Après diverses péripéties judiciaires et recours, le Parlement britannique a adopté définitivement le 23 avril dernier une loi Safety of Rwanda (« Sûreté du Rwanda ») permettant au gouvernement d’expulser vers ce pays d’Afrique de l’ouest (ancienne colonie allemande puis belge) des extra-européens arrivés au Royaume-Uni illégalement.
Un porte-parole du gouvernement de Rishi Sunak, le millionnaire hindou (il a prêté serment sur la Bhagavad-Gita lorsqu’il était devenu membre du Parlement) Premier Ministre depuis octobre 2022, a confirmé :
« Nous sommes désormais en mesure d’envoyer des demandeurs d’asile au Rwanda dans le cadre de notre partenariat pour la migration et le développement économique. Cet accord permet aux personnes sans statut d’immigration au Royaume-Uni d’être relocalisées dans un pays tiers sûr où elles seront aidées à reconstruire leur vie »
Le gouvernement britannique espère ainsi remigrer au Rwanda « d’ici la fin de l’année » un premier groupe de 5 700 « demandeurs d’asile » qui ont été sélectionnés parmi les envahisseurs clandestins entrés illégalement au Royaume-Uni par la Manche entre début janvier 2022 et fin juin 2023.
Selon Le Monde : « ce projet d’expulsion des clandestins vers le Rwanda a été annoncé il y a deux ans par Boris Johnson, alors premier ministre, mais a été bloqué par la Cour européenne des droits de l’homme, puis par des recours judiciaires et une bataille longue de plusieurs mois au Parlement ».
La nouvelle loi finalement adoptée vise à expulser et relocaliser ces clandestins arrivés illégalement (d’où qu’ils viennent) au Rwanda, qui examinera leur demande d’asile. Quelle que soit l’issue, ils ne pourront pas revenir au Royaume-Uni : la loi prévoit que le Rwanda est « un pays sûr » (selon la législation droits de l’hommiste en vigueur sur le continent européen) et qu’en conséquence le gouvernement pourra outrepasser d’éventuelles injonctions de la Cour européenne des droits de l’homme visant à empêcher les expulsions.
La loi est adossée à un nouveau traité entre Londres et Kigali (une sorte d’accord de sous-traitance de l’immigration) qui constitue une première en Europe. Les illégaux remigrés par Londres ne pourront réclamer l’asile que depuis le sol rwandais et tout remigré envoyé à Kigali n’aura plus jamais le droit de revenir en Angleterre. Une sorte de délégation totale des responsabilités du Royaume-Uni vis-à-vis de l’asile.
Ce système de sous-traitance hors du continent européen constitue donc un embryon de processus de remigration dont il reste évidemment à observer son fonctionnement effectif et son efficacité. Le pari n’est pas gagné, son succès dépendra de la volonté des autorités politiques anglaises de le mettre en œuvre et de lui allouer les moyens nécessaires à son fonctionnement (le projet devrait à terme coûter au moins un demi-milliard de livres au Royaume-Uni pour que le Rwanda accepte de prendre en charge sur son territoire les clandestins arrivés au Royaume-Uni.
Il pourrait aussi constituer une forte dissuasion pour tous les envahisseurs d’Asie, d’Afrique ou du Maghreb pour lesquels le Royaume-Uni a été jusqu’à présent attractif. Reste un bémol : le système élaboré par le gouvernement anglais ne supprime pas d’éventuels recours des clandestins devant les juridictions anglaises pour contester leur remigration vers le Rwanda. Rishi Sunak affirme avoir déployé un arsenal juridique permettant d’étudier rapidement les éventuels recours : 150 juges dans 25 cours de justice, et plus de 2 000 places en détention.
Néanmoins, l’élaboration et la mise en place de ce système, véritable embryon de remigration, répétons-le, n’a été rendu possible que par le Brexit. En quittant l’Union européenne le 31 janvier 2020, le Royaume-Uni s’est extrait du carcan des règles anti-souveraineté et droits de l’hommiste édictées par l’Union européenne dont le dernier état, le Pacte sur les migrations et l’asile, ne manifeste aucune volonté politique européenne d’endiguer le flux d’envahisseurs extra-européens vers notre continent. Et qui, bien au contraire, organise leur implantation-enracinement sur le territoire de l’un ou de l’autre des pays de l’Union européenne, entre autre par la contrainte financière d’une amende de 20 000 € par envahisseur refusé par un État.
Sortir de l’Union européenne constitue la seule voie pour redevenir maîtres chez nous, recouvrer notre indépendance et notre souveraineté pour prendre à bras le corps le problème de cette immigration-invasion qui submerge la France, villes comme campagnes.
C’est le sens du programme de la liste d’unité nationaliste Forteresse Europe conduite par Pierre-Marie Bonneau aux élections européennes du 9 juin prochain dont le programme contient :
- la Sortie de l’Union Européenne qui permettra l’arrêt complet des flux migratoires avec l’annulation des accords de Schengen et le retour à des frontières sécurisées…
- un grand recensement de la population, incluant les critères ethniques et religieux, afin d’engager une politique humaine de remigration commençant par l’expulsion des immigrés en situation irrégulière, des coupables de crimes et délits, puis les autres sous couvert d’accords bilatéraux avec les pays d’origine…
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Si la présence d’une liste « FORTERESSE EUROPE » est utile, ce n’est pas – c’est hélas l’évidence ! » dans l’espoir d’avoir des députés à Bruxelles, ce qui n’est pas dans nos moyens !
C’est parce que participer à cette farce électorale nous permet de toucher plus largement le public et de donner une audience à nos valeurs et à nos buts.
Mais encore faut-il que notre argumentaire aille à l’essentiel : rappeler à ce public assailli de mensonges par la clique politico médiatique, non pas ce que nous ferons, MAIS POURQUOI NOUS DEVONS LE FAIRE !
Un « pourquoi » qui est dissimulé à nos peuples et qui a un nom : GENOCIDE !
Ce génocide perpétré au niveau planétaire au détriment de l’ensemble des peuples d’origine Européenne et contre lequel NOUS SOMMES LE SEUL OBSTACLE !
Raison pour laquelle chacun de ceux auxquels nous aurons permis de comprendre ce qui les menace
pourra revendiquer EN TOUTE BONNE CONSCIENCE la fin du processus de grand remplacement par les flux migratoires, qui est l’un des éléments de ce génocide.
Quant à quitter l’Union Européenne ?
L’Union Européenne est une galère dont les gardes chiourme nous obligent à ramer vers une destin de servitude puis d’anéantissement.
Mais destin auquel nous pouvons nous soustraire de deux manières :
– Soit en brisant nos fers individuellement pour sauter à la mer…
– Soit en brisant nos fers en groupe suffisamment puissant pour prendre le contrôle de la galère…
Ce sont les pourcentages obtenus lors du prochain scrutin qui nous éclairerons sur le choix à faire.
Pour dire les choses autrement : LA PREMIERE CONDITION POUR DETOURNER UN NAVIRE OU UN AVION, C’EST D’ETRE ASSEZ NOMBREUX A BORD !
Quitter l’U.E, Schengen, ne suffit pas; nous devons aussi quitter la C.E.D.H – ce que n’a pas fait le Royaume-Uni ! – si nous voulons retrouver la maîtrise de notre immigration.