Henri Roques est né à Lyon le 10 novembre 1920. Il s’engagea dans plusieurs mouvements nationalistes, depuis le Rassemblement national populaire (RNP) de Marcel Déat durant la guerre, le mouvement Citadelle et les Phalanges françaises, dont il fut le secrétaire général, durant les années cinquante, jusqu’au Front national (FN). Il y milita avec son épouse durant les années 1980.
Ingénieur agronome, il s’est intéressé aux études révisionnistes à partir de 1955, date à laquelle il découvrit Le Mensonge d’Ulysse de Paul Rassinier. C’est ce dernier qui lui parla du « rapport Gerstein » dont il est devenu le meilleur spécialiste. Après son départ à la retraite, il a présenté avec succès une brillante thèse universitaire en littérature comparée en 1985 à l’université de Nantes.
Le travail de Roques confronte les quatre versions françaises et les deux versions allemandes du témoignage de Gerstein. Il s’emploie à souligner leurs incohérences pour conclure à la nullité du témoignage. Il y disséquait les différentes versions proposées du « témoignage » (extorqué) de Kurt Gerstein et concluait à l’impossibilité d’utiliser ce document dans le cadre des études historiques, comme le faisaient sans vergogne de prétendus historiens.
Il obtint cette thèse malgré de multiples obstacles : son premier directeur de thèse ne put former de jury, tous se récusant malgré l’excellence de la thèse, apeurés par le caractère explosif de la thèse remettant en cause le dogme de la “Shoah”. L’obtention de la thèse, avec la mention « Très bien » et les félicitations du jury, mobilisa toute l’anti-France : le Dr Roques fut l’objet d’une violente campagne de haine.
« Mon premier but est très simple : servir la vérité. J’ai voulu offrir aux historiens des textes intégraux auxquels ils puissent accorder leur confiance. J’ai voulu leur éviter de tomber dans les erreurs de leurs prédécesseurs. Mon second but : contribuer quelque peu à ce que l’école révisionniste, qui se consacre à mettre l’histoire de la Seconde Guerre mondiale en accord avec les faits, se voit reconnaître un droit de cité dans l’Université »
avait-il déclaré lors de la soutenance de sa thèse, publiée par la suite par la librairie Ogmios.
« Céline, notre grand Louis-Ferdinand Céline, a trouvé un magnifique adjectif pour qualifier les chambres à gaz […] Il a parlé des ‘magiques chambres à gaz’. En effet pour pénétrer dans le monde des chambres à gaz, il fallait un maître magicien et Gerstein fit parfaitement l’affaire. […] J’ai considéré et étudié le document Gerstein dans six versions comme n’importe quel autre document auquel on prétend donner une valeur historique ».
La communauté juive organisée, à la suite d’intenses pressions, finit par obtenir du ministre de l’enseignement supérieur de l’époque, M. Alain Devaquet, qu’il annule la soutenance de cette thèse pour un vice de forme secondaire, mesure unique – et inique –dans l’histoire de l’Université
Après l’annulation de sa thèse, il publie deux ouvrages sous le pseudonyme d’André Chelain en reprenant les arguments de sa thèse : Faut-il fusiller Henri Roques ? (Paris, Polémiques, 1986) et La thèse de Nantes et l’affaire Roques (Paris, Polémiques, 1989).
Le docteur Henri Roques a poursuivi les années suivantes son travail d’étude historique. Il dirigea la Revue d’Histoire révisionniste de 1990 à 1992, qui fut interdite par la tyrannie du judapo à la suite de l’adoption de la loi liberticide connue comme Loi Fabius-Gayssot, après deux années de persécutions (dès le premier numéro en 1990, le ministre de l’Intérieur Pierre Joxe la fit interdire de distribution aux mineurs, de publicité, etc.).
Le Dr Henri Roques étant hospitalisé depuis une semaine à l’hôpital Louis-Mourier de Colombes pour une double embolie pulmonaire, il s’y est éteint, à l’âge de 93 ans, le dimanche 16 mars 2014.
Pour aller plus loin :
Au nom de la Liberté que d’interdits, au nom de la Vérité que de mensonges !
Tous ces lobbies subventionnés et arrogants finissent par se ridiculiser et se discréditer. Pire leurs basses et inutiles manoeuvres, et gesticulations, produisent l’inverse de l’effet recherché puisque les plus courageux, s’apercevant de la grossièreté des mensonges, et de la défense outrancière de ceux-ci, finissent par les combattre, parfois jusqu’à l’excès tout aussi outrancier, lorsque d’autres les ignorent malgré qu’elles soient érigées en Nouvelle Religion Républicaine inculquée en lieu et place de la vraie Religion catholique aujourd’hui ignorée, y compris dans l’enseignement catholique.
Un mensonge peut-il en cacher plusieurs autres jusqu’à faire écrouler tout l’édifice mettant en doute la réalité des populicides commis pourtant ?
La réalité et la vérité ne sont elles pas suffisantes ? Combien de populicides avant, particulièrement avec la Terreur républicaine, et après, encore aujourd’hui ? La compassion que nous ressentons pour les souffrances d’autrui est saine, et se justifie peut être par celles que nos anciens ont subis, inscrites dans notre attavisme que nous devons dépasser pour vivre, et vivre avec le Christ qui a pris nos péchés avec les souffrances de la Sainte Croix. Il ne faudrait pas que notre ampathie disparaisse comme notre Charité (le cœur avec Dieu) s’essouffle.
Jusqu’à quel points ces « excès de la réalité » justifieront ils les exactions des talmudo-messianistes-sionistes, ces quelques sectes qui s’arrogent le droit de parler au nom « des Juifs », les prenant en otage, les enfermant dans une prison de mensonge, et peut être dans le tombeau d’Israël pour un « Nouvel Holocauste » (un sacrifice à dieu, mais auquel ?) ?
Car les crimes des islamistes, justifiés par certaines sourates de leur Coran et la vie même de Mahomet, aux antipodes de celle du Christ, est consubstantiel à leur idéologie tout autant anti Chrétiens qu’anti « Juifs ».
La vérité suffit pourtant à elle seule. En en rajoutant on finit par dénaturer la vérité et en criant plus fort les oreilles finissent par se fermer.
D’ailleurs en quoi l’existence réelle ou supposée des chambres à gaz change t elle quoi que ce soit à cette ignominie ? Car après tout n’est-ce finalement pas un détail dans la manière où tout ces pauvres gens sont morts, « Juifs » et autres, généralement de manière plus infâmes, plus douloureuses, plus monstrueuses qu’un gazage ?
Et puis combien de dizaines de millions morts, de blessés, d’orphelins durant ce conflit mondial, sous les bombardements des uns et des autres, particulièrement des populations civiles sous les bombardements anglo-américains ? Combien de prêtres et de religieuses tués, dont un tiers du clergé allemand tué par les nazis.
Et le prochain conflit mondial provoqué par une diplomatie supposée européenne, à la remorque d’un État profond américain aujourd’hui en phase d’être liquidé peut être, imprudente, vindicative et fourbe. Qui va encore souffrir ?