Un déluge de coups de feu s’est abattu sur la police américaine le 7 juillet au soir à Dallas, au Belo Garden Park, un jardin public de la ville, lors d’une manifestation de racistes noirs reprochant aux forces de l’ordre d’avoir tiré mortellement sur deux hommes de couleur. Une célèbre série télévisée des années 1980 évoquait dans son générique Dallas et son « univers impitoyable ». Jamais l’expression n’a été aussi pertinente pour décrire le carnage qui a eu lieu il y a quelques jours dans cette ville du Texas. 11 agents de police ont en effet été la cible de coups de feu, cinq policiers ont été tués, dont deux membres du département de police de Dallas et un agent du DART (Dallas Area Rapid Transit, la société de transport urbain de la ville) et six autres ont été blessés. Les media qui ont rendu compte de l’événement se sont bien gardés de mettre en évidence le racisme, pourtant là bien réel et revendiqué, du principal tireur, Micah Johnson, un ancien soldat afro-américain de 25 ans qui soutenait des groupes séparatistes noirs prônant la haine raciale. Selon le chef de police de Dallas, David Brown, l’homme avait planifié d’abattre des policiers bien avant la mort de deux Noirs sous les balles des forces de l’ordre.
L’homme fanatisé avait planifié la tuerie et « avait d’autres projets » au vu de l’arsenal de guerre retrouvé chez lui, a également affirmé le chef de la police locale sur la chaîne CNN. Les forces de l’ordre ont en effet retrouvé à son domicile à Mesquite, dans la banlieue de Dallas, du matériel pour fabriquer des bombes, des fusils, des munitions, et un carnet de tactiques de combat. « Le suspect avait pratiqué la détonation d’explosifs et le matériel était suffisamment important pour avoir des effets dévastateurs dans la ville et dans la région nord du Texas », a également précisé David Brown. Pendant sa confrontation avec la police pendant laquelle il n’a accepté de ne parler qu’à un policier noir (qu’aurait-on dit si un blanc avait agi pareillement ?), l’homme a tenu des propos d’une haine torride : « il nous mentait, nous faisait marcher, se moquait de nous, chantait et demandait combien de policiers il avait eus, disait qu’il voulait en tuer davantage et qu’il y avait des bombes. La négociation ne progressait donc pas du tout car il était déterminé à tuer d’autres policiers et, sans notre action, il en aurait tué d’autres » a expliqué le chef de la police, Johnson ayant été finalement tué par une bombe activée par un robot.
Alors que ce fanatisme anti-Blancs porté à un degré de sauvagerie inouïe devrait alarmer tout un chacun, les media n’ont eu de cesse de minimiser, sinon d’excuser cette tuerie en affirmant d’une part que les Noirs étaient en effet davantage victimes de la police et d’autre part que le problème, c’était surtout la question des armes en vente libre aux Etats-Unis. Un raisonnement doublement spécieux : beaucoup de Blancs sont tués par la police outre-Atlantique sans que cela n’émeuve particulièrement les media mais dès qu’il s’agit d’un Noir on suspecte le racisme des forces de l’ordre, ce qui est insupportable. Il s’agit quasiment toujours de légitime défense, les personnes tuées étant armées et menaçant la police qui a là-bas, il est vrai, la gâchette plus facile qu’en France.
De plus, l’on compte beaucoup de Noirs dans la police américaine et il est donc absurde de penser que ces Noirs laisseraient leurs collègues leucodermes tirer sans raison sur leurs frères. De plus, comme l’expliquent nos rédacteurs en pages 2 et 3, les Noirs sont très majoritairement tués par d’autres Noirs aux Etats-Unis. Enfin, s’agissant des armes à feu, si l’on en interdit la vente, les honnêtes gens seront désarmées mais les délinquants et les assassins, eux, en disposeront toujours sans difficulté. C’est donc une fausse bonne idée.
Les principaux responsables de cette tuerie, disons-le franchement, ce sont les grands media qui poussent à la haine, mettent de l’huile sur le feu, excitent les antagonismes mortifères en surmédiatisant les faits divers où des policiers tirent sur des délinquants ou criminels de couleur armés et surtout en présentant ces événements comme la preuve du racisme, de la brutalité voire de la sauvagerie de la police américaine. Cela ne peut évidemment que nourrir les haines d’esprits faibles, envieux et revanchards. L’antiracisme professionnel et unilatéral qui n’est en réalité qu’une forme de racisme à l’égard des Blancs, qui vise à les culpabiliser, à les tétaniser, à les traiter comme des suspects perpétuels selon les principes révolutionnaires de 1793, comme des criminels en puissance, à les conduire à être toujours sur la défensive et à finalement accepter l’inacceptable, à cultiver la haine de soi est une machine à déclencher la guerre civile. L’antiracisme idéologique produit et nourrit paradoxalement le racisme le plus brutal.
Cette tuerie préméditée, sauvagement exécutée et appelée hélas à se répéter montre aussi l’importance de l’homogénéité ethnique d’une société, d’une nation. Qu’on le veuille ou non, et même si l’on prétend aujourd’hui le contraire, les races existent. La conscience de race aussi. Vouloir nier cette réalité, au nom de l’idéologie, dans la volonté de donner naissance à un monde universellement métissé, c’est se préparer des lendemains qui déchantent, c’est ouvrir la voie aux pires catastrophes. Et comme le Blanc est sans cesse culpabilisé depuis 1945, et plus encore depuis les années soixante et que l’on a appris aux jeunes Occidentaux à mépriser ce qu’ils sont, d’où ils viennent, que l’on a tué dans l’œuf leurs défenses immunitaires, que l’on a présenté leurs aïeux comme d’infâmes esclavagistes, de vils colonisateurs et d’épouvantables organisateurs de génocide, il est permis d’être très inquiet pour l’avenir. Non seulement aux Etats-Unis mais également en Europe et au-delà dans tout le monde blanc (qui est d’ailleurs de moins en moins blanc, y compris en Australie et en Nouvelle-Zélande). Ne sera-t-on pas tué demain dans la rue simplement parce que l’on est Blanc ?
Le monde que l’on nous prépare, c’est celui de l’équipe de France de football où plus de 60 % des joueurs est de couleur et où chaque footballeur porte obligatoirement sur son maillot la mention RESPECT de la Licra-Sports. Ce n’est pas la FIFA qui dirige en réalité le jeu du ballon rond, c’est la LICRA-Sports ! Et selon cette association communautariste considérer que 60 % de Noirs dans l’équipe de France de football c’est quand même beaucoup, c’est déjà du racisme, cela mérite des sanctions judiciaires. Voilà comment l’on est empêché de s’opposer à cette politique d’anéantissement du Blanc, de sa mise en servitude, sauf à subir les foudres de la LICRA et donc des pouvoirs publics qui lui sont soumis, droite et gauche confondus.
Seul petit rayon de soleil : cette équipe multiraciale, très médiocre, a perdu en finale dimanche soir face à un valeureux Portugal pourtant privé de Ronaldo. La victoire de l’équipe de Didier Deschamps devait redorer le blason de Hollande et de Valls, comme la victoire de l’équipe black-blanc-beur lors de la coupe du monde en 1998 avait fortement profité à Chirac. Fort heureusement ce ne fut pas le cas. Par les temps qui courent, contentons-nous de ces petites éclaircies. […]
Suite de l’éditorial de Jérôme Bourbon dans le Rivarol du 13 juillet 2016