Un activiste lyonnais du Groupe union défense (GUD) a été arrêté et placé en garde à vue jeudi dans la capitale des Gaules. Il est accusé d’avoir publié sur les réseaux sociaux des images faisant « l’apologie de la Shoah » (sic) selon les propres mots de Bernard Cazeneuve.
C’est le ministre en personne qui a exigé de la justice – indépendante comme chacun sait – de faire arrêter un activiste étudiant, pendant que les terroristes se forment à l’égorgement avec l’assentiment du gouvernement et que dans les parlements, les corrompus paradent.
« Un groupuscule d’extrême-droite a publié sur son site internet et son compte “Twitter” un document de haine, d’apologie de la Shoah et de crimes contre l’humanité. À ma demande, le préfet de la région Rhône-Alpes a saisi le procureur de la République à Lyon »
a précisé Bernard Cazeneuve n’ayant visiblement pas de préoccupations plus importantes que de vérifier les comptes sociaux de petits groupes d’activistes.
Sur ordre direct du ministre de l’Intérieur, le parquet a ouvert une information judiciaire pour des faits d’apologie de crime contre l’humanité.
« J’ai demandé à tous les préfets de systématiquement porter plainte au titre de l’article 40 du code de procédure pénale pour tout propos ou tout acte raciste ou antisémite »
a encore ajouté le ministre de l’Intérieur, digne successeur et affidé de Manuel Valls et servant les mêmes maîtres.
C’est tout ce qu’avait trouvé Bernard Cazeneuve pour leur complaire, alors qu’il se rendait le soir même au dîner du Conseil représentatif des institutions juives de [sic] France (CRIJF) Rhône-Alpes.
Le même jour, Le Figaro rappelait que la criminalité dont sont victimes les Français a explosé en 2014 ; rien d’important pour le ministre du gouvernement Valls-Hollande qui n’a pas réagi lors des viols commis récemment par des étrangers contre des blanches dans des trains, préférant assurer la sécurité par l’envoie de milliers de militaires d’établissements scolaires dirigés souvent par des extrémistes juifs pratiquant, entre autre, une totale discrimination des femmes.
Les images incriminées étaient une affiche parodiant une publicité du soda « Oasis » transformée en « Shoasis ananas », auxquels étaient ajoutés les phrases « Arbeit macht frei » [« Le travail rend libre », mention explicite figurant à l’entrée des camps de travail], et « Teneur garantie: six millions », ainsi que : « Au Zyklon B et « Sans goyim ».
Le groupe avait ajouté comme message : « Joyeux anniversaire! #70 ans de Business, ça commence à faire #Auschwitz ».
https://www.youtube.com/watch?v=QXjKiLQGcsU