Et si la reddition du Japon avait été retardée pour pouvoir lancer les deux bombes atomiques ? Il est maintenant admis par tout le monde que la reddition du Japon n’était pas l’objectif des deux bombes lancées les 6 et 9 août dans ce qui restera une sorte de 69 atomique « américain ».
Le Japon avait déjà proposé sa reddition à partir d’avril 1945, dans des termes très proches de ceux finalement retenus, la seule condition qu’ils avaient : qu’on ne touche pas à l’Empereur. Refusée par les Américains, alors que pourtant, par la suite, non seulement les Américains ne vont pas toucher à l’Empereur (en le faisant comparaître pour crime de guerre), mais qu’ils vont s’appuyer sur lui pour gérer l’après-guerre. Pourquoi alors avoir retardé la reddition ? Parce que les bombes n’étaient pas prêtes !
Deux raisons ont été jusqu’ici avancées pour expliquer ces deux bombardements : marquer de façon spectaculaire l’ouverture de la période de domination américaine, et faire peur à Staline et à l’Armée rouge qui menaçaient de déferler sur le reste de l’Europe.
En voici une troisième : et si ces deux bombes avaient eu pour but d’ouvrir « l’âge atomique », sous-entendu, de fermer l’ère chrétienne ? L’expression « âge atomique » est due au journaliste du New York Times William Laurence né Leib Wolf Siew, un Juif Lituanien, il était présent dans le bombardier au-dessus de Nagasaki.
Trois éléments, très antichrétiens et vérifiables par tout le monde, sont à relever :
1 – Le premier essai de la bombe atomique de toute l’histoire de l’humanité a lieu le 16 juillet 1945 près de la ville de Socorro, le nom du test : « Trinity ». Quel blasphème ! La trinité, c’est le Père, le Fils et le Saint-Esprit, la circulation de la vie et de l’amour dans ce Trois qui est Un. Utiliser ce nom pour désigner une arme capable de détruire tout ce que Dieu a créé est évidemment une insulte, un crachat.
Notons la date de l’essai, 16 juillet 1945, il n’était donc pas possible de lancer les vraies bombes avant ! Lancement des deux bombes, trois semaines après le test. La chronologie parle d’elle-même : qu’il aurait été dommage de recevoir la reddition du Japon en mai 1945 alors qu’on était si proche du but côté bombe atomique, n’est-ce pas ?
2 – La bombe à destination de Nagasaki, « Fat Man » a été « bénie » par le chapelain de la base de départ du B-29, Tinian dans les Mariannes : détail sadique qui fait le délice de tous les francs-maçons.
3 – Seules deux bombes atomiques ont été lancées « pour de vrai » dans toute l’histoire de l’humanité, l’une des deux tombe sur la seule ville catholique du Japon : Nagasaki. Elle ne tombe même pas sur le port militaire de Nagasaki, qui reste intact, mais sur la ville où se trouvent quasiment les seules cathédrales et églises de tout l’archipel.
Erreur de tir ? Il y avait des nuages ? Mais est-ce qu’on s’imagine qu’il était prévu de lancer une bombe atomique au jugé ? Et le radar embarqué à bord du B-29, hors d’usage ?
Résultat, 7 000 des 14 000 catholiques de Nagasaki tués sur le coup, mais aussi des prisonniers de guerre américains dont on savait qu’ils étaient retenus là.

Voilà, si on le souhaite, on peut maintenant quitter le domaine des éléments vérifiables (qui se suffisent à eux-mêmes) pour consulter cette vidéo : « The secret of Nagasaki » [NDLR : La vidéo a été retirée de la plate-forme source et n’est plus disponible sur le web…] . Elle comporte une dose de conspirationnisme que beaucoup refuseront d’ingurgiter, mais qui apporte des éléments très intéressants (dont beaucoup sont également vérifiables), comme elle est en anglais, voici la trame :
Le projet de bombe atomique a dès le départ été infiltré et capté à son profit par une secte « the brotherhood of death » (la fraternité de la mort).
Le 13 septembre 1942 se tient au siège de cette confrérie, le Bohemian Club, situé à San Francisco en Californie une conférence à laquelle participent de nombreux membres du comité S1, l’ancêtre du projet Manhattan, comme par exemple : Vannevar Bush, ingénieur (un personnage tout à fait remarquable d’ailleurs).
Bernard Baruch, personnage proéminent de la secte à l’époque également membre du comité S1, conseiller de Franklin Delano Roosevelt dont le père, Simon Baruch est un Juif émigré d’Allemagne, et sa mère une juive sépharade. Eisenhower dira que ce qu’il avait de mieux dans sa vie pour la suite de sa carrière, c’était de faire la connaissance de Bernard Baruch
Henry Stimson autre membre d’une importance capitale pour le sujet, il est secrétaire à la guerre, l’idée de Nagasaki est de lui.
Le général Leslie Richard Groves, responsable du projet Manhattan
Le journaliste William Lawrence déjà cité, seul civil à assister au test puis à monter dans les avions pour Hiroshima et Nagasaki, désigné pour ces missions par le général Leslie Groves à la demande de Bernard Baruch.
Harry Truman qu’on ne présente pas.
Dès le départ, alors qu’il n’y a qu’une bombe de prête, Stimson annonce avoir en tête Nagasaki.
Hiroshima est visée la première dans un but de camouflage, selon la théorie marketing de toujours être le premier dans sa catégorie, personne ne se souvient du deuxième.
William Lawrence qui devait monter dans l’avion pour Hiroshima, arrive en retard exprès et manque le vol, sa mission pour Nagasaki est trop importante pour qu’on le risque sur Hiroshima.
C’est en effet lui qui doit communiquer au dernier moment, dans l’avion en vol, l’ordre de viser la ville de Nagasaki au commandant de vol Charles Sweeney et à son armurier et viseur Frederick Ashworth (les deux n’étant pas dans la conspiration)
Nagasaki n’aurait jamais dû être une cible, la ville surtout, n’avait aucun intérêt militaire et elle abritait un camp de prisonniers de guerre américains et coréens ce que les Américains savaient. D’autre part, Nagasaki avait fait l’objet d’un bombardement conventionnel le 1er août, or, pour pouvoir étudier l’effet de l’arme atomique, il avait été décidé de ne pas faire de bombardement conventionnel sur les cibles potentielles des bombes atomiques.
Le 9 août, l’avion se dirige vers Kokura, sa cible officiellement désignée, mais il s’en détourne parce qu’il y a des nuages : ce n’est pas vrai, ce jour-là, il faisait beau sur Kokura.
C’est que William Lawrence a donné le véritable objectif : Nagasaki. Là, il y a des nuages. L’avion se dirige grâce à son radar, mais ensuite, pour larguer la bombe, il doit y avoir contact visuel, on ne lâche évidemment pas une bombe A au jugé. Et puis, après plusieurs passages, il y a un trou dans les nuages, et Ashworth (Ash = cendre, worth = valeur !) voit la cible, il dit « I got it », ce qu’il voit, c’est bien une ville, pas un port. Il lâche la bombe et l’équipage fait son rapport, objectif atteint à 500 yards près.
Par la suite, les Américains aident à reconstruire les cathédrales, à condition que les ruines des anciennes ne soient pas préservées.
Pour aller plus loin :
Nagasaki, un objectif spirituel !
6 août 1945 : Hiroshima, la « libération » par l’armée du crime au Japon
Hiroshima était-il indispensable ?
L’apocalypse incendiaire et atomique des bombardements alliés sur le Japon
La bombe atomique? La bombe atomique dit aussi nucléaire n’existe pas!
https://www.renegadetribune.com/hiroshima-firebombed-not-nuked/?
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Hiroshima comme Nagasaki sont, de nos jours, devenues des villes resplendissantes. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle que les habitants de Fukushima se sont montrés, avec raison, récalcitrant à vouloir quitter les lieux comme il leur avait été recommandé après la catastrophe de leur centrale nucléaire. Sans doute qu’ils soupçonnaient à forte raison que toutes ces histoires au sujet de radiations néfastes qui causent le cancer ou tutti quanti n’étaient que du pipo.
A propos, à Tschernobyl il y a tjs encore des habitants vivant à un âge avancé qu’on ne peut qu’envier et l’endroit est devenu un des plus beaux parcs naturels au monde.
https://www.youtube.com/watch?v=ZviTkgr_iLo
(Radioaktive Wölfe rund um Tschernobyl – Dokumentation Deutsch)
Comme un Japonais nationaliste et amateur d’histoire, depuis quelques mois je lis presque chaque jour les articles de Jeune Nation qui sont tous très instructifs, mais ceux de M. Goumain m’amusent et m’inspirent particulièrement.
Pour cet article, on pourrait compléter la dernière phrase comme suit : après la guerre, on a essayé de préserver telles quelles les ruines de la cathédrale d’Urakami à Nagasaki (appelée dans Wikipédia « Cathédrale de l’Immaculée-Conception de Nagasaki » ) mais sous la pression des Américains qui ont sans doute voulu effacer les traces de leur crime, on devait décider à débarrasser les décombres et reconstruire la cathédrale toute neuve, alors que la préservation du dôme de la bombe atomique à Hiroshima a été tolérée.
Il est à signalé que le père franciscain Maximilien Kolbe, fondateur de l’abbaye de Nagasaki et dont aucun des frères qui y résidaient sont morts et n’ont subis aucune radiation, un dôme miraculeux les ayant sans doute protégés. Ce franciscain est mort en camp de concentration en prenant volontairement la place d’un chef de famille.
« Mort héroïque de Saint Maximilien Kolbe à Auschwitz
À la fin de juillet 1941, un prisonnier du bloc 14, celui du Père Maximilien, s’est évadé. Le chef de camp avait prévenu que, pour chaque évadé, dix hommes seraient condamnés à mourir de faim et de soif. Un des malheureux désignés pour la mort s’écrie: « Oh! ma pauvre femme et mes enfants que je ne reverrai plus ! »
“Alors, au milieu de ses camarades interdits, le Père Maximilien se fraie un chemin et sort des rangs. «Je voudrais mourir à la place d’un de ces condamnés», et il désigne celui qui vient de se lamenter. « Qui es-tu? » demande le chef. « Prêtre catholique », répond le Père. Car c’est comme prêtre catholique qu’il veut donner sa vie. L’officier, stupéfait, garde un moment le silence puis accepte l’héroïque proposition.”
Dans le bloc de la mort, les geôliers se rendent compte qu’il se passe quelque chose de nouveau. Au lieu des cris de détresse habituels, ce sont des chants qu’ils entendent. La présence du Père Maximilien a changé l’atmosphère de l’affreuse cellule. Le désespoir a fait place à une aspiration pleine d’espérance, d’acceptation et d’amour, vers le ciel, vers la Mère de Miséricorde. À la veille de l’Assomption, seul le Père Maximilien est pleinement conscient.
“Au moment où les gardes entrent pour l’achever, il est en prière. Voyant la seringue, il tend lui-même son bras décharné à la piqûre mortelle.”
Les explosions de deux bombes atomiques étaient évidemment une menace américaine dirigée contre l’URSS. Trois mois après la capitulation de l’Allemagne, elles marquèrent le début de la guerre froide. Un ticket d’entrée à 300.000 victimes : encore une fois les Khazars n’eurent aucune limite.
L’objectif des bombardements du Japon étaient d’éviter que le Japon ne se rende aux Soviétiques : à la suite de l’offensive de Manchourie, l’Armée Rouge avait totalement éliminé l’armée du Guandong (600.000 prisonniers) au nord de la Chine et en Corée et se préparait à envahir Hokkaïdo, l’île nord du Japon.
Comme le précise Francis Goumain, les Américains préféraient protéger le système impérial japonais plutôt que le Japon ne devienne un pays communiste.
La reddition officielle du Japon à été signée le 2 septembre sur le cuirassé américain Missouri mais annoncée par l’Empereur le 15 août. L’armée Rouge avait prévu d’entrer dans Hokkaïdo le 24 août mais Staline y a renoncé le 22 août sous la pression des Américains.