Dans un entretien au Financial Times, le très fin directeur de la SNCF Guillaume Pépy a trouvé fort utile de révéler :
« Je n’ai vraiment aucune passion pour les trains »
[I have no passion for trains really]Après son homologue énarque homosexualiste de gauche Florian Philippot, haïssant le FN et Jean-Marie Le Pen et rejoignant le Front national, voici donc Guillaume Pépy qui n’aime pas les trains et dirigeant la SNCF depuis bientôt 10 ans. De quoi s’interroger sur la sexualité de François Hollande, de gauche et énarque également, qui avait prétendu, lui, ne pas aimer les riches. Son absence de courage et d’honneur suffit-elle à le retirer de la catégorie des hommes ?
Guillaume Pépy n’a non seulement aucune passion pour les trains, mais il n’a aucun attrait pour le service public – ce n’est pas une révélation –, mais pas même pour la direction des grandes entreprises.
Il avoue lui-même qu’il est rentré à l’ÉNA par accident, parce qu’il n’a pas pu devenir chirurgien : il s’évanouit dès qu’il voit du sang. Après cela, il « s’ennuyait » au Conseil d’État. Quoi de moins étonnant que ces réactions pour des gens issus de la pire haute bourgeoisie décadente, qui a fait de la jouissance immédiate le seul but, incapables de se dévouer à une cause supérieure, de ressentir seulement le souffle de la nation, le battement de cœur d’un peuple ?
Si la version papier du FT évoque en titre l’absence d’intérêt de Guillaume Pépy pour les trains, elle a disparu du site internet du journal. Le journal économique anglo-saxon a réussi à obtenir des aveux sur l’absence d’intérêt de Guillaume Pépy pour les trains, mais il n’a pas interrogé le président de la SNCF sur la mort de son compagnon, Richard Descoing, grand amateur de drogues et d’alcool, lors d’une orgie à New York. L’énarque homosexualiste de gauche Richard Descoing, être antisocial parmi les asociaux, avait, lui, choisi de diriger… Science Po.