Les récents événements internationaux montrent un basculement progressif du monde vers une redéfinition des rapports de force entre les peuples et les grandes organisations supranationales. Alors que les institutions mondiales tentaient d’imposer un contrôle total sur les nations sous prétexte de « coordination » et de « sécurité sanitaire », la résistance s’organise, et des États commencent à reprendre leur indépendance.
L’exemple le plus frappant est le retrait des États-Unis de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), bientôt suivi par d’autres nations comme l’Argentine. Ce choix marque une rupture décisive : la volonté d’échapper à une tutelle bureaucratique mondiale pour redonner aux peuples la maîtrise de leur destin.
La gouvernance supranationale : un outil de domination
Depuis plusieurs décennies, une élite technocratique a cherché à priver les États de leur souveraineté au nom de la « gouvernance mondiale ». Cette stratégie consiste à déléguer des pouvoirs essentiels – santé, économie, sécurité – à des organismes internationaux, censés garantir une stabilité globale.
Mais derrière cette façade, il s’agit surtout d’un projet de dépossession des peuples. L’OMS, financée en grande partie par des fondations privées et des États, a démontré son véritable rôle lors de la crise sanitaire mondiale : imposer des décisions unilatérales, sans débat loyal, en favorisant une caste financière et industrielle au détriment des citoyens.
La pandémie a servi d’accélérateur à cette dynamique. Sous couvert d’urgence, des gouvernements nationaux ont suspendu des droits naturels, imposé des mesures autoritaires et forcé des traitements expérimentaux sur des populations entières, en se cachant derrière l’argument de « recommandations internationales ». Cette manipulation de la peur a révélé la fragilité des démocraties face à une oligarchie mondiale organisée.
L’Europe : un relais de l’asservissement
En Europe, le problème est double. Non seulement l’OMS et d’autres instances internationales dictent des politiques publiques, mais l’Union européenne elle-même agit comme un relais de cette emprise. Sous prétexte d’unité et d’harmonisation, Bruxelles impose des réglementations contraignantes qui privent les États membres de leur autonomie.
Un exemple frappant est la centralisation des politiques de santé au niveau européen, réduisant les marges de manœuvre nationales et plaçant les décisions cruciales entre les mains d’administrations déconnectées du terrain. À cela s’ajoutent des décisions absurdes, comme la récente autorisation d’incorporer jusqu’à 4 % de larves d’insectes dans les produits alimentaires de base. Une attaque directe contre les traditions culinaires et culturelles des peuples européens, imposée sans consultation populaire.
Le récent coup de rabot budgétaire sur le programme de santé européen est la preuve que cette structure commence elle-même à vaciller. Consciente que son autorité repose sur du sable, la technocratie bruxelloise cherche à redéfinir ses priorités tout en conservant son contrôle. Mais pour combien de temps encore ?
L’impératif du retour aux États-nations
• Face à cette menace bureaucratique et financière, la réponse est évidente : il faut restaurer la souveraineté des nations.
Cela passe par plusieurs étapes essentielles :
- Sortir des traités contraignants qui limitent l’indépendance des États, qu’ils soient économiques, sanitaires ou sécuritaires.
- Réformer les systèmes administratifs nationaux, en réduisant l’influence des instances supranationales et en rendant aux Etats la maîtrise de leurs propres décisions.
- Réaffirmer la primauté du politique sur le technocratique, en redonnant aux élus nationaux un rôle central et en imposant une transparence totale dans la gestion des crises.
- Protéger les identités culturelles et économiques, en refusant les modèles imposés de consommation et de production, qui ne servent que les intérêts d’une minorité mondiale.
Le retour aux nations ne signifie pas un isolement, mais une coopération sur des bases respectueuses des souverainetés. Il ne s’agit pas de rejeter toute forme d’échange, mais de refuser les modèles qui nous dépossèdent de nos libertés fondamentales.
Un réveil des peuples inévitable
L’histoire l’a prouvé : jamais un pouvoir « impérialiste » centralisé et oppressif n’a pu perdurer indéfiniment. L’Empire romain s’est effondré sous son propre poids bureaucratique et militaire. L’Union soviétique a implosé sous la pression des peuples qui aspiraient à la liberté.
Aujourd’hui, le combat est différent mais les enjeux sont similaires. L’oligarchie mondiale a voulu transformer les nations en simples provinces d’un gouvernement global, où les citoyens ne seraient plus que des numéros obéissant aux directives d’une caste invisible.
Mais la résistance s’organise. Partout, des voix s’élèvent pour dénoncer cette mainmise. De plus en plus de pays refusent les diktats des grandes institutions et choisissent de reprendre le contrôle de leur avenir. Ce processus est lent, mais inévitable.
La souveraineté n’est pas un luxe, c’est une nécessité vitale pour garantir l’avenir des peuples. Reprendre en main notre santé, notre économie, notre culture et notre sécurité est une urgence absolue. Et chaque action, chaque prise de conscience, chaque décision en faveur de cette reconquête nous rapproche d’un monde où les nations retrouveront enfin leur liberté.
Le coup d’État mondial n’aura pas lieu. Car l’esprit des peuples libres ne se soumettra jamais.