Malgré l’opposition croissante et désormais massive de la population allemande à la politique de colonisation des terres allemandes imposée par le gouvernement d’occupation, ce dernier poursuit son action suppurative. C’est le cas notamment à Tröglitz, un petit village de 2 700 âmes en Saxe-Anhalt, où le maire d’extrême gauche Markus Nierth veut faire construire un foyer pour colons.
Cette provocation a conduit à une levée de boucliers au sein de la population et a permis une forte avancée du Parti national-démocrate d’Allemagne (NPD, Nationaldemokratische Partei Deutschlands). Ce dernier est devenu le principal vecteur de la protestation et donc de la légitime colère populaire. Les rassemblements organisés par les nationalistes ont été si imposants que l’extrémiste anti-allemand Markus Nierth a été contraint à démissionner début mars.
Pourtant, le projet demeurait. Mais dans la nuit de vendredi à samedi, un incendie a largement détérioré les bâtiments qui devaient accueillir dès le mois de mai une quarantaine, pour commencer, de délinquants étrangers, ces prétendus « demandeurs d’asile » dont on sait que l’immense majorité d’entre eux ne sont que des réfugiés sociaux venant profiter des aides et du système social allemand comme c’est le cas en France.
Il n’est pas connu si cet incendie a été fait par un habitant en colère voulant protéger sa famille et ses biens, s’il s’agit d’une provocation policière ou d’une provocation de l’extrême gauche. L’hypothèse d’un faux attentat est plausible. En l’absence de toute enquête, la police a quasi immédiatement prétendu qu’« une ou plusieurs personnes sont à l’origine de l’incendie » et qu’« un accélérateur de feu a vraisemblablement été utilisé ».
« La contagion brune va si loin qu’on préfère désormais brûler des maisons, dans lesquelles des familles pourraient trouver un nouveau foyer »,
s’est lamenté l’ancien maire pour lequel il faudra bien d’autres actions avant qu’il ne comprenne le désarroi et la colère des peuples européens révoltés par les milliers de viols de jeunes blanches, les centaines de meurtres de Blancs induits par l’invasion et dont il est, avec l’ensemble du personnel politique libéral, coupable et qu’une simple démission ne rachètera pas.