L’ancienne cadre du Parti communiste est-allemand du temps de l’occupation soviétique, Angela Merkel, s’est agitée ces derniers jours pour présenter l’invasion de l’Allemagne comme une « chance » et un bienfait, sur ordre notamment du grand patronat. Les crimes et délits commis par les envahisseurs, leurs revendications, les affrontements ultraviolents entre ‘réfugiés’ kurdes et Turcs ces dernières heures ont ramené les autorités allemandes à un peu plus de cohérence.
Ce dimanche, l’Allemagne a annoncé la fermeture de ses frontières, la réintroduction des contrôles et la mobilisation de plusieurs centaines de membres des forces de sécurité pour empêcher les attaques. Il s’agit surtout de contrôler les assauts menés par les envahisseurs – jusqu’ici avec la complicité du gouvernement d’occupation – à la frontière avec l’Autriche et de protéger Munich.
La capitale bavaroise sombre sous le poids des colons importés : 63 000 arrivées ont été constatées en deux semaines. Les autorités locales et provinciales sont totalement dépassées. Les structures d’accueil sont débordées et les nuisances augmentent de manière exponentielle.
Les sacro-saints accords de Schengen, derrière lesquels se sont cachés depuis des années les gouvernements UMPS en France pour justifier l’invasion, les crimes terroristes, les trafics d’armes et de drogues, ont donc été, d’un claquement de doigts, annulés.
« L’objectif de cette mesure est de contenir l’afflux actuel de réfugiés venant en Allemagne […]. C’est également absolument nécessaire pour des raisons de sécurité »,
a déclaré le ministre de l’Intérieur allemand qui pourtant jusqu’ici avait présenté l’invasion comme un bienfait absolu.
La question est pourtant loin d’être réglée. Pour le gouvernement d’occupation en Allemagne, il ne s’agit pas d’empêcher l’invasion, de renvoyer les millions d’occupants chez eux, de lutter contre les réseaux criminels – extrême gauche, grand patronat, groupes islamistes et mafieux – qui prônent l’immigration contre la seule Europe, mais seulement de faire pression sur les autres pays européens. Il s’agit donc de « partager » le « bienfait » de l’invasion ; le geste est doublement criminel puisque, en plus de déstabiliser des sociétés déjà fragilisées par 70 ans de libéralisme et d’immigration massive à l’ouest ou de communisme à l’est, cela créera un nouvel appel d’air pour les ‘réfugiés’, ‘migrants’, ‘écoréfugiés’ et autres envahisseurs d’Asie, d’Afrique ou du Proche-Orient.
« Le fardeau lié au grand nombre de réfugiés doit être réparti de manière solidaire en Europe »,
a précisé Thomas de Maizières.
Cette décision allemande intervient d’ailleurs à quelques heures d’une « réunion d’urgence » – alors que la crise dure depuis plusieurs années – et les autorités allemandes exhortent les autres pays européens à prendre leur part de ‘migrants’ et à respecter les règles concernant les demandes d’asile – alors que l’immense majorité des prétendus ‘migrants’ n’en sont pas –, c’est-à-dire que le premier pays européen où arrive un prétendu « demandeur » doit prendre cette demande.
Le gouvernement d’extrême gauche en Grèce, que le Front national avait chaleureusement félicité lors de sa victoire et soutenu, est largement responsable de la situation, puisqu’il a laissé entrer des centaines de milliers d’envahisseurs sans même les contrôler, ni administrativement, ce qui aurait permis a minima une meilleure régulation des flux, ni sanitairement – les individus porteurs des pires maladies peuvent ainsi venir sans problème –, ni sécuritairement, alors que nombre de ces envahisseurs viennent de pays confrontés à l’islamisme le plus barbare.