Pour bien commencer le mois d’octobre, leur république décide de nous dévoiler son plan d’action pour « lutter contre les séparatismes ».
De quoi s’agit-il exactement ?
La lutte contre l’islam radical, en renforçant les contrôles dans les écoles hors contrat, les associations, les services publics, en renforçant les principes républicains… Emmanuel Macron invite les Français à s’unir dans cette lutte contre l’islam radical, par devoir républicain.
Par ailleurs, le président de leur république cherche « une meilleure compréhension de l’islam ».
« Nous soutiendrons à hauteur de 10 millions d’euros les initiatives qui seront prises par la Fondation pour l’islam de France en matière de culture, d’histoire et de sciences. »
« Je pense en particulier au développement des études islamiques de haut niveau à l’université. J’ai décidé que nous allons créer un institut scientifique d’islamologie. Nous créerons des postes supplémentaires dans l’enseignement supérieur pour continuer le travail en matière de recherche sur la civilisation musulmane, mais aussi sur le bassin méditerranéen et l’Afrique ».
Mais ces mesures, face à l’ampleur de l’islam (radical ou non) que nous connaissons, nous paraissent presque « naïves ».
Quelles sont les conséquences de cette nouvelle loi pour les Français ?
Toute liberté d’instruction est retirée aux parents pour leurs propres enfants.
« J’ai pris une décision, sans doute l’une des plus radicales depuis les lois de 1882 et celles assurant la mixité scolaire entre garçons et filles en 1969. Dès la rentrée 2021, l’instruction à l’école sera rendue obligatoire pour tous dès 3 ans. L’instruction à domicile sera strictement limitée, notamment aux impératifs de santé. Nous changeons donc de paradigme, et c’est une nécessité ».
Cette décision liberticide (d’école obligatoire à 3 ans et d’interdiction de l’école à la maison), piétine le principe universel du droit fondamental des parents de choisir l’éducation de leurs enfants.
Le 9 décembre, anniversaire de la loi de séparation de l’Église et de l’État en 1905, le ministre de l’Intérieur présentera un projet de loi « contre le séparatisme » qui aura en effet pour objet d’interdire, sauf cas particuliers, l’école à la maison dès septembre 2021, de rendre obligatoire la scolarisation des enfants dès l’âge de trois ans et de contrôler de manière beaucoup plus sévère les écoles confessionnelles hors contrat afin qu’elles respectent et défendent « les valeurs de la république ».
Macron présente l’école comme ce qui « protège les enfants de manière complète par rapport à tout signe religieux, à la religion ». Mais précisément, si les parents choisissent des écoles hors contrat qu’ils payent intégralement, souvent au prix de beaucoup de sacrifices (puisque ces établissements ne sont en rien financés ni aidés par l’État et les collectivités locales), c’est pour assurer à leurs enfants une bonne, solide et saine instruction, à l’opposé de leurs « valeurs de la république ».
Face à l’oppression qui s’annonce, réfléchissons aux conséquences pour nos familles, nos enfants, notre nation !
Allons-nous les laisser nous opprimer une fois de plus ? Détruire nos enfants ? Abrutir leurs esprits ? Atrophier leurs intelligences par des méthodes scolaires perverses ? Détourner leurs âmes et leurs cœurs de la vérité ? Leur inculquer des convictions mauvaises et destructrices ?
NON ! C’en est trop !
Nous ne pouvons plus ! Le sang de nos aïeux n’a pas coulé pour voir notre France être détruite et écrasée dans ce qu’elle a de plus profond, dans ses grandes valeurs fondées sur le travail, la famille, la patrie !
Les caryatides vous appellent tous, Français non reniés, à vous insurger !
Que la juste et sainte colère qui nous anime fasse vaincre la vérité !
Et que notre combat, animé par la flamme de l’amour de notre pays (et non pas la défense de leur république mortifère), protège la liberté d’esprit de nos enfants et leur futur.
Notre lutte, notre travail acharné ne s’arrêtera jamais tant que la famille n’aura pas sa place.
Pour une Révolution Nationale !
Qui vive ? France !
Ils pourraient plutôt commencer par supprimer les érouvs de France: ça, c’est du séparatisme.