Deterna, 240 pages, 26 €
Préface de Philippe Randa.
« Puérilité : c’est le seul mot décent, le seul mot juste que l’on puisse employer pour ce livre, où l’on voit l’auteur s’agenouiller de page en page, avec un respect religieux, devant tout ce que représentent l’Allemagne et l’hitlérisme » (Robert Brasillach, L’Action française, 8 juillet 1937).
« Un gentilhomme breton est ébloui par le Reich hitlérien. Passionnant parce que subjectif. Cette approche mystique du national-socialisme est le seul témoignage français de valeur ouvertement favorable à l’activisme hitlérien » (L’Esprit public, novembre 1963).
« La Gerbe des Forces avait fait l’effet d’une bombe parce qu’elle ne parlait pas seulement de la paix entre la France et l’Allemagne : le tissu “spirituel” qu’on y trouvait, sous prétexte que le national-socialisme prônait “le sacrifice” et “l’effacement devant la communauté”, était apparu gênant à bien des cœurs français. Du moins en 1937, les armées allemandes étaient-elles encore au-delà du Rhin » (L.A. Maugendre, Écrits de Paris, mai 1977).
Si les papes Pie XI et Pie XII ont condamnés, en leur temps, le national-socialisme, cela n’a certes pas empêchés nombre de chrétiens de rejoindre le camp hitlérien. Parmi eux, un catholique parmi les plus fervents de la chrétienté est devenu un véritable mystique du national-socialisme. C’est un écrivain français et non des moindres : né en 1877, Alphonse de Chateaubriant a obtenu en 1911 le prix Goncourt pour Monsieur des Lourdines et le Grand Prix de l’Académie française en 1923 pour La Brière.
Chateaubriant bascule brutalement dans l’Ordre nouveau et porte témoignage de sa conversion dans ce livre tout imprégné de foi mystique qui devait tant émouvoir le Führer. Il fut un chrétien sincère et le resta au-delà – ou à travers – son engagement aux côtés de l’Allemagne national-socialiste.
Disponible sur la Boutique des nationalistes
Merci pour cet article. C’est tellement agréable d’entendre parler du national-socialisme quand tous ceux qui insultent avec le mot nazi, ne savent pas de quoi il retourne.
Une pensée pour Robert Brasilliach, le militant poète fasciste français.
D’accord, mais pourquoi Brasillach qualifie t il le livre de pueril?