L’agitation des médiats antiblancs inventant de pseudos bavures régulièrement n’est pas gratuite. Il s’agit de décrédibiliser et de paralyser l’action des policiers comme des honnêtes citoyens qui tentent encore de s’opposer aux criminels, noirs dans leur majorité aux États-Unis, d’empêcher les Blancs de réagir aux agressions dont ils sont majoritairement victimes. Mais les faits sont têtus et la réalité montre que c’est par une répression plus violente, par une réelle radicalisation et une véritable prise de conscience que l’ordre pourra être maintenu ou rétabli, et que les fauteurs de troubles devront être éradiqués, quel que soit le côté de l’Atlantique.
La presse américaine parle d’un « groupe de lycéens ». Il s’agit en réalité d’Africains agissant en meute lors d’une attaque comme de nombreux cas ont été répertoriés ces dernières années. Cette fois, la scène s’est déroulée à Memphis (Tennessee). Les images montrent un amas grouillant d’individus dans une station-service BP. Rien de très inquiétant à première vue. En réalité, l’attaque est parfaitement préméditée. Profitant de l’agitation générale créée par la présence de plusieurs dizaines de jeunes, ces derniers en profitent pour multiplier les vols, dans les magasins alentour, dans les voitures, sur les passants.
Un homme présent a ainsi été agressé et passé à tabac. Il a raconté comment il a tenté de regagner sa voiture pour protéger son bébé, pendant que les racailles, faisant des signes d’appartenance à un gang, déclenchaient les violences. Il a réussi à mettre son fils à l’abri, mais a subi de nombreux coups. Signe de la réussite de la propagande des forces du chaos, il a précisé qu’il avait hésité à se servir de son arme pour protéger son enfant.
Les autres clients et les employés s’étaient eux enfermés dans le magasin de la station.