Message de Perdo Chaparro, leader de Democracia Nacional, au forum de l’Europe et de la Nation qui s’est tenu à paris le 7 mai 2022. Pedro Chaparro est actuellement emprisonné en Espagne pour sa participation à l’action pacifique et humoristique contre le séparatisme catalan de la Blanquerna.
Salutations à tous mes camarades européens, en particulier Pierre Marie et Yvan Benedetti.
De cette « fenêtre sur le monde extérieur », je voudrais m’adresser à vous, mes camarades européens, pour dénoncer la situation de persécution que nous, nationalistes espagnols, traversons.
Comme vous pouvez le constater, je suis actuellement détenu dans une prison après une condamnation injuste pour avoir défendu l’unité de mon pays avec un groupe de camarades.
Bien que je dispose de quelques heures par jour d’Internet et d’une ligne téléphonique pour communiquer, ma situation actuelle m’oblige à être confiné du lundi au vendredi dans un centre pénitentiaire 24 heures sur 24 pour avoir défendu ce que nous avons de plus sacré, l’unité de notre peuple.
La persécution que j’ai moi-même subie à l’âge de 35 ans ne correspond pas seulement à l’affaire Blanquerna, je suis aussi la seule personne de mon pays dont la liberté de mouvement a été interdite, et j’ai été interdit de voyage en Catalogne pendant 3 ans à titre préventif.
Cela ne m’a pas empêché de diriger un mouvement nationaliste, Democracia Nacional, dont je suis fier de compter des centaines de camarades qui combattent l’Espagne contre l’ennemi intérieur et extérieur.
Nous, les patriotes européens, sommes des ennemis du système, mais nous avons raison et c’est pourquoi nous allons changer le cours de l’histoire avec la passion frénétique de nos militants.
Nous gagnerons en suivant l’exemple des héros qui ont forgé l’Occident dans toute l’Europe, et si nous mourons dans cette tentative, nous serons fiers d’avoir accompli notre devoir et nous n’aurons pas à rougir au moment de donner notre vie.
Un souvenir spécial pour les camarades Roberto Fiore, Ioannis Lagos et Budahàzy, ainsi que pour les camarades de Blanquerna qui, comme moi, sont empêchés de voyager à l’étranger et autres mesures préventives absurdes.
Que ceux qui nous ont trahis tremblent aujourd’hui, que ceux qui nous ont emprisonnés tremblent aujourd’hui, que ceux qui nous ont empêchés d’être avec nos familles et de nous occuper de nos enfants tremblent aujourd’hui, car le jugement et le châtiment d’un sentiment qui bat déjà dans tous les coins de la vieille Europe s’abattra sur eux.
Pedro Chaparro
Commentaires 1