés, désespérés. On songe à la vision de la petite Jacinthe de Fatima : « Ne vois-tu pas tant de routes, de chemins et de champs pleins de gens qui pleurent de faim et n’ont rien à manger ? »