En France nous avons une vision assez provinciale de la liberté d’expression, comme si l’énoncé de son seul principe suffisait. En réalité, il n’y a pas de liberté d’expression s’il n’y a pas de liberté de porter une arme. Rappelez-vous, la liberté d’expression, ce n’est pas sur Twitter ou sur Google que cela se passe.
Les Pères Fondateurs de l’Amérique en étaient bien conscients en rédigeant la constitution, il n’y a pas de véritable liberté sans liberté de posséder et de porter une arme. C’est pour ça qu’ils l’ont spécifiquement incluse dans la déclaration des droits, aux côtés de la liberté d’expression, de la liberté religieuse, de la liberté de la presse, dans l’anglais le plus simple et le plus clair, sans aucune des ambiguïtés qui infeste habituellement le langage juridique : «Le droit de posséder et de porter une arme est inaliénable».
Pourquoi ces hommes se sont-ils tellement soucié de cette liberté? Est-ce parce qu’ils étaient tellement préoccupés par le plaisir de la chasse et du sport? Est-ce qu’ils voulaient un droit imprescriptible au tir aux pigeons? Est-ce tout simplement parce qu’ils voulaient pouvoir se défendre contre les voyous et les criminels?
Ma foi, toutes ces raisons seraient déjà bonnes et bien suffisantes après tout. Mais ce que les Pères Fondateurs avaient à l’esprit en rédigeant le Second Amendment, c’était quelque chose de fondamentalement différent : ils voulaient garantir aux hommes libres un recours de dernier ressort contre la tyrannie et l’usurpation d’un gouvernement devenu omnipotent.
Partout où les communistes sont parvenus à prendre le pouvoir, la première chose qu’ils ont faite, c’était de confisquer les armes des particuliers et de faire de la détention d’arme un délit: ils avaient parfaitement compris que la seule façon d’asservir une population, c’était de la désarmer.
Et voilà maintenant qu’il y a des gens qui veulent faire la même chose dans ce pays [aux USA]. Au prétexte de mettre un terme à la violence par arme à feu – une violence et une criminalité dues au laxisme gauchiste en matière d’immigration, de de drogue, de mœurs – ils veulent désarmer les Américains. Ils veulent criminaliser d’honnêtes citoyens qui ont le front de vouloir exercer leur droit constitutionnel de posséder et de porter une arme, mais pourquoi?
Qu’est-ce que ces adversaires de la Bill of Rights ont en tête contre nous autres, qu’est-ce qu’ils nous mijotent et qu’ils comptent nous servir une fois que nous serons sans armes et sans défense?
Aujourd’hui, ils veulent nous enlever nos armes, mais c’est pour nous enlever quoi ensuite ?
Vous pensiez qu’après tout Hitler avait fait la même chose? Non, détrompez-vous, en Allemagne à l’époque, tous les citoyens étaient encouragés à avoir au moins un fusil et une arme de poing. Son État pouvait bien être décrit comme autoritaire ou policier, Hitler répondait : on doit se rendre compte que c’est nous qui avons créé cet État et non pas lui qui nous a créés.
Parfaitement, vous avez bien lui, contrairement aux gauchistes et aux alliés de la Seconde Guerre mondiale, Adolf Hitler était pour la détention d’armes par les particuliers, Hitler n’avait pas peur de son peuple, il comptait sur lui.
Ce n’est pas ce qu’on vous avait dit? Il faut lire Gun Control in Germany 1928-1945, préfacé de William Pierce.
Le livre établit que les Nationaux-Socialistes ont en réalité assoupli les lois sur la détention d’armes en vigueur en Allemagne et qu’ils encourageaient les particuliers à en avoir et à s’exercer au tir : «ce n’est pas seulement que la législation nationale-socialiste sur la détention d’armes était à l’opposé de ce qu’on prétend aujourd’hui pour couper l’herbe sous le pied des défenseurs du port d’armes, c’est tout l’esprit du gouvernement d’Hitler qui était différent de ce qu’on en a dit dans les médias américains».
Le livre donne le texte complet de la législation sur le port d’armes avant et après l’arrivée d’Hitler, il est donc inattaquable et convaincant.
Traduction : Rédaction Jeune Nation
Source : Gun Control: “Just Like Hitler”? | National Vanguard
C’est à l’époque où les Français de souche sont menacés par l’armement de ceux qui occupent, avec la complicité du pouvoir, ce qu’on appelle pudiquement « les territoires perdus de al République » que ce même pouvoir se préoccupe de désarmer nos compatriotes.
Ce qui est d’autant plus inquiétant – et même révélateur de ce qui se prépare contre nous ! – qu’il n’y a pas à s’interroger bien longtemps pour trouver un précédent dans la longue liste des trahisons dont notre nation fut victime au bénéfices de ses adversaires ; et notamment de la part de cette fausse droite nationale que furent et que demeurent ceux qui sont issus du gaullisme et qui sévissent encore, certains dans l’entourage de Macron et d’autres dans une fausse opposition à sa politique furieusement immigrationniste.
Une politique ouvrant la porte à ces mêmes musulmans qui nous ont obligés naguère à choisir entre « la valise ou le cercueil » !
Souvenons-nous qu’en 1962, alors que, trahissant les promesses faites à ceux qui l’avaient ramené au pouvoir, de Gaulle se préparait à livrer au bloc indépendantiste prosoviétique nos départements français d’Algérie, il a exigé des « pieds noirs » qu’ils rendent leurs armes, les livrant ainsi sans défense aux tueurs du FLN qui se livrèrent dès lors à des enlèvements et à des massacres systématiques.
Et alors même que les (infiniment rares) résistants à cette politique d’abandon cherchaient fébrilement des armes, on pouvait voir certains faire docilement la queue devant les gendarmeries pour se séparer de leurs seuls moyens de défense !
Stupidité ? Lâcheté ? La question se pose aujourd’hui comme elle se posait en 1962.
Mais la sanction du destin fut implacable et sanglante…
La liberté d’expression est incontestablement plus forte aux USA, on le voit encore au titre de cette traduction, si on compare avec le modèle américain, on voit qu’il en manque un bout.
Mais, mais, mais, il faut bien se rendre compte que la situation aux Etats-Unis est sensiblement la même qu’en France au niveau immigration, métissage et décroissance de la population blanche.
Donc, bien avoir en tête que le problème de la résistance n’est pas, en réalité, une question de liberté d’expression ni même du droit de posséder et de porter une arme:
nous devons tous regarder notre lâcheté en face.
Quitte à me faire quelques ennemis de plus parmi ceux qui critiquent la lâcheté des autres sans prendre eux même le moindre risque, je tiens à dire que c’est surtout la génération précédente qui est amenée à constater la lâcheté de la génération d’aujourd’hui !
Une génération précédente parmi laquelle les combattants n’hésitant pas à risquer leur peau n’ont pas été assez nombreux pour prendre le pouvoir, certes…
Mais une génération précédente qui a tout de même généré plus de 3 000 combattants de l’OAS qui ont payé le prix fort, en termes de familles détruites, d’années de prison, de camarades torturés, abattus ou fusillés.
Où sont, dans la génération actuelle, ces 3 000 combattants prêts à tout sacrifier ?
Vous n’en trouverez pas 1 000, vous n’en trouverez pas 100, et peut-être même pas 10 !
Qu’après toute une vie de combat, en Indochine, en Algérie, dans l’OAS, dans les geôles gaullistes, à la tête du Service d’Ordre du Front National, quelques héros authentiques, tel Roger Holeindre, prennent la plume pour fustiger la lâcheté des tièdes, cela peut se comprendre.
Mais que les « fins observateurs » de la politique et de l’Histoire qui, comme l’a écrit le même Roger Holeindre, « n’ont entendu siffler que les balles de tennis » nous jouent l’éternelle partition « prenez des risques, moi je vous encourage ! » … c’est tout de même dépasser les bornes du ridicule.
Au théâtre de l’Histoire – du moins celui où s’invitent les combattants Nationalistes, il faut avoir payé de sa personne pour avoir droit à la parole.
Ce fut notamment le cas des frères Sidos, fondateurs de Jeune Nation qui, le moment venu, ont partagé les risques des combattants et ont connu, comme eux, la répression et la prison, y gagnant une crédibilité incontestable.