« La coloration claire de la peau des Européens, comparée à celle des autres habitants de la planète, les a classés comme étant blancs. Ainsi, l’Européen est ordinairement qualifié de Blanc, et le peuple de France étant fondamentalement européen, n’est pas un Français naturel celui qui n’est pas Blanc. » (Pierre Sidos)
Ce vendredi 15 novembre 2024, une incontournable plateforme de partage de vidéos s’est vue gratifiée par une nouvelle production du très modestement nommé « Cercle Aristote », géré par le souverainiste Pierre-Yves Rougeyron, lequel s’est entretenu avec un certain « Papacito », figure – malheureusement – incontournable du « milieu ». Au programme de l’émission : « Droite, France et Foi », vendeur sur le papier. Il n’est pas question ici de faire un commentaire détaillé de ladite vidéo, mais de s’attarder sur un passage particulier de celle-ci, révélateur d’un mal qui ronge de nombreuses cervelles prétendument de Droite.
Regardez cette courte vidéo qui ne dure qu’une petite minute trente. Papacito, avec l’air hautain qui le caractérise, se demande quelle est la différence entre un Berbère et un Andalou, et semble nous apprendre qu’aller vers l’est sans discontinuer nous fera trouver des peuplades asiatiques, avant de conclure très solennellement qu’ « on ne peut pas circonscrire une légitimité racialement, parce qu’on est la France ».
Peut-être que comme moi, chers lecteurs, vous possédez une paire d’yeux fonctionnelle et savez distinguer un Blanc d’un Noir, ou d’un Arabe. C’est là tout le vice dont Papacito fait preuve, appuyé par la flasque lâcheté d’un Rougeyron avachi dans son siège : utiliser l’existence d’un métissage (par exemple en Espagne du fait des invasions arabo-musulmanes) afin d’affirmer qu’il est impossible de reconnaître la légitimité de la race blanche sur tel ou tel territoire d’Europe.
Mais pour comprendre cet aveuglement racial dont font ici preuve nos deux protagonistes, il est bon de se pencher sur leurs cas respectifs. Notre Rougeyron (inter)national, déjà bien connu de notre camp pour avoir osé dire qu’il aurait fusillé Brasillach et Céline de ses propres mains, se distingue aussi par la femme avec laquelle il partage sa vie : une Asiatique. Quand à Papacito, ses écrits de mauvaise facture ont au moins pu apprendre à ceux qui ne l’avaient pas vu danser à son mariage en tenue traditionnelle africaine, qu’il était en proie à une véritable fétichisation des femmes noires. Je vous épargnerai, car je tiens à vous, toute l’incontinence du plaidoyer qu’il dresse en faveur des femmes noires, et en particulier sur le plan sexuel.
Il est coutume d’entendre que l’on ne mord pas la main qui nous nourrit. De la même façon, comment voulez-vous demander à ces deux excités de la droite antiraciste de cesser leurs négation de la blancheur Française, ou d’arrêter leur relativisme moral au sujet du métissage, alors qu’ils sont tous deux consommateurs de femmes non-blanches ? Parfois les réalités sont aussi triviales que cela. Par extension, cet aveuglement racial, qui ne semble d’ailleurs toucher que des Blancs, fait dire à Papacito qu’il préfère un Noir patriote à un Blanc gauchiste. Ne portant aucune affection envers les traîtres gauchistes (pléonasme), l’honnêteté me commande néanmoins de reconnaître qu’un gauchiste peut devenir de Droite, tandis qu’un Noir ne peut pas se changer en un Blanc, donc par extension en un Français naturel. Cette fausse dichotomie est particulièrement prisée et donc présente dans la bouche des apologistes de « l’antiracisme patriote » ou de la « Droite antiraciste ».
Je suis vraiment navré d’avoir tiré sur l’ambulance, mais il était nécessaire d’exposer ces gens tels qu’il sont : des ennemis de la France. L’homme est un animal raisonnable, dotée d’une âme et d’un corps, nous enseigne le catéchisme. De la même manière, la France est également un corps et une âme. Son corps est le sang qui coule dans les veines de ses fils. Ce sang peut se perdre, mais il ne s’acquiert pas, aussi injuste cela puisse sembler aux yeux de quiconque.
La France est une nation blanche, chrétienne et européenne, c’est son héritage racial, spirituel et civilisationnel historique.
« La France est une nation blanche, chrétienne et européenne, c’est son héritage racial, spirituel et civilisationnel historique. »
D’aucuns distinguent les blancs, les noirs, les jaunes, mais dans leurs analyses associent un blanc khazar avec un gaulois. Et ceci légitimerait un identitarisme commun qui définirait un ennemi commun le bougnoul/magrebin/palestinien racaille. Je n’adhère pas à cette analyse mais certains auront peut-être un avis différent.
Pour « certains » peut-être. Pour ce qui nous concerne à JN, il n’y a pas d’ambiguïté. Nos positions sur l’imposture du « judéo-christianisme » sont connues…
Se demander si les Khazars, c’est à dire les Ashkénazes, qui ne sont en aucun cas des sémites, sont blancs ou ne le sont pas n’a aucun sens !
Il nous suffit de savoir qu’ils représentent la majorité de la diaspora judaïque mondiale, omniprésente dans le secteur bancaire international.
Et que l’anéantissement de toutes les nations, préalable incontournable de la mondialisation dont ils entendent être les maîtres ne fait pas seulement d’eux les pires ennemis des peuples d’Europe, mais de TOUTES LES ETHNIES, qu’ils entendent diluer dans un magma indifférencié.
S’attaquant ainsi aux différences ethnoculturelles qui font toute la richesse de l’humanité, ils ourdissent et perpètrent sous nos yeux, à l’échelle de toute la planète, le plus criminel génocide qui puisse être imaginé.
Génocide contre lequel nous sommes le seul obstacle !
Vous avez parfaitement raison, Jean-Paul, et ce que vous expliquez m’amène à faire la remarque suivante : les Ashkénazes sont des Blancs et se considèrent comme tels, comme quoi le seul critère de la race (et donc de la couleur de la peau) ne peut être suffisant pour distinguer entre le fondamentalement mauvais et le forcément meilleur, et qu’il mènerait, si l’on s’en tient à cela seulement, à un racisme ou un racialisme qui ne peuvent plus être notre seul critère d’appréciation des risques que nous encourons ou des dangers qui nous menacent.
L’existence des races est une évidence (c’est d’ailleurs pourquoi le dernier truc à la mode, chez les gauchistes, consiste à le nier puisque ça leur pose un problème insurmontable), et il faut le moins possible les mélanger : une place pour chaque race et chaque race à sa place.
Mais parmi les Blancs on observe aussi des traits physiologiques différents (en conséquence de quoi les nazis ont pu préférer ceux d’entre les Blancs qui avaient les cheveux et les yeux clairs), et il y a entre certains Blancs des querelles inexpiables, comme entre Français et Anglais, sans oublier ces autres Blancs qui sont des gauchistes, d’un pouvoir de nuisance tel que je les qualifierais volontiers de « race à part »…
Nous autres, nationalistes français, devons donc bien-sûr préférer la race blanche à laquelle nous nous rattachons, mais aussi notre GROUPE NATIONAL parmi les différentes nations européennes ou occidentales constituées de Blancs qui nous entourent.
Le nationalisme français, ce doit être cela et seulement cela : la France avec à l’intérieur des Français qui sont des Blancs et dont plus aucun n’est de gauche, et la défense par ces Français des intérêts supérieurs de leur pays.
Bonjour M. Leclerc,
Je profite de votre article pour vous poser des questions: Pourquoi Le PdF soutient Zemmour/Knafo et l’entité sioniste? Avez-vous des relations avec le lobby des trumpistes sionistes en France? On voit en effet leur progression dans l’extrême-droite française.
Cordialement
T inquietes c est tous des tradi les cadres au cul de zemmour et pour moi ils sont crames definitif…
Un ouvrier francais preferera toubours un ouvrier arabes qui travaille avec lui qu un juif des beaux quartiers bougeois qui ne travaille jamais de ses mains…meme le pire des racistes car a force de cracher sur les blancs des politicards et des journalistes juifs ont semes une haine irreversible a leur endroit.
Bonjour,
Le PDF n’a pas de rapport avec le site Jeune Nation.
À JN nous avons tjs dénoncé le sionisme. De même nous avons tjs dénoncé l’imposture R! Zemmour Knafo pour lesquels nous n’avons aucunes sympathies.
Cordialement
Mr Maclard…
Les « sympathies » n’ont aucune justification en matière de lutte politique, sinon pour embrigader Bécassine au moment d’un scrutin !
La seule question réaliste – et qui concerne même et surtout les plus « antipathiques » est celle-ci : Dans quelle mesure pouvons-nous les utiliser pour passer la première étape qui conditionne toute prise définitive de pouvoir et qui consiste évidemment A RENVERSER LE POUVOIR EN PLACE !
Affaiblir qui que ce soit portant des coups au pouvoir que nous devons renverser équivaut à marquer des buts contre son propre camp.
Créer notre propre mouvement ? D’accord ! Mais à condition qu’il ne soit pas un prétexte pour nous enfermer dans notre « tour d’ivoire » en jetant stupidement l’anathème sur les autres opposants !
Il faut au contraire maintenir ouverte des passerelles idéologiques incitant les plus réfléchis de leurs militants à glisser progressivement vers nous !
Ce n’est pas en affichant notre mépris que nous y parviendrons.
Quitte à en « défriser » certains, je témoigne, au crépuscule de toute une vie de combat pour nos valeurs, que la politique n’est pas une affaire de boy-scouts, mais qu’elle implique un maximum de souplesse manœuvrière, de ruse, de rouerie, de manipulation.
Le véritable dévouement à une cause aussi sacrée que celle qui nous rassemble ne consiste pas seulement à risquer sa vie, mais aussi à se salir les mains et à risquer son âme !
Ceux qui ne le comprennent pas n’ont rien à faire parmi nous. Qu’ils aillent prier dans un monastère ! Certains jugerons qu’après tout ce peut être utile.
Pour en remettre une couche je ne comprenais pas pourquoi Roger Holeindre detestait les NS… DE SA BOUCHE A ESCOS 64270 lors de sa conference.
« Je ne suis pas raciste « ma premiere couche » etait une indochinoise. »
« Une femme noire magnifique d un cadre local de Carl Lang …moi ca ne me derange pas… »
» J ai mes habitudes chez des petits commercants asiatiques …ils sont inquiets a notre sujet…je les rassure….mais non mais non….vous ne partirez pas tous… »
J etais avec maitre Pecastaing qui avait servit d avocat au GAL espagnols et des figures aficaines genre Bokassa… Il refusait de lui parler et le detestait au motif qu il avait frequente des gens comme David duke…des officiels Iraniens…
Citation de maitre pecastaing:
ROGER HOLEINDRE deteste les NS comme toi et moi au FN pour lui c est comme avoir des casseroles au cul. Autrefois par pression il a pousse poliment avec d autres une partie du bureau politique trop sulfureux a la porte (Castrillo ????bousquet????…).
Maitre pecastaing est mort mais il m en a appris des choses croustillantes.
Quand on parle de la vraie France, il y a une ligne de rupture qui apparaît de plus en plus clairement entre le souverainisme (lequel n’est qu’une imposture car une concession à la république franc-maçonne) et le vrai nationalisme (fondé dans la fidélité à la mémoire des Rois et du Maréchal, au nom du Christ). En ce sens, j’approuve totalement la condamnation à l’encontre de Pierre-Yves Rougeyron et de Papacito, l’un étant gaulliste et l’autre autant acquis au national-sionisme que son interlocuteur. Il m’est arrivé de trouver que certaines de leurs interventions étaient intéressantes, mais ce temps est révolu : quand on trie le bon grain et l’ivraie, il faut savoir trancher. À présent, je ne suis plus leurs vidéos respectives ou conjointes que pour ajouter de nouvelles pièces à charge, et continuer à forger des armes critiques contre un soi-disant patriotisme ouvert aux quatre vents. Le chantier de la France à reconstruire pourrait se limiter à une adversité : celle des antifascistes déclarés, lâchement asservis au front républicain, et c’est déjà un obstacle en soi. Il se trouve que l’adversité est plus complexe, regroupant également les imposteurs. Car Rougeyron, pour brouiller les cartes, continue à se qualifier de nationaliste. Il déclare ne pas être franc-maçon, mais cela ne change rien au fait qu’il est partie prenante de l’humanisme fraternel, ce qui en définitive revient au même : De Gaulle, dont il se réclame, avait réhabilité la franc-maçonnerie ; Rougeyron se dit l’ami du gnostique abbé de Tanouarn et fait l’éloge du pagano-christianime, toutes hérésies ayant servi de terreau à une fraternité dont, faut-il le rappeler, l’agenda de tolérance appuie celui par lequel le judaïsme politique s’acharne à venir à bout de nos contrées. Tout se passe comme si Rougeyron appartenait à une génération d’influenceurs dont le but est, par proximité illusoire, d’infiltrer-neutraliser-détruire toute possibilité de résurgence du véritable nationalisme réactionnaire. D’où sa boulimie bibliographique, ses références qu’il assène mécaniquement, ainsi que l’activité de ses cercles de province, dont le but est d’opérer des conversions au souverainisme au détriment des conversions potentielles à une ligne authentiquement de droite. Pierre-Yves Rougeyron travaille ainsi le consensus, de la même manière qu’Adrien Abauzit travaille les mouvances plus conservatrices en se servant du sédévacantisme pour retourner, insidieusement, le couteau dans la plaie d’un catholicisme déjà en crise. Pour compléter cette entreprise subversive, le franc-maçon Jean-Maxime Corneille occupe le terrain du débat afin de contaminer doctrinalement les influenceurs nationalistes, de la même façon que Gilbert Collard et Valéry Le Douguet, en leur temps, avaient œuvré à porter un coup de grâce au peu de radicalité qui restait encore au sein de feu le Front National. C’est parce que j’ai fini par m’apercevoir de l’instrumentalisation des idéaux d’empathie et d’altérité que j’en suis venu à défendre, comme je le fais à présent, un racisme construit, émanant logiquement de la prise de conscience renforcée des implications de ce qu’a toujours été mon identité d’homme français, blanc, aryen, hétérosexuel et de culture catholique. Privilégier l’unité au sein de la mouvance nationaliste ne fait donc pas débat, à condition de s’accorder sur une définition intégrant le caractère de nécessité d’un certain nombre de critères distinctifs, tant culturellement que politiquement, et dont l’une des conséquences, sur les bases sémantiques susdites, amène naturellement à écarter des profils tels que ceux de Rougeyron et de Papacito, au profit des authentiques référents nationalistes que sont Pierre-Marie Bonneau, André Gandillon, Jean-Paul Le Perlier, Philippe Ploncard d’Assac, Jérôme Bourbon, Vincent Reynouard, Yvan Benedetti et assimilés.
On ne va pas se mentir, la France d’avant 1914, elle ne va pas revenir. Je vous livre mon analyse, je préfère le tunisien qui a installé mes placards muraux que Macron, Véran, Lacombe (Karine, pas Bernard) qui sont français de souche comme moi. Le premier il est honnête et a sans doute une certaine morale (peut être pas identique à la mienne) et les seconds, ils sot pourris jusqu’à la moelle. Je terminerai en citant saint Mathieu : « il faut trier le bon grain de l’ivraie » et Hughes AUFFRAY « la couleur ne fait pas l’homme ». Je précise que bien que n’ayant que des ancêtres français de souche, je ne dispose pas non plus d’un certificat d’aryanité en bonne et due forme !
La race est le socle de toute reconstruction politique de l’Europe. Les conditions tragiques de submersion démographique que nous connaissons n’autorisent plus le moindre compromis dans le style d’Holeindre ou de ces deux pantins.
J’ai regardé des vidéos de Papacito, je n’ai pas d’opinion précise à son sujet. Il me semble seulement qu’il aime beaucoup de mettre en scène.
Pour le reste, je suis à des années lumières de ces histoires de races, même si à titre personnel, j’ai toujours été attiré par les femmes du Sud ( pour moi, le Sud commence à Perpignan et va jusqu’en Afrique de l’ouest). Je les trouve féminines, directes, authentiques et bien moins compliquées que les « femmes du Nord ». Plusieurs de ses femmes du Sud, voire, du Grand Sud, ont partagé ou partagent toujours ma vie.
Papacito c est un gignol toulousain qui comme beaucoup dans le milieu national aime s afficher d ou un look de proxo anglo saxon.
Au derniere nouvelle ce fils d immigre espagnol serait revenu en espagne car pour lui la france est devenu un pays de merde…Mais ferais des allees et retour entre son pays d origine et le notre pour des raisons alimentaires….sic…
C est le genre de type qui a toujours un nouveau produit nationaliste a te vendre (bouquin).
Il n est ni ancre ni enracine et si tu veux tout savoir je connais un vrai chef de famille espagnol un pur castillan de Toulouse quand il parle de lui il se tape des barres…
tout les milieux élitistes ont leur gogoles.
l’idiot du village avait auparavant son rôle, ainsi Drépanocito avant de jouer l’intello était un amuseur public qui a pu amener des curieux vers le radicalisme de droite comme le gourou fou Soral il y a une quinzaine d’années ou le mélaniné dieudo qui a excité des hordes de djeuns des cités contre leur maitres que l’on ne nomme pas. certainement tout le monde a son rôle sur terre et les deux zouaves xénophile aussi, de toute façon à lire les commentaire de ladite vidéo ils se sont pris une « tempête de merde » en provenance de DP. attendez vous à ce que pierre yves soit encore plus germanophobe dans ses prochaines vidéos
J’adhère entièrement à l’analyse de Jean-Paul Le Perlier – tout est dit !
M. Le Perlier,
Vous manifestez une vigueur d’esprit et une capacité à exprimer des idées neuves, à faire du nouveau, qui manquent cruellement à bien des jeunes précocement sclérosés. Merci de vos commentaires.
Pour ce qui est de la question, c’est celle de la « France », et de la définition des Français. Très tôt, et dès que l’influence de l’Université médiévale de Paris s’est affirmée, l’Etat français s’est voulu une vocation universaliste (et pas seulement un rayonnement de civilisation). La tyrannie du centre parisien a favorisé la constitution d’une idéologie française qui culmine avec ce mot d’ordre : « Tout homme a deux patries, la sienne et la France ». Comme l’ont écrit M. Debré et M. Druon, dans une défense anticipée du souverainisme : « La France ne demande à personne sa race, sa religion… La France est un principe moral… » (cité de mémoire). Les quelques forces qui se sont opposées à ce melting-pot francophone ont été balayées de toutes les façons. En aucune autre partie d’Europe la notion d’enracinement n’a autant reculé qu’en France, et pas seulement en raison de l’immigration extra-européenne. La mission de la France-idée est universelle dans le plus mauvais sens du mot, et de la pratique. Je ne parle pas ici de la grande entreprise coloniale de nos aïeux, mais de ce processus imposé de DESETHNISATION qui culmine maintenant avec la mort des campagnes.
Au pays par excellence de l’Homme abstrait, la négation ou la dévalorisation (notamment scolaire) des particularismes ethniques, vestiges d’un âge révolu, éloignés de la Cour, de Paris, des Ministères, de « la Culture » (et toutes variantes historiques) a assis le mythe d’une France intrinsèquement supérieure, éclairant l’obscurantisme des autres. Par voie de conséquence, devient français qui en est atteint.
Ernest Renan : » C’est le sort des peuples qui ont à remplir une mission intellectuelle ou religieuse sur les autres peuples, de payer de leur nationalité cette brillante et périlleuse vocation. (…) Qui sait si un jour les idées françaises ne rempliront pas le monde, quand la France ne sera plus ? »
Quant aux situations interraciales que nous pouvons tous ressentir, elles dépendent de chacun, mais leurs conséquences sont plus qu’individuelles. Autre problème…
En tous cas, que des souverainistes ne sachent pas définir ce qu’est la nature du peuple, c’est grave. Mais en français, ce mot est bien affaibli. Alors, après 1918…
C’est pitoyable.
Bonjour, je trouve dommage encore une fois qu’il y ait une polémique entre des factions de droite. Nous ne gagnons rien à nous diviser. Je pense qu’il faut distinguer ce que dit Papacito, quelqu’un qui adhère à notre culture, nos usages, peut être français, mais la norme reste effectivement un socle ethnique. N’importe quel noir, arabe, asiatique n’est pas français parce que ses papiers le disent. La masse d’arrivée de fraiche date sans intégration rend effectivement parfaitement légitime le rejet en bloc de milliers (millions) d’indésirables, mais dans le lot il est possible de trouver des pépites : exemple Jean MESSIHA.
Allez donc parler du « socle ethnique » à ces Papacito et consorts…
Je suis sur qu on peut trouver 100 millions de sub sahariens desirant sincerement etre francais et fusionner par metissage des demain matin …D ou la necessite d etre intraitable sur la question raciale sous peine de disparaite et de ressembler a l egypte moderne…La terre des sans races, celle d une population oisive au QI FAIBLE fonctionnant a coup de trique qui a tant inspiree le batard kalergi.
En laissant des milliers par douceur entrer ,cheval de troie faisant, la deferlante est telle qui est impossible de faire le trie desormain.
Il faut tout rejeter d un bloc !
Cher Alex…
Encore une fois, vous m’impressionnez !
Qui est capable, comme vous, de citer Kalergi ?
Ce métis membre du B’nai B’rith, qui écrivait en 1923 : « Nous nous efforcerons d’obtenir dans le futur une Europe orientalisée par un métissage euroasiatique négroïde… Les chefs en seront les juifs en tant que nouvelle noblesse ! »
Kalergi plus que jamais d’actualité puisqu’un « Prix Charlemagne », dit aussi « Prix Kalergi » est attribué tous les deux ans au personnage politique ayant œuvré à ce plan avec le maximum de nuisance.