Michel Delpuech, aux avant-postes de la destruction de la France
Depuis 70 ans, leur République a échoué systématiquement à « intégrer » autant qu’à « assimiler » les millions d’étrangers qui ont été imposés sur notre sol par les autorités gaullistes puis socialistes et libéralistes. Malgré cela, avec l’argent volé aux Français, les projets voués à l’échec se multiplient.
Depuis qu’il a pris ses fonctions au début de l’année, le préfet du Rhône Michel Delpuech n’a rien fait contre la criminalité, n’a pris aucune mesure contre les politiciens corrompus ni contre les affairistes qui pillent le département ; la situation sanitaire ne s’est pas améliorée et les niveaux de pollution n’ont pas baissé, au contraire. Michel Delpuech s’est attelé au contraire à corrompre le département et à y attaquer les Français. C’est lui qui a interdit la manifestation contre l’immigration massive en septembre dernier.
Il a fait sien un projet visant à imposer des « villages d’intégration » à diverses communes du département, auxquelles les autorités reprochent d’être trop blanches et trop riches. C’est notamment le cas à Saint-Genis-les-Ollières, où le préfet veut imposer un « village » de 160 familles. Ce village, entièrement financé par le contribuable français, coûtera officiellement, rien que pour cette partie, trois millions d’euros. De plus, les étrangers seront dispersés parmi la population, notamment les enfants et les jeunes, qui seront scolarisés dans l’école du village.
À l’image de l’Union européenne (UE) imposant des quotas d’envahisseurs aux pays qui les refusent, le préfet impose sans la moindre concertation des projets destructeurs et pour les Français et les communautés locales, et pour les étrangers.
Un projet imposé sans concertation
Durant une session extraordinaire du conseil municipal jeudi, le maire n’a pas craint d’en appeler à la République, ce régime qui nie les plus élémentaires droits de la France, sur le territoire même de la commune qu’il dirige et prétend protéger. Il ainsi évoqué « les responsabilités [sic] attachées à notre République », des élus « attachés aux valeurs de la République », « une commune résolument attachée aux valeurs de la République », etc.
Mais derrière ces paroles vaines, il a été contraint de constater qu’« une Nation c’est avant tout un peuple. Et un peuple dont on prive sa liberté d’expression n’est pas un peuple qui vit en démocratie ».
Or, l’agent de Bernard Cazeneuve n’a, à aucun moment, demandé l’avis ni des représentants locaux, ni de la population. Michel Delpuech a annoncé la décision au maire au téléphone, à la mi-septembre. Les étrangers seront installés dans l’ancien fort militaire de Chapoly : autrefois utilisé pour la lutte contre les invasions, les locaux seront donc désormais dédiés à « l’accueil » d’étrangers inassimilables…
Ce fort était utilisé comme centre de loisirs communal, mais le ministère de la Justice, qui gère les lieux, a dénoncé la convention qui liait la mairie et le gouvernement, au motif que la sécurité n’était pas assurée. Mais le même gouvernement va utiliser le même fort pour y installer 160 étrangers.
La population unanime contre le projet
« Nous sommes tous ce soir unanimes à considérer que l’accueil supplémentaire de 160 personnes, migrantes ou non, dans un village de 4 800 habitants, apparaît foncièrement disproportionné. […] Le nombre de personnes faisant l’objet d’un accueil spécifique sur le site va conduire à concentrer une proportion non négligeable, 250 personnes soit plus de 5 % de la population communale, et ainsi contribuer à la création d’un ghetto »,
a précisé le maire dans un discours.
Il a rappelé que la ville accueillait déjà 85 faux réfugiés, dont plusieurs ont été déboutés du droit d’asile.
Or, ces clandestins n’ont aucunement été expulsés, Michel Delpuech détestant les nationalistes, mais s’accommodant parfaitement d’individus ayant violé nos frontières, ayant menti aux autorités et ayant refusé de quitter le territoire. La mairie de Saint-Genis-les-Ollières doit déjà faire face à des « familles de réfugiés qui sont déboutées […] abandonnées à elles-mêmes devant le site de Chapoly et n’ont pour seule alternative que de venir en mairie pour être reçues par des agents communaux et des élus démunis devant leur situation ».
En plus des 85 faux réfugiés et bientôt des 160 familles de Gitans, le site de Chapoly, d’où ont été évincés les petits Français, accueille également une douzaine de délinquants. Les autorités ont caché combien de personnes condamnées par la justice se trouvaient parmi les 160 étrangers.