Le 9 janvier 2015, un étranger africainn auquel leur République avait donné des papiers français et toutes les opportunités pour préparer et commettre des crimes, menait un raid dans un commerce communautariste extrémiste juif situé porte de Vincennes à Paris. Très rapidement, le gouvernement d’occupation avait pris la décision d’instituer une très coûteuse garde des intérêts étrangers juifs en France, ainsi que de nombreux lieux de cultes islamistes. L’éternellement lié à l’État criminel d’Israël Manuel Valls laissait même le soin à Roger Cuckierman d’annoncer la nouvelle :
« Nous avons dit notre tristesse et notre colère, nous avons évoqué un certain nombre de mesures urgentes à prendre. […] Il nous a été dit que toutes les écoles, toutes les synagogues seraient protégées, si nécessaire, au-delà de la police, par l’armée. »
À l’inverse, aucune mesure n’était prise pour défendre les Français et les lieux de cultes catholiques.
Le terroriste islamiste Sid Ahmed Ghlam a été arrêté dimanche, il y a déjà quatre jours après avoir assassiné une Française et avoir préparé des attentats contre deux églises. Des conversations avec des tueurs de l’État islamique (ÉI) actuellement en Syrie prouvent selon les enquêteurs que les islamistes actuellement en formation à l’étranger poussent leurs congénères restés en France à cibler en priorité les églises.
Malgré cela, l’armée et la police française continuent à surveiller les lieux de cultes juifistes et islamistes en France au détriment des églises françaises. Peut-être que, sans la tragique et fortuite intervention d’Aurélie Châtelain dans cette affaire, la France pleurerait aujourd’hui plusieurs dizaines de Français morts, dont le gouvernement serait totalement coupable, plus encore que les étrangers. Car c’est bien ce gouvernement et ses prédécesseurs qui ont fait venir ces étrangers, qui ont volé l’argent des Français pour leur offrir logements, bourses, travail, études, qui ont valorisé leur sous-culture, leur histoire, leurs comportements sauvages au détriment de la civilisation blanche, de la culture française humiliée, insultée, déformée.
C’est ce gouvernement d’occupation qui a fait rejeter à l’Assemblée nationale des textes pourtant bien timides visant à l’expulsion de quelques terroristes étrangers et destinés à pouvoir déchoir de la nationalité ceux qui l’ont obtenue. C’est ce gouvernement d’occupation qui, plutôt que de prendre les véritables mesures, généralise la surveillance des Français sur internet et va consacrer 100 millions d’euros volés aux Français pour traquer, réprimer, censurer les nationalistes au prétexte d’une lutte antiterroriste qui mérite de biens différentes mesures et des hommes politiques autrement courageux et lucides et d’un multiculturalisme qui a montré encore dimanche toute son horreur.