Museler les patriotes, la véritable priorité du gouvernement d’occupation
« Mais il faut aller plus loin [que de donner plus de moyens aux services de renseignements], et j’ai demandé au ministre de l’Intérieur de m’adresser dans les huit jours des propositions de renforcement. Elles devront notamment concerner Internet et les réseaux sociaux qui sont plus que jamais utilisés pour l’embrigadement, la mise en contact, et l’acquisition de techniques permettant de passer à l’acte »
Le contenu de ces mesures n’est pas encore connu, mais une vague de censure et de répression sans précédent pourrait s’abattre sur internet, visant comme à l’accoutumée d’abord les nationalistes et les patriotes qui luttent contre le régime qui est la cause première du « terrorisme ».
« Il y a une différence fondamentale entre la liberté d’impertinence – le blasphème n’est pas dans notre droit, il ne le sera jamais – il y a une différence fondamentale entre cette liberté et l’antisémitisme, le racisme, l’apologie du terrorisme, le négationnisme qui sont des délits [i. e. : dans leur République], qui sont de crimes et que la justice devra sans doute punir avec encore plus de sévérité »
a-t-il encore répété, ces mots ayant été utilisé par le régime pour (prétendre) interdire les mouvements nationalistes qui lui déplaisaient il y a quelques mois.
« À une situation exceptionnelle doivent répondre des mesures exceptionnelles. Mais je le dis aussi avec la même force : jamais des mesures d’exception »
a encore prétendu Manuel Valls, qui dirige un régime qui plus qu’aucun autre a mis en place des régimes d’exception, que ce soit dans les années 1940 pour assassiner les meilleurs écrivains de leur génération ou plus grands soldats français ou en 1961 pour assassiner les patriotes qui refusaient la trahison de la République.
Valls, plus que jamais l’homme du pouvoir juif
Sans surprise, comme il l’a répété depuis une semaine, comme il le répète depuis des mois, comme il le répète depuis sa conversion au judaïsme politique, lui qui défendait dans sa jeunesse avec ardeur le droit pour le peuple palestinien de vivre un peu libre sur sa terre occupée et détruite, Manuel Valls l’a martelé : au-dessus de tout, ce qui importe, c’est Israël. Il l’a dit très clairement dans son discours à l’Assemblée dite, par dérision, nationale :
« Le premier sujet qu’il faut aborder clairement, c’est la lutte contre l’antisémitisme »
Le premier sujet n’est donc pas la sécurité des Français, n’est pas la nécessaire destruction du régime qui corrompt la France, ce n’est pas la lutte contre l’islamisme, ce ne sont pas les défaillances tragiques des services de renseignements et de la police plus préoccupée à racketter les automobilistes sur les routes et à persécuter les nationalistes qu’à traquer les criminels : la priorité, le sujet principal, c’est « la lutte contre l’antisémitisme ». Rien d’illogique pour un individu qui pense qu’Israël est l’émanation de tout :
« L’histoire nous l’a montré, le réveil de l’antisémitisme, c’est le symptôme d’une crise de la démocratie, d’une crise de la République. […] Après Ilan Halimi, en 2006, après les crimes de Toulouse, les actes antisémites connaissent en France une progression insupportable. […] Comment accepter qu’en France, terre d’émancipation des juifs, il y a deux siècles, mais qui fut aussi, il y a 70 ans, l’une des terres de son martyre, comment peut-on accepter que l’on puisse entendre dans nos rues crier « mort aux juifs » ? […] Nous devons là aussi nous rebeller et en posant le vrai diagnostic. Il y a un antisémitisme que l’on dit historique remontant du fond des siècles mais il y a surtout ce nouvel antisémitisme qui est né dans nos quartiers, sur fond d’Internet, de paraboles, de misère, sur fond des détestations de l’État d’Israël, et qui prône la haine du juif et de tous les juifs. Il faut le dire, il faut poser les mots pour combattre cet antisémitisme inacceptable ! »
a-t-il déclaré à la tribune, comme possédé.
Il a encore renouvelé ses ignobles insultes contre la France et les Français en affirmant que la France ne serait pas ce qu’elle est, française parce que blanche, parce qu’héritière d’Athènes, de Rome et de Lugdunum, mais fille dégénérée d’Israël :
« Et comme j’ai eu l’occasion de le dire, comme la ministre Ségolène Royal l’a dit ce matin à Jérusalem, comme Claude Lanzmann1 l’a écrit dans une magnifique tribune dans Le Monde, oui, disons-le à la face du monde : sans les juifs de France, la France ne serait plus la France. Et ce message, c’est à nous tous de le clamer haut et fort. Nous ne l’avons pas dit ! Nous ne nous sommes pas assez indignés ! Et comment accepter que, dans certains établissements, collèges ou lycées, on ne puisse pas enseigner ce qu’est la Shoah ? […] Quand on s’attaque aux juifs de France, on s’attaque à la France et on s’attaque à la conscience universelle, ne l’oublions jamais ! »
a-t-il prétendu avant de renouveler ses attaques contre Dieudonné.
Après ce très long passage pour complaire à ses maîtres, toujours sans un mot pour les Français, il a réaffirmé sa seconde priorité :
« L’autre urgence, c’est de protéger nos compatriotes musulmans. Ils sont, eux aussi, inquiets. Des actes antimusulmans inadmissibles, intolérables, se sont à nouveau produits ces derniers jours. […] L’Islam est la deuxième religion de France. Elle a toute sa place en France »
s’est-il aussi réjoui.
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1Célèbre réalisateur de science-fiction, auteur notamment d’une sorte d’interminable trilogie réunie en un épisode baptisée Shoah.
« [L]a France ne serait pas ce qu’elle est, française parce que blanche, parce qu’héritière d’Athènes, de Rome et de Lugdunum. »
Mais aussi germanique, il ne faut pas oublier que l’aristocratie de France fut des Mérovingiens jusqu’à tardivement plus ou moins germanique.
Un autre délire hystérique et paranoïde plein de chutzpah a été tout le tapage médiatique qui a eu lieu autour du viol d’une juive par des Arabes, alors qu’il y 250 viols par jours en France, dont de nombreuses Blanches violées par des allogènes.