L’accusation a requis trois ans de prison, lundi 6 juillet, contre Bruno Dey, ancien gardien de camp de concentration. En effet l’Allemagne de 2020 continue de juger des vieillards de plus de 90 ans, plus de 75 ans après les faits, pour complaire à la soif de vengeance du lobby du « petit peuple qui a beaucoup souffert »…
Boulanger à la retraite, poussé sur un fauteuil roulant par un infirmier, Bruno Dey, 93 ans, était un garde SS en avril 1944 et avril 1945 du camp de Stutthof, situé à 40 km de la ville de Gdansk, aujourd’hui en Pologne. Il est jugé à Hambourg depuis octobre 2019 pour complicité du meurtre de 5230 prisonniers – 5000 en « créant et maintenant des conditions qui mettent la vie en danger », 200 par gazage et 30 d’une balle dans la nuque.
Même si les crimes étaient avérés, Bruno Dey était alors âgé de 17 ans au moment des faits et on peut vraiment douter qu’il ait eu quelque pouvoir de les empêcher ou de refuser les ordres…
D’ailleurs, depuis le début du procès, comme durant l’enquête, Bruno Dey n’a pas nié avoir été gardien mais il assure avoir été obligé d’y travailler. « Je ne me sens en rien coupable pour ce qui s’est passé à l’époque », avait-il lancé le 20 mai lors d’une audience. « Je n’y ai en rien contribué autrement que par le fait d’être garde », s’était-il défendu. Ses avocats affirment qu’il n’a pas rejoint volontairement les SS dans le camp mais y fut affecté car sa santé ne permettait pas de le mobiliser au front.
« Il n’y a aucun doute » sur la culpabilité de l’accusé, qui a « agi intentionnellement », a estimé lundi le procureur Lars Mahnke, qui a requis une peine de trois ans de prison. Pour le procureur, l’accusé a bien participé à un « génocide », à un « massacre organisé par l’État » auquel il avait le choix de se soustraire en « descendant de la tour, remettant son fusil et déclarant qu’il ne pouvait pas continuer ». L’accusation juge que l’accusé a été un rouage essentiel de la « solution finale » nazie visant les Juifs. Risibles billevesées…
Mais l’aveu tombe en suivant de la bouche du même procureur :
« La justice devait envoyer un signal d’avertissement clair à tout le monde, même 75 ans après. »
Il faut bien satisfaire l’appétit de vengeance terroriste du Baal-Moloch juif, toujours fringant 75 ans plus tard ! Car il s’agit bien d’un « terrorisme intellectuel » visant à interdire aux Allemands à relever la tête et à faire impression sur les autres peuples d’Europe qui auraient des velléités de se libérer du joug du judaïsme politique : « Que nul n’en ignore, nous vous poursuivrons de notre vindicte jusqu’à ce que mort s’en suive… »
Et puis aussi pour continuer à justifier un peu les réparations et indemnisations versées à la pustule du Proche-Orient, l’État juif, et à toutes ses tentacules décentralisées dans le reste du monde.
Ainsi, ces dernières années, l’Allemagne a jugé et condamné plusieurs anciens SS pour complicité de meurtre, illustrant la sévérité tardive de cette pseudo- justice instrumentalisée.
Et pour pouvoir continuer à alimenter l’hystérique machine à poursuivre et condamner du « nazi », parquets et tribunaux allemands ont élargi aux gardiens de camps le chef d’accusation de complicité de meurtre, auparavant réservé aux personnes qui occupaient des postes élevés dans la hiérarchie ou directement impliquées.
Le cas le plus emblématique fut la procédure engagée contre John Demjanjuk. Ancien gardien du camp d’extermination de Sobibor, il écopa en 2011 d’une peine de cinq ans de prison. Il mourut en 2012 avant son procès en appel.
Le verdict pour Bruno Dey sera rendu le 23 juillet. Mais l’Allemagne continuera bien sûr de se déshonorer : il y a encore une vingtaine d’affaires de ce type en cours d’instruction dont une dizaine concernent le seul camp de Sachsenhausen.
François Mitterrand avait dénoncé en son temps ceux qui voulaient entretenir la haine..
C’est toujours autant d’actualité !
https://youtu.be/owFF0K9-jcs
Merci pour cet article. L‘Allemagne d‘aujourd‘hui est vraiment, 75 ans après la défaite totale, au plus bas. Eine Schande!
Mon avis est que lorsque tous les protagonistes de cette époque seront morts, les arrières petits fils de continueront de toucher des indemnités et feront exhumer des cadavres pour des recherches ADN. Peut être qu’ils chercheront à faire condamner les enfants et petits-enfants des gardiens de square.
Comme vous êtes aujourd’hui sensés le savoir, la clause secrète du traité de Yalta a mis sous domination l’Allemagne, même réunifiée et libérée à présent de trois de ses « vainqueurs », jusqu’en 2045, soit cent années à partir du 8 mai 1945. Mais de ce jour la « dénazification » sauvage des Allemands a laissé aussi des traces indélébiles de vengeance de ce grand peuple que l’immigrationnisme criminel de la communiste Merkel ne saura faire oublier. DüA !