Les interdictions de manifester pour soutenir la Palestine n’ont pas été respectées, ni à Paris, ni ailleurs. L’autorité des préfets de Manuel Valls a été ridiculisée une fois encore. Mais là où les autorités républicaines avaient fait usage d’une force disproportionnée et d’arrestations préventives contre les nationalistes et les militants pro-famille ces derniers mois, elles ont cette fois laissé la situation s’envenimer et dégénérer hier et aujourd’hui, à Paris comme à Sarcelles.
Durant de longues heures hier, la Capitale a été livrée aux émeutiers afro-maghrébins, qui avaient été rejoints par des militants d’extrême gauche qui ont largement contribué à déclencher les affrontements. La situation a été particulièrement violente dans le quartier envahi de Barbès, comme l’illustre la vidéo suivante, à la fin de laquelle deux patrouilles de police échappent de peu au lynchage.
Plusieurs milliers de personnes ont manifesté malgré l’interdiction ; hier soir, un bilan faisait état de 14 policiers blessés et seulement 38 interpellations ; lors des rassemblements de La Manif pour Tous, à plusieurs reprises, plusieurs centaines de personnes avaient été arrêtées illégalement par les agents de la République. Les dégâts ont été importants, tant contre le mobilier urbain que les biens privés ; la circulation automobile comme celle des métros a été perturbée. Les racailles ont également attaque l’hôpital Lariboisière, donnant lieu à cet échange entre un vieil homme et une racaille, rapporté par Le Point :
-Vous êtes frappés ou quoi ? C’est un hôpital !
-Un hôpital sioniste !
Les mêmes scènes se sont reproduites aujourd’hui à Sarcelles. Aux occupants afro-maghrébins et aux policiers s’étaient ajoutés pour ces scènes de violence les terroristes juifs de la LDJ (Ligue de défense juive) qui ont affirmé sur les réseaux sociaux être présents pour défendre l’important ghetto de la ville. Selon la presse, une trentaine de personnes armées notamment de barres de fer se trouvaient derrière les CRS et un drapeau israélien devant un lieu de culte judaïque, qui aurait été touché par un cocktail molotov. Plusieurs équipes de journalistes ont été attaquées et au moins un a été dépouillé de son matériel.
Dans la ville de Garges-lès-Gonesse, un commissariat a été pris d’assaut et plusieurs racailles ont réussi à pénétrer dans les lieux.
De nombreuses autres manifestations ont eu lieu en France, parfois malgré les interdictions, rassemblant 4 000 personnes à Lyon, 3 000 à Marseille, 1 700 à Saint-Étienne, 1 300 à Lille et Strasbourg, et quelques centaines à Nantes, Clermont-Ferrand, Montpellier, Bordeaux, Toulouse et Nice, sans débordement conséquent rapporté.
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