Nous exprimons notre profonde tristesse à la Grèce pour la mort de deux jeunes gens, deux personnes que nous considérons comme des membres de notre famille.
Le gouvernement, le ministre Samaras et le ministre de l’Intérieur Dendias sont personnellement coupables et sont entièrement responsables des meurtres de sang-froid commis ce soir de deux jeunes Grecs. L’Aube dorée avait demandé à plusieurs reprises des patrouilles de police pour nos bureaux locaux, qui ont été attaqués dans le passé et ont été les cibles permanentes des terroristes. Le gouvernement a non seulement refusé, mais a retiré la protection policière existante, à laquelle nous avons légalement droit.
Le ministre crapuleux n’a pas seulement permis, mais a incité les groupes terroristes, à agir à la tombée de la nuit pour attaquer nos jeunes. La haine du gouvernement et des médias contre l’Aube dorée, telle qu’elle s’est exprimée depuis un mois, a mis l’arme dans les mains des assassins.
L’Aube dorée exige une enquête immédiate sur cette l’affaire, l’arrestation des criminels et leur châtiment dans toute la sévérité de la loi. Nous demandons instamment à tous les Grecs de rester calmes et unis dans ce moment critique pour notre Patrie. Nous exprimons notre profonde tristesse à la Grèce pour la perte de deux jeunes enfants, deux personnes que nous considérons comme des membres de notre famille.
L’Aube dorée
Les termes «fusillade près d’un local néonazi» selon la dépêche AFP de 19h02 pour décrire l’exécution de sang froid de deux jeunes désarmés (20 et 23 ans) par rafales de kalachnikov à bout portant de tueurs à moto est éloquent de haine. Nikolaos Michaloliakos a déclaré: «Ce soir, M. Dendias, des officiers supérieurs et le chef de l’ELAS ont leurs mains tachées de sang!» Il faut y ajouter le « mainstream » médiatique.
Cela nous rappelle une période ou une certaine AH s’est entourée de son SA pour se proteger de la vermine rouge, beaucoup y ont laissé leur peau, ceci n’a pas empêché le triomphe au bout, gardons donc espoir. Aux membres de Aube Dorée maintenant de montrer dans quel bois ils sont taillés, de toute façon ils n’ont plus rien à perdre.