Après s’être extasiés que l’hymne de leur République fut joué avant beaucoup des parties de jeu de balle au pied de la dernière fin de semaine en Europe occupée, leurs journalistes spécialisés dans le football professionnel ont trouvé un « rôle d’exemple » (sic) au tapeur de ballon, ‘français’ de papiers, Karim Benzema et ne sont pas choqués qu’il crache par terre juste après que la Marseillaise a été interprétée, et qu’il ne l’a – comme toujours – pas chantée.
Les journalistes ajoutent ensuite que « ça ne fait pas partie de leur culture », parlant… des footballeurs en général, en les opposant aux hommes politiques, alors que ceux-là illustrent pourtant les menées mondialistes de ceux-ci.
L’école de leur République aurait donc échoué dans sa prétendue ‘intégration’ ? Fichtre, alors il faut trouver des excuses à ses cancres !
Peut-être également que des étrangers qui n’ont choisi la France que pour échapper au chaos de leur pays, mais qui ne veulent pas se le dire, ont une certaine détestation mêlée de jalousie vis-à-vis de celle qui les a pourtant nourris en son sein. Détestation totalement aberrante, mais entretenue par le Système depuis l’école trotskyste jusqu’au cinéma hollywoodien, en passant par tous les types de médiats, et qui pourrait même les pousser, dans une logique ethnique, à se sentir plus favorables aux terroristes nihilistes que solidaires des victimes de la barbarie*1.
Quant aux autres hymnes nationaux – outre ceux de certains pays d’Afrique – russe, libanais, irakien ou syrien, ils n’ont guère été interprétés dans les stades d’Europe, ni les deux premiers pour des massacres récents, ni les deux suivants pour une guerre quotidienne, tragédies perpétrées par les mêmes nihilistes drogués au Captagon, produit notamment trafiqué par des Saoudiens – dont un de leurs nombreux ‘princes’ –, qui favorisent ouvertement l’islamisme contre la Syrie, avec toutes ses conséquences – invasion et massacres – en Europe.
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1Page 5 de Rivarol du 19 novembre 2015, le Français Vincent Reynouard, exilé hors d’Europe occupée pour éviter les emprisonnements à propos de ses écrits scientifiques et historiques, nous rappelle le terrorisme des « Alliés » qui débuta le 23 janvier 1943 avec l’assassinat de 42 enfants français dans leur école de Morlaix, en Bretagne, sous les bombes, dont d’autres furent lancées sur la banlieue de Paris quelques semaines plus tard, avant les centaines de milliers de morts –civils également- des grandes villes allemandes puis japonaises. Un terrorisme qui fut aussi utilisé non seulement pour faire plier les pouvoirs publics, mais encore pour éprouver les populations civiles afin de mieux leur donner ensuite l’impression qu’elles étaient « libérées » des horreurs de la guerre pourtant commises par… les soi-disant « libérateurs » eux-mêmes.
Nous pourrions également envisager l’origine du mot terrorisme, issu de la Terreur qui s’abattit – déjà ! – sur les Français durant la Révolution bourgeoise dé-structurante, largement aux mains d’Étrangers et à visée affairiste-mondialiste.