À Vintimille, les envahisseurs toujours plus nombreux, agressifs et revendicatifs
Les attaques de délinquants étrangers se multiplient depuis des mois dans le sud-est. Plusieurs dizaines de milliers d’envahisseurs africains ont attaqué la France à sa « frontière » – qui grâce à Nicolas Sárközy, François Bayrou, François Hollande et leurs semblables n’existe plus – orientale avec l’Italie. La pression des envahisseurs s’est accélérée ces derniers jours. En une semaine, 1 439 colons ont été arrêtés par la gendarmerie française ; seuls 1 097 d’entre eux ont été « réadmis » en Italie. Au moins une centaine fait le siège de la frontière française face aux gendarmes. Ces derniers agissent dans le territoire habituel des gares et ports internationaux, c’est le cas de Cannes et de Nice, et dans un rayon de 20 kilomètres après la frontière.
Les individus qui ont violé les frontières de l’Italie et tentent désormais de violer les nôtres – pour les rares qui n’ont pas réussi à passer –, ont multiplié les provocations. Les colons ont ainsi organisé un « sit-in » à la frontière.
De son côté, la police italienne n’est pas mieux lotie. Obéissant aux ordres absurdes de son gouvernement, les policiers ont fait pression sur les délinquants clandestins pour… qu’ils rejoignent la ville de Vintimille. Plusieurs dizaines d’entre eux ont refusé d’obéir et provoqué hier divers incidents. Toujours secondés par les laquais habituels du grand capital, l’extrême gauche, certains avaient pris soin de se munir de panneaux indiquant :
« We need to pass » (Nous avons besoin de passer) ou « We are not going back » (Nous ne rebrousserons pas chemin).
Bernard Cazeneuve, l’individu qui pactisait avec l’envahisseur
Cette attitude jusqu’au-boutiste a été grandement influencée par le ministre de l’Intérieur du gouvernement d’occupation, Bernard Cazeneuve, qui est allé saluer plusieurs colons africains qui ont violé nos frontières et ont provoqué ces derniers jours à Paris de nombreux incidents, investissant des églises, des immeubles insalubres en provoquant leur mise en danger et celles des secours, agressant avec leurs complices marxistes les policiers et les journalistes, etc. Si violer des frontières et attaquer des policiers vaut d’être salué par l’un des plus importants ministres du gouvernement, il n’y a pas à hésiter.
Les opérations policières de ces dernières heures ne doivent d’ailleurs pas tromper : depuis des mois, les clandestins passent tranquillement la frontière à Menton, s’installent dans la ville, prennent par centaines les trains à destination de l’ouest et de tous les territoires français.