Arya… ce mot nous suit depuis les temps les plus anciens. Nous ne pouvons dater sa première apparition dans les cœurs de nos aïeux. Bien-sûr, nous connaissons sa plus ancienne mise par écrit dans le Rigveda, au deuxième millénaire avant J.C. Cependant, la naissance de son sens profond, n’est pas datable, et ne le sera probablement jamais, car il remonte aux origines de notre race. C’était le feu sacré, il brûle encore, et il brûlera toujours dans le cœur des Blancs.
Même aux époques les plus décadentes, ce feu vivait chez certains qui avaient su préserver des gènes purs, l’esprit vertueux, et l’âme liée au divin. Et c’est encore le cas aujourd’hui. L’Aryen (par francisation) a toujours vécu. Dans les vieux temps, il quitta le Grand Nord pour de nouvelles terres. Lors de l’Antiquité, il domina la Grèce archaïque puis la République romaine. Le flambeau fut repris par les chevaliers germaniques, et ainsi, jusqu’à la Renaissance (qui devrait être renommée « la Décadence »). Par la suite l’Aryen devient marginal, excepté quelques périodes.
Mais il vit, et vivra tant que nos gènes se transmettrons dans une stricte pureté. Mais qui est cet Aryen ? Quelle est sa vision du monde ? Pourquoi le voudrions-nous à la place d’un conservateur ou d’un progressiste ? Et comment le trouver, l’identifier, et surtout, l’être à nouveau ?
L’Aryen, un être qui transcende le temps :
La définition de l’Aryen nous est parvenue depuis l’Antiquité, et fut retravaillée à toutes les époques, souvent sans en avoir conscience. Dans la Bhagavadgita et les poèmes homériques, par Lycurgue à Sparte, par les patriciens de Rome, par les chevaliers féodaux, et puis par les auteurs du XIXème et du XXème siècle tels que H. P. Lovecraft, Robert E. Howard, Arthur de Gobineau, Alfred Rosenberg, et bien d’autres. Après la glorieuse période féodale, la bourgeoisie prend de plus en plus d’importance et s’accapare finalement le pouvoir en Occident (matérialisé en France par la Révolution française). C’est principalement dans la période qui suit la colonisation, à la fin du XIXème siècle et au début du XXème siècle, que réapparaît la conscience raciale des européens.
Deux facteurs en sont à l’origine : la colonisation elle-même et le progrès scientifique. Le premier a mis au grand jour, par des contacts durables et nombreux avec beaucoup de peuples, les différences raciales les plus évidentes (physiques, sociales, culturelles). Le second rend capable d’exposer précisément les types raciaux et de comprendre d’avantage leur spécificités. Ainsi sont produits les travaux anthropologiques fondateurs de l’étude des races : Essai sur l’inégalité des races humaines en 1853 par Arthur de Gobineau, La Genèse du XIXe siècle en 1899 par Houston Stewart Chamberlain, L’Aryen, son rôle social par Georges Vacher de Lapouge en 1899. Bien que les auteurs antiques aient ressenti les profondes différences morales et spirituelles entre les races, nous apportant la vision la plus pur et la plus naturel de la conscience raciale, ceux cités précédemment nous apportent avec l’aide de la science une précision chirurgicale dans cette étude.
Grâce à eux, nous pouvons identifier l’Aryen ainsi :
C’est un homme de pure ascendance blanche, cultivant la force physique et psychologique (dans un rapport parfois disproportionné pour l’une ou l’autre, suivant son caractère). Il dispose d’une forte personnalité et d’une individualité propre, par conséquent il est libre des influences extérieures, qu’elles viennent du désir de la masse de le voir s’y assimiler, ou de la volonté de ses ennemis de le corrompre. Les seuls conseils qu’il reçoit viennent d’autres Aryens. Comme autrefois via le Mos Majorum ou le code de la Chevalerie, il applique les vertus qui sont la tempérance, la piété, le courage, la dignité, la stoïcité, et la fidélité au sens large. Dans son rapport aux autres, il applique par le zèle la protection de la foi, il aime sa terre et son peuple et en prend soin. Il se sait supérieur à la masse, il connaît sa faiblesse, quand il la commande il agit sans mépris pour elle, mais avec la volonté de la garder saine et de la protéger. Il est un bon seigneur et non un tyran, cependant il peut être violent avec elle pour préserver sa pureté. Il combat activement et sans merci tous ceux qu’il juge importateurs de corruption. C’est pourquoi des Aryens, aux cultures et visions différentes, ont pu se livrer d’imposantes guerres entre eux. Enfin, son socle est sa fidélité qui s’établit selon une Sainte-Trinité : envers son peuple, envers sa patrie, et envers ce qui le commande (que ce soit un supérieur hiérarchique, des principes absolus, ou une idée du Divin).
Cette définition peut sembler banale et évidente à certains, cependant il est essentiel de partir de la base de l’être Aryen afin de projeter son rôle dans notre présent. Car après avoir reçu les commandements anciens, une tâche très complexe nous incombe, qui est l’interprétation, l’adaptation, et la mise en pratique dans les circonstances actuelles des enseignements de nos aïeux.
L’Aryen face à la décadence progressiste et à l’incapacité conservatrice :
Pour accomplir cette tâche, nous devons identifier le monde blanc actuel. Il se compose en grande partie de l’Europe et de l’Amérique du Nord. Nous y distinguons deux grands blocs idéologiques, l’euro-atlantique progressiste et la Slavie conservatrice. Le premier est l’héritier des rationalistes libéraux, le second du bloc de l’est. Même si le bloc communiste peut sembler opposé au conservatisme, sa brutalité et sa fibre social ont favorisé la Réaction conservatrice plutôt que la transformation démocratico-libérale, pour laquelle les peuples de l’Est n’étaient pas mûrs. Bien que ces peuples aient gardé une robustesse (absente en Occident) dû à la férocité de leurs régimes, le matérialisme et la consommation les attirent toujours plus.
La Réaction a l’avantage de promouvoir la royauté de Dieu et les valeurs anciennes. En revanche, son grand défaut est qu’elle s’en contente. Elle vit dans le passé, ne réforme pas, n’empêche pas la lente propagation de la décadence et du métissage. En une phrase, ce qui rend la Réaction fragile, c’est son rejet de la Révolution. Associant celle-ci au communisme, elle ne comprend pas la nécessité de la Révolution Nationale, de la transformation complète des institutions, et se place ainsi dans la même posture que nos vieux royaumes, impuissants devant la montée au pouvoir de la bourgeoisie libérale. C’est pour cela que nous assistons à une propagation de l’idéologie « woke » à l’est, que peu de politiques arrivent à repousser. Ces nations ont un grand passé mais peu d’avenir aux yeux de leur peuple. Les régimes communistes ayant ravagé ces pays, ils n’ont laissé que des ruines. Il est facile de corrompre un peuple soumis à la dépression, celle-ci est visible par l’alcoolisme qui dans certaines régions de l’Est est le seul refuge pour une jeunesse blanche en perdition.
Les régimes conservateurs n’ont ni l’esprit ni la poigne pour remettre leur peuple sur le droit chemin. Nos ascendants l’avaient bien compris dans la première moitié du siècle dernier, où les fascistes de tout pays se livraient à une dure mais juste critique de la Réaction et du conservatisme. Le Réactionnarisme (ou Conservatisme) se définit donc comme étant un modèle issu d’une base saine, mais inadaptable aux circonstances d’une époque, et incomplet pour répondre à certains besoins.
Pour ce qui est du bloc progressiste, d’aucuns estiment que sa critique n’est pas nécessaire tant elle est évidente. Mais il ne faut pas perdre de vue les raisons de cette évidence, qui ne sont pas claires pour un individu élevé dans le progressisme. Ces raisons sont la prédominance absolue de l’économique sur tous les pans de la société, cela couplé à un individualisme forcené qui, au lieu de promouvoir la personnalité, provoque dans le fond, une industrialisation de l’homme moderne. La suppression du spirituel et de la foi intérieure au profit de la sacro-sainte Consommation, ramenant l’homme à l’état sauvage, est aussi une critique aisée du progressisme, tout comme les critiques portées sur la décadence morale à travers la sexualisation de tout : homme, femme, enfant, objet.
Malgré la vague immonde de dégoût que tout cela provoque en nos cœurs, il ne faut pas occulter l’aspect industriel de cette pensée. Elle n’a pas de partisans, seulement de bons robots obéissants. Voilà ce que sont les descendants des Spartiates et des chevaliers francs, certains de nos anciens n’ont pas vu d’utilité à perpétuer cette mémoire, en voici les conséquences. Loin de moi l’idée de leur jeter une pierre inutile, le passé est passé, mais inspirons-nous-en, que les erreurs de nos aïeux ne se reproduisent jamais dans notre peuple.
Malgré ces erreurs, le contre-courant était présent grâce aux bonapartistes, puis aux doriotistes et aux nationalistes d’après-guerre. Cependant ces mouvements, bien que présents et actifs n’ont jamais décroché le pouvoir ni eu d’influence considérable dans la société (excepté pendant la guerre, mais cela fut balayé rapidement par les Alliés).
Pour combattre ce torrent dégoûtant de progressisme, chacun a le premier devoir de fonder un foyer, d’éduquer sa famille, et de faire vivre l’Aryen dans les cœurs de ses descendants. Cependant, cette transmission individuelle de l’Aryen à sa limite. L’Aryen solitaire n’a pas beaucoup à espérer pour sa race. C’est la raison du pessimisme qui rongeait et ronge toujours l’âme de certains de nos camarades. Un Spartiate n’en est pas un sans une Sparte à défendre comme nous l’a appris Maurice Bardèche.
Pour une Renaissance Aryenne collective :
Cette Sparte, comme la citadelle intérieure de Marc-Aurèle ou l’Église intérieure chrétienne, peut être vu uniquement d’un point de vue spirituel. Mais pour son développement, pour conquérir d’autres âmes, il est essentiel qu’elle se matérialise dans le monde terrestre.
Cela nous pose un questionnement qui travaille nos esprits : mais où est donc cette Sparte ? Existe-t-elle dans le monde actuel dont une partie est dominé par une oligarchie judéo-bourgeoise, par des conservateurs impotents, et le reste par des partis politiques et idéologiques dans lesquels nous pouvons puiser des idées mais dont nous sommes étrangers (tels que le pouvoir iranien ou chinois). Il est clair que dans le monde blanc d’aujourd’hui, aucun dirigeant ni aucune société ne mérite d’idolâtrement, au mieux de la reconnaissance et du respect. Si nous voulons voir renaître cette cité idéale, il nous faut faire preuve plus que jamais des vertus Aryennes. Ces vertus nous apporteront bien plus qu’une grâce individuelle, celles-ci mises au service de la lutte politique apporteront une victoire collective pour notre peuple.
Ce n’est que par un combat culturel, idéologique, politique et religieux sans merci, en nous imposant là où on nous exclut que nous nous développerons. Cela en usant de patience, de raison et de finesse, qui peuvent vite manquer à des militants ayant la rage au ventre devant le déclin de leur civilisation. Nous n’obtiendrons jamais la victoire dans la marginalité, mais dans la constitution d’une élite capable à laquelle la masse ne doit pas faire obstacle. Elle doit avoir pour cette élite, au mieux de l’admiration, au pire suffisamment de tolérance pour la laisser agir. Il nous faut diffuser nos journaux, notre littérature, investir la culture moderne très coûteuse, comme la cinématographie ou même le jeu-vidéo, investir les émissions télés. Il nous revient d’enfoncer d’un grand coup chaque porte close. C’est ainsi que la publicité a corrompu la masse, en investissant chaque moment de la vie de l’homme. Chacun sait que l’argumentation posée et la dissertation ne suffisent pas, que la propagande a un rôle essentiel. Utilisons l’abaissement du peuple imposé par la dictature libérale pour propager nos idées, et à termes, le remettre dans ses pleins droits et ses véritables devoirs. Notre monde est dominé par l’économique qui après avoir manipulé la politique, a manipulé la culture, nous sommes au cœur de ce combat culturel. Une victoire dans cette guerre acharnée qui légitimera aux yeux du peuple notre vision du monde, sera la première matérialisation collective de notre chère Sparte.
Tels sont nos devoirs envers nos aïeux et envers notre peuple. Le développement des caractères Aryens est non seulement la marque d’un respect et d’un amour envers nos ancêtres jusqu’aux plus lointains, mais aussi l’affirmation de ce que nous sommes au plus profond de nous face au monde moderne. Cette Révolution intérieure nous impose l’action face au monde.
Si nous voulons sauver notre peuple, nous devons impérativement nous engager dans la lutte. Il n’y a qu’en nous battant activement et collectivement contre nos ennemis que cet espoir devient réel. Cette lutte sera le premier pas de la suprématie Aryenne, et c’est ainsi que nous pourrons redonner la grandeur, la prospérité, et la paix à la totalité de notre race.
Arthur Adam
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