SYRIE : UN ETAT NATIONALISTE EXEMPLAIRE
L’Europe de Bruxelles, aux ordres des Sionistes – Mondialistes, n’admet pas le nationalisme social de ce merveilleux pays qu’est la Syrie du parti Baas, aujourd’hui au carrefour des grandes civilisations de l’Orient multi-millénaire.
Aussi pour se rendre dans cet état nationaliste, actuellement victime d’une guerre civile injuste et cruelle, aucune compagnie aérienne Européenne ne dessert l’aéroport international de Damas.
Pour rejoindre Damas par avion, deux possibilités s’offraient à notre groupe:
-Rejoindre Alger ou Moscou afin de prendre un vol de la compagnie nationale Syrienne – Syrian Airways – afin d’atterrir à Damas.
-Ou rejoindre depuis Paris – Roissy l’aéroport international de Beyrouth au Liban puis par la route rallier Damas (2 heures hors opérations frontalières).
C’est cette deuxième option, plus économique, qui fut choisie.
Depuis Paris et après une escale technique, nous atterrissons à Beyrouth (aéroport Traffic Hariri, comme l’appellent malicieusement de nombreux Libanais). Un bus local, spécialement affrété nous conduit jusqu’à la plaine de la Bekaa au poste frontière libanais pour les opérations de sortie du territoire. Au moyen Orient l’appréciation du temps est différent. Il nous faudra une heure pour accomplir l’ensemble des formalités et la réparation pour crevaison de notre véhicule. Au revoir le Liban, au jour naissant, et bonjour la Syrie.
Après trois kilomètres d’une route peu fréquentée nous atteignons le poste frontière de la République Arabe Syrienne afin d’y accomplir les opérations d’entrée administratives. Examen des passeports – notre groupe est composé de 13 personnes – obtention des visas – et contrôle des bagages, cela prendra en tout 5 heures. La Syrie a une vraie frontière et pour être admis dans ce pays en guerre il n’y a rien d’étonnant. De plus pour une personne de notre groupe ayant certes de façon lointaine foulé le sol du territoire de la Palestine occupé (Israël) cela nécessitera deux heures de tractations afin qu’elle puisse poursuivre avec nous ce passionnant voyage. Les services de renseignements Syriens ne sont pas pour rien un des plus performants au monde !!!
Il faut savoir qu’avant le déclenchement de cette guerre civile en 2011, tout ressortissant arabe était admis sans visa sur le sol Syrien, les visiteurs étrangers étant soumis au visa d’entrée. Ceci a permis à des organisations musulmanes islamiques (les frères musulmans) d’infiltrer la population Syrienne de confession Sunnite afin de provoquer un coup d’état contre le régime Baasiste dirigé par Bachar El Assad. Ces organisations Islamiques sont « pilotées » par les USA ainsi que l’état Juif d’Israël, et financées par leurs alliés du Qatar et de l’Arabie Saoudite.
Cela s’inscrivait dans le cadre « du printemps Arabe », ou l’on a retrouvé la même méthodologie de déstabilisation qu’en Syrie, à savoir en Tunisie, en Lybie, en Egypte et au Yémen. Afin que cette présentation soit complète, les Français doivent savoir que la subversion entreprise par les Frères Musulmans et avec les mêmes donneurs d’ordre, existe depuis près de dix ans en France mais également dans les pays Européistes de Bruxelles. Malgré la désinformation intense des médias Français aux ordres des « Français Crémieux », il est bon de préciser que la population musulmane en France dépasse aujourd’hui les 15 Millions dont plus de 80 % sont de confession Sunnite (qui certes ne sont pas dans leur grande majorité des terroristes potentiels).
L’imposture du « Printemps Arabe »
L’invasion de la Syrie en 2011 s’est ainsi faite majoritairement depuis et avec l’aide de la Turquie (base arrière du terrorisme en Syrie) accueillant les brigades internationales Islamiques recrutées en Europe mais aussi depuis les anciennes républiques soviétiques du Caucase. Ces brigades Internationales Islamiques sont composées essentiellement de Français, de Belges, de Hollandais, d’Anglais mais également de Tchétchènes, d’Ouzbeks, de Kazakhs et même d’Ouigours.
Les Syriens opposés au régime de Bachar El Assad se retrouvent dans ce qui est appelé – Al Nosra – et les brigades internationales Islamiques pour ce qui est dénommé – Daesh. Ces dernières sont de véritables bandes de barbares auteurs des pillages et autres odieux assassinats dans la population (Décapitations, crucifixions, viols puis éventrations, etc…). Cela nous a été montrés à de nombreuses reprises lors de notre séjour sur des vidéos retrouvées sur des téléphones portables de terroristes abattus, car dans cette guerre civile les prisonniers sont rares ou font l’objet d’échanges spécifiques.
Après cette indispensable présentation, notre groupe s’arrête pour une soirée dans la capitale de la Syrie : Damas. Une ville aux multiples contrôles routiers de l’armée syrienne mais également de milices armées et composées de citoyens syriens de toutes confessions (Sunnites, Alaouites, Chrétiens, etc…). Nous retrouverons ces fréquents contrôles routiers durant tout notre périple, avec une particularité en matière de sécurité : chaque poste de contrôle armé est indépendant, gage de sécurité pour prévenir au maximum les tentatives d’attentats. Dans l’état réellement Laïque de la république Syrienne, chaque citoyen est avant tout un Syrien, la religion étant l’affaire privée de chacun. C’est ce que les Islamistes et leurs donneurs d’ordre étrangers indiqués ci avant ne veulent pas accepter en Syrie, malgré le souhait de la majorité de la fière population de Syrie dirigée officiellement par leur chef incontesté Bachar El Assad. Le Baas syrien est le dernier maillon des nationalismes arabes que veulent faire disparaitre les mondialistes Sionistes.
Puis nous prenons la route du nord en passant dans l’anti – Liban montagneux de Syrie qui abrite de nombreux villages et monastères Chrétiens (Orthodoxes, Grecques catholiques Melkites, et Assyriens). Parmi eux, des déplacés Irakiens, mais aussi de nombreux Arméniens qui ont échappé au génocide Turc de 1915.
Partout, l’accueil est chaleureux. Rencontrer des Européens qui viennent les visiter représente un réel encouragement. Merci nous disent-ils de penser à nous, de dire que nous existons et que nous voulons rester avant tout des syriens. Pourquoi la France donne t’elle des armes aux terroristes ? Pourquoi avez-vous fermé l’ambassade de France à Damas sous Sarkozy et Juppé ? Autant de questions qui montrent la collusion des gouvernants Français, serviles personnages, au service des mondialistes apatrides. L’embargo de l’Europe en matière économique et sanitaire est réel en Syrie. Notre groupe a apporté médicaments, vêtements, ainsi que des matériels orthopédiques, collectés en France.
Nous rencontrons de jeunes volontaires Français et Européens qui restaurent les églises endommagées par les terroristes. Il est à noter que l’ensemble des villages et monastères Chrétiens que nous avons visités sont gardés par l’armée Syrienne. Cette armée composée de syriens volontaires (armée de métier) mais aussi de conscrits, le service militaire étant de 18 mois.
Cependant chaque syrien patriote défend son pays car toutes les familles ont des martyrs (Père, frère, cousins, etc…), dont les photos se rencontrent dans toutes les rues. C’est une façon, comme nous l’ont dit les combattants, de se souvenir que nous avons défendu notre patrie, nous en sommes morts, n’oubliez pas notre sacrifice.
Après une journée de visites, nous arrivons à Homs, la ville martyre. Nous sommes accueillis par une association qui vient en aide aux victimes civiles et militaires de la ville et des villages environnants. Son Président, un militaire ayant perdu une jambe et ne pouvant plus combattre, nous présente son association et nous convie à un repas composé d’une cuisine locale. Ils sont heureux de nous rencontrer et de nous expliquer que leur ville stratégique (située au milieu du pays) a été attaquée par les terroristes, en partie occupée, puis libérée par l’armée syrienne.
L’objectif de l’ennemi était de couper le pays en deux afin de mieux l’envahir pour détruire son économie puis asservir les populations. Cette tentative a échoué, les terroristes s’étant repliés sur Palmyre. Nous dormons chez l’habitant, pour des raisons de sécurité. Je suis hébergé dans une famille syrienne Sunnite. Du balcon de leur appartement la maman me montre ce que les syriens ont appelé dans son quartier la rue de la mort. Durant l’occupation partielle deux snipers tchéchènes ont tué dans cette rue plus de 100 enfants et 23 femmes !!!!! Elle me précise que ces mercenaires étrangers sont les plus violents parmi les terroristes. Puis nous visitons les quartiers dévastés. Un étrange silence règne : Des rues entières aux immeubles dévastés et pillés sont complétement inhabités. Leurs occupants déplacés sont réfugiés dans d’autres quartiers et villages environnants, la solidarité étant présente partout.
Puis nous nous rendons au lieu de l’attentat du 21 février 2016 qui a fait 58 morts et 150 blessés. Les devantures d’immeubles ont été soufflées, la route devenue chaotique dans cette partie d’avenue ou bus et taxis accueillaient de nombreux civils et militaires. Une camionnette chargée de bouteilles de gaz renfermant de multiples morceaux de ferrailles a explosé au milieu de la foule. Un quart d’heure plus tard, une fausse ambulance, alors que la population venait en aide aux victimes, s’est précipitée vers eux et a explosé avec les mêmes projectiles : Un massacre !!!
Nous avons rendu visite à des blessés hommes, femmes et enfants. D’horribles blessures sur des corps traversés par ces projectiles que soignent les équipes de la croix rouge et du croissant Syrien. Je me rappelle alors la phrase de Fabius – ministre du gouvernement Hollande / Valls déclarant avec cynisme « En Syrie – Al Nosra – fait du bon boulot !!!! » Abjecte.
Une maman, blessée gravement aux jambes, avec deux de ses enfants – 4 et 6 ans – blottis près d’elle et moins atteints me dit : Dites ce que vous avez vu et faites que ces terroristes soient chassés de la Syrie. Le Président de l’association me précise en aparté que le père et trois des enfants de la fratrie n’ont pas survécu à l’attentat. Les lâches qui pratiquent ce type d’action renforcent l’unité de tous les Syriens pour en finir avec ces terroristes.
Au lendemain de cette éprouvante journée nous prenons la direction de Hama. Après les multiples contrôles à l’entrée de la ville nous découvrons cette dernière, propre, sans destruction, ou une forte population anime rues et souks très colorés. Quel changement, cela provoque alors notre étonnement. Le représentant de la commune qui nous accueille, alors que nous contemplons les immenses norias de la vieille ville, réponds à notre interrogation : Lors du soulèvement en 2011 une minorité de la population des villages environnant Hama qui cherchaient à progresser vers la ville rencontrèrent une vive opposition des habitants de la cité. La raison en est fort simple. En 1982 les Frères Musulmans – toujours eux !!! – provoquèrent un soulèvement de la population majoritairement Sunnite. Des dizaines de militaires furent massacrés. Hafez El Assad, le père de Bachar réprima cette révolte avec vigueur, ce qui se traduisit par près de 2.000 morts. On comprend que la population de Hama préféra en 2011 faire confiance au gouvernement Syrien pour mieux combattre ce que leurs habitants appellent « les rebelles ».
Dans le jardin de l’Oronte
Nous quittons la ville en direction de la vallée de l’Oronte, chère à Maurice Barrés. La traversée de villages nous indique que des combats se sont déroulés plusieurs semaines avant notre passage. Pourtant la vie reprend dans des paysages magnifiques. Troupeaux et paysans ont réoccupé les champs alentours non minés dans cette région. Nous sommes attendus dans un hôpital de campagne non loin du front ou ont pris position des terroristes d’Al Nosra. Le cessez le feu précaire instauré par les Américains et les Russes a permis au personnel de santé « de souffler un peu ». A noter que les civils alentours y sont soignés dans des salles d’urgence ou médicaments et accompagnements chirurgicaux ne brillent pas par leur présence. Un étudiant en médecine, volontaire sur le terrain nous montre les ambulances – dont certaines sont blindées – ainsi qu’une salle mobile d’opération. Les blessés en opération militaire, après un passage dans cette unité mobile qui se déplace en fonction de l’avancée du front de reconquête, sont ensuite évacués vers les hôpitaux plus éloignés des premières lignes de combat. La détermination des blessés pour redevenir valides et repartir au combat est admirable.
Nous rencontrons le général de cette zone qui nous indique que la veille de notre venue et de nuit les satellites russes ont détecté près de 2.000 combattants infiltrés depuis la frontière Turque distante de 70 Km du point où nous nous trouvons. Notre général est confiant car les Kurdes avancent en provenance de l’Irak afin de créer un corridor le long de la frontière entre la Syrie et la Turquie longue de plus de 800 Km. Cela pour empêcher tous commerces et mouvements militaires de Daesch et Al Nosra avec la Turquie complice des terroristes islamiques.
Accompagné par l’armée syrienne nous nous rapprochons du front. Nous traversons un village détruit et complétement désert. Le gradé qui nous accompagne stoppe nos deux véhicules sur la place du village afin de nous montrer les inscriptions en arabe. Cela est l’œuvre des terroristes. Il y est inscrit : nous allons tous vous égorger. C’est la méthode classique employée pour faire fuir la population. Ceux qui n’ont pas pu fuir – hommes, femmes – enfants – sont impitoyablement exécutés après exhortions et viols de toutes natures. Il est à noter que « ces combattants mortifères » sont drogués par leurs chefs avec du – Captagon – une drogue qui leur permet d’être éveillé pendant trois jours et d’accomplir des actes barbares sans aucune émotivité et humanité. Ils tuent alors des êtres humains, comme on écrase des mouches sur une vitre. Cette accoutumance finit par attaquer leur propre constitution (cœur, foi, cerveau). Ils sont alors envoyés pour conduire des actions Kamikazes, ce qui permet leur élimination physique. C’est aussi cela « l’armée libre de libération de la Syrie » vantée et soutenue par les pouvoirs politiques et les journalistes complices d’une Europe – dite démocratique !!!!
Alors que nous regagnons nos véhicules nous voyons apparaitre des dizaines de jeunes combattants de l’armée Syrienne de Bachar. Ils ont entre 20 et 30 ans. Leur motivation ainsi que leur détermination impose le respect. Ils se battent pour garder leur pays, leur terre, leur identité. Et d’ajouter en cœur, comme un signe de ralliement : Pour toi Bachar. Un slogan nationaliste destiné à leur chef.
Avant de regagner notre bivouac dans un village en retrait du front nous rendons visite à des populations déplacées. J’ai le souvenir d’une famille de 32 personnes avec femmes et enfants. Le père très digne ayant eu 13 enfants, dont deux fils sont morts, est exempté du combat. Trois de ses garçons en âge de combattre sont actuellement dans la bataille pour reprendre la grande ville industrielle d’Alep. Avec son épouse ils font « des petits boulots » pour aider les autres dans le village. Ils attendent de pouvoir retrouver leurs terres du coté de Raqua spoliées par les terroristes. Le colonel qui nous a rejoints le connaît bien. Encerclés par les terroristes sur Raqqa son unité a tenu 18 mois avant de partir vers la Syrie libre avec de nombreux civils. Ils n’ont pas cherché à gagner les camps de réfugiés de Turquie déjà en place avant « le printemps arabe de 2011 ». Ce même colonel nous confie que leur « décrochage de Raqqa » a été rendu nécessaire car les terroristes arrivaient avec des matériels lourds (chars, canons, missiles) récupérés à Mossoul lors de la débandade de la nouvelle armée irakienne mise en place par les américains en Irak.
Après ces deux grandes journées en terre Alaouite, dernière halte dans une école de village car la vie de tous les jours continue. Nous sommes accueillis par trois enseignantes encadrant près de quarante enfants entre 4 et 10 ans. Plus de dix d’entre eux sont des enfants de martyrs !!! Puis nous gagnons la montagne pour rejoindre le port de Lattaquié. En traversant le village natal de la famille Assad, un attroupement ralenti notre progression. La population porte en terre un martyr originaire du village.
Des puissances alliées de qualité
A Lattaquié la présence russe est discrète alors que l’aéroport est tenu par l’aviation russe et l’armée Syrienne. Ce n’est pour nous qu’un point de passage, certes fort animé, ou il est intéressant de constater que les femmes en pays Alaouites sont très majoritairement les « cheveux au vent ». Petit arrêt culturel sur le site fouillé par les Français au temps du protectorat et ou fut mis à jour les origines de l’écriture.
Durant tout notre séjour d’un peu plus d’une semaine en ce début mars, nous changeons chaque jour de véhicule, et notre itinéraire est considéré comme « spontané » par mesure de sécurité. Mais à aucun moment notre groupe n’aura un sentiment d’insécurité. Bien au contraire, les Syriens sont heureux de savoir qu’ils ne sont pas isolés. La présence russe les rassure comme me l’a rappelé notre guide à Tartous ou la marine russe est largement positionnée. Ce dernier me confie qu’heureusement ils sont les alliés de la Syrie avec l’Iran et son allié – le Hezbollah – car sans cela la Syrie risquerait à brève échéance de devenir un califat Islamique. Il me précise également que le chemin de fer entre Lattaquié et Tartous fonctionne de nouveau pour les besoins militaires mais également civils.
Puis nous reprenons la route de Damas avec un arrêt au Krak des chevaliers, imposante forteresse établie par les Croisés présents au 12iéme et 13iéme siècle et ensuite occupée par les troupes de Saladin. L’endroit est superbe près de la frontière et de la montagne libanaise enneigée. Cette dernière est vide et non entretenu, les touristes ayant déserté ce lieu depuis près de cinq ans.
Nous retrouvons Damas pour une ultime journée. Nous avons rendez-vous avec la chambre de commerce d’Alep qui présente ses industriels sinistrés mais déterminés. Cette grande cité du nord de la Syrie est en partie libérée mais nous n’avons pas pu la visiter, sa route d’accès n’étant pas totalement sécurisé. La grande spécialité d’Alep est l’industrie textile. Malgré l’embargo de l’Europe de Bruxelles les destructions d’usines et la fuite de nombreux ouvriers, les chefs d’entreprise syriens d’Alep continuent avec l’aide de l’état Syrien de travailler difficilement dans leur spécialité. Leur matière première, le coton, vient temporairement de l’Inde, les champs de production syriens étant occupés par Daesch qui pratique l’esclavage auprès des syriens actuellement sous leur contrôle. Les produits textiles manufacturés par les syriens libres sont exportés hors d’Europe. Un industriel me confie que son usine en partie dévastée a été vidée par les terroristes et que ses matériels performants ont été transportés et réimplantés en Turquie !!!!!
La Collusion de la Turquie avec l’Otan Américain, va bien au-delà des opérations commerciales et ressemble à un pillage économique en règle de la Syrie. Les mondialistes apatrides qui ont initié sans scrupule le printemps arabe de 2011 avec toutes les conséquences financières et humaines ne reculent devant rien pour arriver à leur fin. Les Brigades internationales islamiques basées en Turquie, alors que la contre-offensive de l’armée Syrienne aidée par ses alliés va de l’avant pour libérer le pays, sont en partance pour un nouveau front islamique en Lybie. Là aussi la Turquie de l’islamiste Erdogan est à la manœuvre tout comme pour le chantage aux migrants avec les pays Européens.
Avec le port de Tartous, l’empire Russe des tsars à Vladimir Poutine a enfin rejoint les mers chaudes. L’encadrement de la Turquie par les mers Caspienne et Noire de la marine Russe enserre géographiquement l’allié Américain. Et puis les Yankés sont actuellement en campagne électorale et n’occupent plus le ciel Syrien. Ces derniers n’ont plus la main en matière de communications électroniques, l’avantage étant au joueur d’échec Russe. Quant aux aviations anglaises et Françaises sous domination Américaine, elles n’ont plus qu’à retourner aux hangars de stationnement. Oui les alliés de Bachar veillent et pour longtemps au devenir de la Grande Syrie. Le Grand Israël de l’Euphrate au Nil dont rêvent les sionistes est en voie de disparition.
Avant de quitter Damas pour le Liban, alors que nous visitons le plus grand Souk du moyen Orient, le canon retentit au loin en direction de la Palestine occupée. Nos amis Syriens, alors qu’il faut rejoindre les deux véhicules qui doivent nous permettre de quitter le pays m’indiquent « Cette guerre imposée au peuple Syrien est aussi une guerre mondiale déclenchée par les impérialistes et les Sionistes, votre Europe est leur prochaine cible ».
Brigades Internationales Islamiques, Socialisme dévoyé en Europe, cela ressemble étrangement à ce que nos pères ont connu avec la guerre d’Espagne avant la deuxième guerre mondiale (Blum, Valls et consorts, même combat). Le judaïsme politique est plus que jamais en action aujourd’hui dans le monde et dans notre Europe des patries. L’envahissement migratoire est là aussi voulu par les Illuminati du nouvel ordre mondial cette fois non plus de Bavière mais de l’axe Washington – Tel Aviv. Paris, Berlin, Londres et même Ankara, Riad et Doha ne sont que leurs « télégraphistes de de service «.
Nous quittons le pays des Kalachnikovs Russes pour le Liban armé chichement des M16 Américains.
Longue vie à la Syrie Nationaliste, a son peuple exemplaire conduit par leur chef Bachar El Assad du parti Baas.
Georges DUMONT