N.D. du Rosaire
Mémoire de saint Marc I, Pape et confesseur.
Sommaire :
France
- Nabil Berguellah et Ayhan Kanay : fraude fiscale de 600 000 €
- Mohammed Mekkaki, prison pour l’agresseur du plan d’eau de Beauvais
- Ousmane mitraille la voiture de ses ennemis à la kalachnikov
- Farid B., le meurtrier de Molami Bokoto, ex-espoir du LOSC, condamné
- 50 envahisseurs clandestins seront logés dans le château des Arts
- R, directeur d’une école musulmane renvoyé devant la justice
- Le FN et deux de ses dirigeants renvoyés en correctionnelle pour escroquerie, financement illégal de campagnes électorales, recel d’abus de biens sociaux etc..
- Suspendu du FN, Nicolas Boher est «harcelé» par le maire frontiste Cyril Nauth
Etranger
Europe
- Belgique : l’agresseur de policiers est un islamiste étranger à papiers belges
- Grèce : persécution judiciaire contre le métropolite opposé aux unions de sodomites
- Albanie : un juif à papiers russes, trafiquant international d’organes humains
- Espagne : mutinerie dans un centre d’accueil pour envahisseurs
- Rabbi Pinchas Goldschmidt : « Les juifs européens se battent aux côtés de leurs frères musulmans contre la Vieille Europe »
Monde
- Syrie : après l’ambassade russe à Damas, journalistes et personnels de l’O.N.U. pilonnés à Alep
- États-Unis : des millions de dollars pour de fausses vidéos jihadistes
Vidéo
- Du nouveau dans le procès Pétain – Jean-Marc Varaut & Jacques Le Groignec (Radio Courtoisie)
Ephéméride nationaliste
- 7 octobre 1900 : naissance de Heinrich Himmler
- 7 octobre 1940 : abrogation du décret (((Crémieux)))
Agenda
- Madrid : Commémorations du 20 novembre
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France
Nabil Berguellah et Ayhan Kanay : fraude fiscale de 600 000 €
Les délits reprochés sont nombreux, à commencer par le non-paiement total pendant de longues périodes ou le paiement partiel, entre 2008 et 2012, de la TVA, de l’impôt sur le revenu et de l’impôt sur les sociétés.
Deux ans de prison ferme sans aménagement possible, interdiction définitive de gérer, contrôler ou diriger un commerce ou une société : les peines que la cour d’appel de Besançon vient de prononcer à l’encontre d’un ex-artisan du Territoire de Belfort sont lourdes.
Entrepreneur en bâtiment à Belfort, puis à Felon (90), Ayhan Kanay, 48 ans, de nationalité turque, était poursuivi pour de nombreuses infractions commises depuis juin 2008.
Il a constitué, le 15 juillet 2008, la SARL Kanay avec un certain Nabil Berguellah, 40 ans, « français » de papier. Ne possèdant qu’1 % des parts, ce dernier avait pourtant été nommé gérant mais présentait toutes les caractéristiques d’un prête-nom, d’un homme de paille plutôt pratique après le redressement fiscal de 160.000 € subi par Ayhan Kanay au milieu de cette même année 2008.
Également poursuivi, Nabil Berguellah n’a jamais comparu, ni à Belfort, ni à Besançon. Quant à l’entreprise, elle a été placée en liquidation judiciaire le 13 décembre 2011.
Ce qui l’a amené à « omettre » de fournir bon nombre de documents obligatoires et à produire des déclarations largement minorées, autant d’éléments constitutifs de la fraude fiscale.
Reconnu comme étant gérant de fait puisqu’il possédait 99 % des parts, il est aussi condamné pour banqueroute, en raison de toute absence de comptabilité entre le 15 septembre 2011 et le 29 janvier 2013, mais aussi pour abus des biens ou crédits d’une SARL par un gérant à des fins personnelles.
Car entre le 2 juin 2008 et le 14 septembre 2011, il s’est largement servi dans les comptes de la société, retirant jusqu’à 280.490 € en espèces !
À combien se porte le préjudice total pour le Trésor public ? Il semblerait qu’il atteigne quelque 600.000 € que le prévenu devra rembourser à la Direction des finances publiques, partie civile, assortis de 40 % de pénalités. De son côté, Nabil Berguellah, déjà condamné à cinq reprises, a écopé cette fois d’un an de prison. Il n’a jamais répondu aux sollicitations des services fiscaux ni de la police.
Mohammed Mekkaki, prison pour l’agresseur du plan d’eau de Beauvais
Nous sommes le 19 juillet 2015, à 18 h 30, et une vague de violence va s’abattre sur le paisible plan d’eau du Canada. Quatre scooters font irruption sur la base de loisirs beauvaisienne et leurs pilotes vont y semer la terreur. Mohammed Mekkaki, 21 ans, un des quatre auteurs présumés, a été condamné mardi matin à un an de prison ferme par le tribunal correctionnel de Beauvais.
« Je faisais mon jogging lorsque j’ai reçu un coup dans le ventre, déclare une des victimes. Je me suis écroulé. J’ai vu les scooters s’arrêter. J’ai su qu’ils revenaient pour me finir. » Le récit fait froid dans le dos. Lorsqu’il est lu par Me Mardyla, avocate de la partie civile, le prévenu baisse la tête. « Je n’ai presque pas mis de coups, assure le « jeune » à la barre. Je n’ai pas agressé tous les gens dont on parle. » En plus du joggeur, les auteurs s’en prendront à cinq autres promeneurs, dont une personne âgée de 70 ans et une jeune fille de 12 ans.
« Pourquoi étiez-vous à scooter sur une base de loisirs interdite à la circulation ? » demande la présidente à Mohammed Mekkaki. « Pour couper et aller dans un bois », explique, confus, le jeune homme qui reconnaît avoir « consommé de la vodka » cet après-midi-là. Il n’y aura aucune explication sur le déchaînement de violence, si ce n’est qu’il était avec ses amis. Deux d’entre eux ont bénéficié d’un non-lieu. Le troisième, mineur, vient d’être condamné pour ces faits par le tribunal pour enfants.
Le joggeur agressé s’est vu notifier 18 jours d’interruption temporaire de travail. Depuis, il a perdu 10 kg, souffre de problèmes cardiaques et ne peut plus courir comme il le faisait avant. La jeune fille, elle, n’est plus jamais allée au plan d’eau.
Ousmane mitraille la voiture de ses ennemis à la kalachnikov
« Ces mecs-là, c’est des voyous. Ils règlent leurs affaires seuls. Aller voir la police, ce n’est pas dans leurs principes. » A la barre de la cour d’assises des Hauts-de-Seine, tard mercredi, l’enquêtrice de la police judiciaire vient de dérouler les longues investigations menées après le règlement de comptes qui avait fait deux blessés très graves le 1er septembre 2013 à Clamart.
Malgré l’omerta érigée en ligne de conduite, les victimes de la fusillade, avaient fini par lâcher le nom de celui qui a tiré et permis ainsi à l’instruction d’avancer… jusqu’au procès. C’est Ousmane, 34 ans, qui est accusé d’avoir appuyé sur la détente de la Kalachnikov et « rafalé » la voiture.
Après trois ans de dénégations, Ousmane a fait volte-face dès l’ouverture des débats, annonçant qu’il reconnaissait la tentative d’assassinat. A son côté dans le box, son frère Seidou nie toujours avoir été présent. De même que leur ami Blaise, soupçonné d’avoir épié les futures victimes, attablées dans un bistrot de Clamart. Au moment où ces dernières sont remontées dans leur voiture, une 207 grise, Blaise aurait donné le top départ à ses complices.
Selon l’accusation, Seidou a pris le volant d’une Clio et son frère, Ousmane, est monté à bord. Ils ont alors foncé derrière la 207, poursuivie jusqu’à s’encastrer dans un platane. La Clio a alors fait demi-tour. Ousmane en est descendu et, comme dit l’enquêtrice, il a « arrosé » la 207 de ses ennemis. La voiture est criblée de 16 projectiles.
Le procès s’achèvera vendredi.
Farid B., le meurtrier de Molami Bokoto, ex-espoir du LOSC, condamné
Le verdict est tombé lundi soir à la Cour d’Assises du Nord. Farid B., 30 ans, a été condamné à 10 ans de prison pour avoir tué d’un coup de couteau Molami Bokoto, en 2011 à Marcq-en-Baroeul. Ce « jeune » de 21 ans était un ex-pensionnaire du centre de formation du LOSC. C’est une rixe à propos d’un simple deal de cannabis qui est à l’origine de ce décès tragique. Bokoto et ses amis ont voulu acheter un sachet d’herbe sans avoir de quoi le payer : une bagarre se déclenche entre deux clans, un couteau est sorti. Il s’enfonce de onze centimètres dans la poitrine de Molami Bokoto.
« Je vous en supplie, Monsieur, accordez-moi votre pardon ! », crie Farid au père de la victime. Il a retrouvé un travail après deux ans en détention provisoire. Mais les jurés ont suivi les réquisitions de l’avocat général et jugé qu’il avait bien eu l’intention de tuer.
50 envahisseurs clandestins seront logés dans le château des Arts
50 envahisseurs de Calais vont s’installer à Talence La municipalité s’apprête à accueillir des clandestins en provenance de Calais, dans le cadre du plan national de relocalisation
La mairie s’est pour l’heure montrée discrète, distribuant simplement un courrier d’information chez les plus proches riverains de la rue Camille-Pelletan, en centre-ville. C’est en effet dans cette rue proche de l’église, que 50 envahisseurs venus de Calais doivent être installés à la demande de la préfecture. Il s’agit de demandeurs d’asile sans enfants.
Ce Centre d’accueil et d’orientation (CAO) comme il en existe déjà à Bordeaux, au Bouscat, à Mérignac et à Pessac, fait donc partie du plan national de relocalisation « temporaire » des envahisseurs lancé par le Gouvernement.
La mairie explique dans son courrier que ce Centre doit être ouvert de novembre à fin mars, « le temps d’instruire les dossiers de demande d’asile de ces réfugiés » qui doivent être ensuite relogés dans des centres d’accueil pour demandeurs d’asile. Les clandestins seront logés au Château des Arts.
Abdelfattah.R, directeur d’une école musulmane renvoyé devant la justice
Abdelfattah Rahhaoui est accusé de fournir un enseignement non conforme par l’Inspection académique, ainsi que de violences sur mineur. Il avait créé l’école al-Badr en 2013 dans un quartier populaire de la ville.
Le créateur et directeur de l’école al-Badr, un établissement musulman hors contrat d’un quartier populaire toulousain, a été renvoyé mardi devant le tribunal correctionnel de Toulouse pour s’expliquer sur le contenu de son enseignement, jugé non conforme par l’Inspection d’académie, ainsi que pour violences sur mineur.
Plus tôt dans la journée, Abdelfattah Rahhaoui avait été placé en garde à vue dans les locaux du service régional de police judiciaire (SRPJ), et a été présenté en fin de journée à un procureur qui lui a remis une convocation par procès-verbal pour le 17 novembre prochain au tribunal de Toulouse. Sans être mis en examen, cet imam et conférencier devra s’expliquer pour «violences volontaires sur mineur», «ouverture d’un établissement scolaire sans autorisation» et «poursuite d’une activité scolaire malgré une mise en demeure de l’Éducation nationale», a rapporté le procureur Pierre-Yves Couilleau.
En juillet, l’Inspection académique a «notifié aux familles que l’établissement ne délivrait pas un enseignement conforme aux exigences», avait précisé début septembre Jacques Caillaut, l’inspecteur d’académie de Haute-Garonne. Les parents avaient été «enjoints d’inscrire» leurs enfants dans un autre établissement «dans les plus brefs délais». «Les exigences ne sont pas respectées. L’école n’est pas conforme», avait encore indiqué Jacques Caillaut, évoquant plusieurs contrôles effectués en 2013, 2014 et 2015 sur les programmes et la sécurité.
«Le litige dure depuis plusieurs années», a confirmé Abdelfattah Rahhaoui. «Ils nous reprochent qu’il y ait beaucoup d’arabe et de Coran et qu’on entraîne les enfants au tir», a estimé le directeur de cette école créée en 2013 dans le quartier Bellefontaine. Il conteste toutes ces allégations. «On dit qu’on est en train d’entraîner les enfants au djihad» car «les élèves vont au Laser game (jeu au laser) comme ils vont en sorties scolaires à la piscine, à Walibi ou à la Cité de l’espace», a-t-il déploré. Et d’ajouter: «Quand c’est une école publique, il n’y a pas de problème, mais quand c’est une école confessionnelle musulmane, on vous dit qu’on leur apprend à viser».
Selon son avocat, l’école élémentaire d’une centaine d’enfants, dont certaines fillettes et enseignantes portent le voile, dispense sept heures d’enseignement coranique et arabe par semaine, ce que la loi autorise pour les écoles confessionnelles privées. Abdelfattah Rahhaoui, auditionné la semaine dernière par la police judiciaire, invoque son statut de «musulman qui milite dans la sphère publique: je critique l’administration, je dérange». «Les musulmans en France sont écrasés comme des cafards. Ce que je suis en train de faire, c’est de leur apporter une éducation solide», a plaidé l’imam qui souhaitait ouvrir également un collège.
S’agissant du chef de «violences volontaires sur mineur» pour lequel le directeur est également poursuivi, il a expliqué qu’une enseignante licenciée et deux familles d’élèves exclus de l’école prétendaient qu’il avait «tapé une fille», des accusations qu’il juge sans fondement. «Il y a une situation d’acharnement administratif et juridique», a poursuivi un de ses avocats. Abdelfattah Rahhaoui «n’est pas fiché S et ne fait l’objet d’aucune mesure vis-à-vis de l’état d’urgence, donc il n’y a aucune raison de s’inquiéter».
Il encourt une peine de prison avec sursis et la fermeture de l’établissement, que seule la justice peut prononcer.
Le FN et deux de ses dirigeants renvoyés en correctionnelle pour escroquerie, financement illégal de campagnes électorales, recel d’abus de biens sociaux etc…
Les juges d’instruction ont demandé que soit organisé le procès, en correctionnelle, du Front national et de deux de ses dirigeants pour financement illégal de campagne.
L’épée de Damoclès pesait depuis plus de deux ans sur le Front national. Le parquet de Paris a confirmé jeudi le renvoi en correctionnel du parti de la Le Pen dans le cadre de l’«affaire Jeanne». Un total de dix personnes physiques et morales, dont deux hauts dirigeants frontistes, seront jugé pour des faits présumés d’escroquerie, de financement illégal de campagnes électorales, de recel d’abus de biens sociaux ou encore de faux et usages de faux. Outre le Front national, sont concernés l’un des vice-présidents du parti, Jean-François Jalkh, et le trésorier frontiste Wallerand de Saint-Just. Mais aussi la société Riwal, le micro-parti Jeanne, une structure à vocation financière liée au FN.
Seront enfin jugés plusieurs acteurs de l’ombre, issus de l’extrême droite radicale : le directeur de Riwal Frédéric Chatillon; sa collaboratrice Sighild Blanc; l’ex-trésorier de Jeanne Olivier Duguet; son successeur Axel Lousteau, élu depuis conseiller régional FN en Île-de-France; et l’expert-comptable Nicolas Crochet. L’instruction avait été ouverte en avril 2014 par les juges Renaud Van Ruymbeke et Aude Buresi, qui ont clôturé leurs investigations en janvier dernier. Entendue par ceux-ci, Marine Le Pen avait été placée sous le statut de témoin assisté, et ne sera quant à elle pas jugée.
Le procès à venir sera celui d’un ambitieux système mis en place par le FN, visant à la fois à standardiser la communication de ses candidats et à financer leurs campagnes. À plusieurs reprises, et lors des législatives de 2012, le parti aurait fortement incité ses candidats à l’achat d’un «kit de campagne» : produit par la société Riwal, celui-ci comprenait différents outils de propagande en grande quantité, du tract au site Internet, en passant par l’affiche et la carte postale. Pour les dernières législatives, le prix de ce kit était de 16 650 euros — un montant que la justice soupçonne d’être hors de proportion avec le coût réel des prestations fournies.
Pour financer cet achat, les candidats se voyaient proposer un prêt par le micro-parti Jeanne, au taux d’intérêt de 6,5%. En bout de chaîne, c’est toutefois à l’État qu’était présentée la facture, au titre du remboursement des dépenses de campagne. Là serait «l’escroquerie» visée par les magistrats. Quant au «financement illégal de campagnes électorales» reproché à Riwal, il aurait notamment pris la forme d’importants crédits fournisseurs accordés au FN par l’entreprise. Pour les seules campagnes présidentielle et législatives de 2012, la justice estime à 10 millions d’euros la somme détournée via le système Jeanne-Riwal.
Pour les départementales de 2015, la CNCCFP a ainsi retranché 1,2 millions d’euros des 9,5 millions de remboursement réclamés par le FN. À lui seul, le parti représentait alors 55 % du total des redressements, tous partis confondus.
En interne, une sérénité de façade cohabite avec des inquiétudes exprimées à voix basse. Ainsi, chez certains, qu’avec l’incompréhension de Marine Le Pen conserver sa confiance aux protagonistes de l’affaire. C’est ainsi que l’ex-trésorier de Jeanne, Axel Loustau, s’est vu offrir un siège au conseil régional d’Île-de-France, et le poste de secrétaire départemental du FN dans les Hauts-de-Seine. Quant à Frédéric Chatillon, il arpentait mi-septembre les allées de l’université d’été du parti, laissant entendre qu’il pourrait jouer un rôle dans la future équipe de campagne mariniste. «Ces mecs sont partout, dans la com’, la politique, le fric, je ne comprends pas pourquoi Marine continue avec eux», souffle un frontiste sous couvert d’anonymat. «Pourquoi elle soutient ces marlous à chaque fois, ça me dépasse, confie un autre ».
Suspendu du FN, Nicolas Boher est «harcelé» par le maire frontiste Cyril Nauth
Tout juste suspendu du FN, Nicolas Boher, ex-directeur de cabinet à Mantes-la-Ville, aujourd’hui en procès contre la mairie, se sent « harcelé » par le maire FN Cyril Nauth, au sein de la fédération.
La commission de discipline statuera lundi 10 octobre sur son sort. En attendant, Nicolas Boher, conseiller municipal d’opposition à Elancourt et ex-directeur de cabinet de Mantes-la-Ville, a été suspendu du FN. Il s’estime aujourd’hui victime d’une purge à double titre. Par son attachement à Philippe Chevrier, ex-secrétaire départemental exclu en mai dernier. Par ses relations tendues avec le maire FN de Mantes-la-Ville Cyril Nauth, dont il fut directeur de cabinet avant de partir, puis d’être en procès avec cet ancien employeur.
A des différends d’ordre politique se mêle une opposition personnelle entre les deux hommes. Elle se solde aujourd’hui par un procès de Nicolas Boher à l’encontre de la mairie de Mantes-la-Ville, et par un rejet systématique de Cyril Nauth envers son ex-directeur de cabinet au sein de la fédération.
Etranger
Europe
Belgique : l’agresseur de policiers est un islamiste étranger à papiers belges
L’homme de 43 ans qui a porté des coups de couteau mercredi matin à 2 policiers de la zone Nord est Hicham Diop, un envahisseur étranger à papiers belges, marié, père de famille nombreuse, ancien boxeur professionnel et ancien militaire dans l’armée belge où il avait reçu la formation spécifique de soldat éclaireur voltigeur. À l’âge de 6 ans, Hicham avait été pris en otage, avec sa mère et un de ses frères, par un forcené. L’homme, un meurtrier sorti de l’asile, avait été abattu par la police. En 2011, il a été victime d’un accident grave : alors qu’il ramenait ses enfants de l’école, il a été renversé devant chez lui et grièvement blessé par une Audi A8 blindée de la police fédérale qui escortait un transport prioritaire. À sa grande fureur, l’affaire fut classée sans suite par le parquet de Bruxelles.
Néanmoins, le parquet de Bruxelles a bel et bien évoqué concernant son geste une relation avec une entreprise terroriste fondée sur le fait que Hicham Diop est connu des services antiterroristes. En effet il a eu des contacts avec des « foreign figthers » (combattants partis se battre en Syrie et en Irak). De même il est un proche d’Olivier Dassy, le prédicateur de l’ancien sulfureux CIB, Centre islamique belge de Molenbeek. C’est lui qui, à l’époque, a célébré le mariage de l’ancienne égérie du jihadisme belge, Malika El Aroud, avec l’un des assassins du commandant Massoud. Jeudi, il a été placé sous mandat d’arrêt par le juge d’instruction et a été inculpé de tentative d’assassinat dans un contexte terroriste et participation aux activités d’un groupe terroriste.
Grèce : persécution judiciaire contre le métropolite opposé aux unions de sodomites
En Grèce, le métropolite Alexandre a annoncé qu’il était poursuivi et devait comparaître bientôt devant un tribunal pour avoir incité à la haine contre les homosexuels. En réalité, en avril 2016, lors de l’adoption par le Parlement grec d’une loi sur les unions de déviants de même sexe, le métropolite avait rappelé la doctrine chrétienne sur les sodomites. Le métropolite s’était opposé au texte affirmant que l’une des pires choses est que « la loi nomme « mariage » les unions corrompues et déviantes de personnes de même sexe ». Parlant des sodomites, le métropolite avait déclaré : « Ce sont des gens anormaux qui sont condamné par la société et par leur vie elle-même. Je suis désolé pour eux. Je prie pour que le Seigneur leur pardonne, si ils se repentent, changent et deviennent d’honnêtes membres de notre société. L’Église est guidée par la loi de Dieu et par l’ordre naturel, chacun a des tares mais il ne peut pas les exhiber publiquement sans honte ».
A l’occasion de sa comparution prochaine, le métropolite Alexandre a reçu le soutien du métropolite Séraphin qui a déclaré que « les accusations portées à son encontre de violer la loi « antiraciste » sont sans justification » car il a seulement exprimé « le point de vue de l’Église sur la sodomie, sans appeler la violence contre les victimes du vice » et qu’il n’avait fait qu’user de « la liberté d’expression constitutionnellement protégée ».
Albanie : un juif à papiers russes, trafiquant international d’organes humains
Un tribunal de la capitale albanaise, Tirana, a pris la décision le 26 septembre de mettre en état d’arrestation Boris Walker sur des soupçons de trafic d’organes humains. Boris Walker, de son vrai nom Boris Wolfman est un juif à papiers russes et israéliens, né en 1984 en Ukraine à l’époque de l’Union soviétique. Ce « médecin » est soupçonné d’être le directeur d’une clinique illégale implantée au Kosovo-Métochie où il aurait pratiqué des prélèvements clandestins d’organes en vue d’alimenter un trafic international. Les « donneurs » d’organes, souvent des personnes vulnérables recrutées par exemple parmi des réfugiés, étaient attirés par la promesse d’un gain pouvant aller jusqu’à 15 000 euros dont ils n’ont jamais vu le premier centime. Les organes étaient revendus sur le « marché » international via le Costa Rica, la Turquie, l’Ukraine, Israël à destinations de receveurs qui étaient prêts à débourser parfois jusqu’à 100 000 euros.
Boris Wolfman n’est pas un inconnu et sa réputation le précède. Par exemple, en mai 2015 il est inculpé à Tel Aviv avec 6 autres israéliens pour avoir « réalisé des profits en se livrant à des dizaines d’occasions à des trafics d’organes » entre 2008 et 2014. Dans cette procédure dont on ne connait pas l’issue, son rôle est décrit comme étant « de repérer des donneurs potentiels, qui acceptaient de vendre un rein, au Kosovo et en Azerbaïdjan, avant d’étendre ses activités au Sri Lanka et à la Turquie ». En décembre 2015, après avoir réussi à s’enfuir d’Israël, il est arrêté à sa descente d’avion à l’aéroport Atatürk d’Istanbul sur des motifs de trafic d’organes et de fraude. Il est alors soupçonné de s’être rendu en Turquie dans le but de récupérer les organes de réfugiés syriens fuyant leur pays en guerre.
Boris Wolfman, arrêté à plusieurs reprises et poursuivis dans divers pays pour des faits identiques mais toujours pas hors d’état de nuire. Pourquoi une telle impunité ne nous parait pas si étrange que cela…
Espagne : mutinerie dans un centre d’accueil pour envahisseurs
Mercredi 5 octobre au soir, 77 envahisseurs sont parvenus à s’enfuir de l’établissement public où étaient retenus 127 étrangers clandestins, sans titre de séjour, à Sangonera, près de la ville de Murcie, à 350 kilomètres de Madrid. Selon la police « un des étrangers a d’abord feint d’être malade et quand l’ambulance est entrée pour l’extraire, les autres se sont mutinés ». Au cours de la révolte, des hommes « se sont saisis d’extincteurs et de divers ustensiles pour les lancer » et 5 policiers ont été victimes de blessures. Un dispositif spécial de recherches a été mis en place depuis mercredi à 21 h, permettant de récupérer « près de la moitié des étrangers en fuite qui ont été réintégrés au centre ». A l’heure actuelle, il en manque encore 28.
Rabbi Pinchas Goldschmidt : « Les juifs européens se battent aux côtés de leurs frères musulmans contre la Vieille Europe »
Franc aveu du président de la Conférence européenne des rabbins, Pinchas Goldschmidt, qui reconnaît que le projet du judaïsme politique en Europe est de combattre la « Vieille Europe ». C’est à dire les plus vieilles nations enracinées du monde et toujours vivantes, attachées à leur race, à leur terre, à leurs peuples, à leurs religions et civilisation !
Né à Zurich, en Suisse, Pinchas Goldsmith est le Grand Rabbin de Moscou depuis 1993, il est également le chef de la cour rabbinique de la Communauté des États indépendants et le président de la Conférence des rabbins européens. Expulsé de Russie en septembre 2005, le Kremlin a été contraint de l’autoriser à retourner à sa communauté après 3 mois seulement après une campagne internationale en sa faveur. En 2010, par ordre spécial du président de la Russie, Dmitri Medvedev, il a été fait citoyen de la Russie.
https://www.youtube.com/watch?v=vsJYGoRHA-U
Monde
Syrie : après l’ambassade russe à Damas, journalistes et personnels de l’O.N.U. pilonnés à Alep
Des équipes de journalistes, dont les correspondants de la principale chaîne russe, et des représentants de l’Onu et du Croissant Rouge été pris pour cible, les uns dans leur hôtel et les autres dans un bâtiment des Nations-Unies. L’attaque au mortier a eu lieu dans la nuit du 5 au 6 octobre et a duré à peu près une demi-heure, sans faire faire de blessés. « Au total, les terroristes ont effectué six tirs de mortier contre l’hôtel et des bâtiments résidentiels » selon la chaine russe. L’un des tirs a touché le toit de l’hôtel, d’autres obus ont explosé à l’extérieur. Il s’agissait vraisemblablement d’obus non contrôlables et il est donc difficile de déterminer d’où ils ont été tirés. « Ils provenaient probablement du quartier de Boustan al-Kasr », a affirmé un militaire syrien.
L’envoyé spécial des Nations-Unies pour la Syrie Staffan de Mistura a déclaré aux journalistes qu’environ 900 terroristes du Front al-Nosra, rebaptisé Fatah al-Cham, occupent toujours la partie Est d’Alep d’où proviendraient les tirs. « Selon nos dernières estimations, fiables, plus précises mais pas encore définitives, quelque 900 terroristes du Front al-Nosra se trouvent actuellement dans l’Est d’Alep », a-t-il indiqué, soulignant que les combats se poursuivent dans ce quartier de la ville du fait de la présence de ces jihadistes.
Ces derniers planifieraient une série d’attaques terroristes sur le territoire britannique et en Europe. Un médiat américain a relayé ainsi la menace selon les propos du ministre britannique de la Défense Michael Fallon, « le Front Fatah al-Cham représente une menace directe pour le Royaume-Uni ainsi que pour toute l’Europe. Des dirigeants terroristes seraient notamment en train de développer activement un projet d’attaques ».
Quelques jours auparavant, l’ambassade russe à Damas a été pilonnée par les militants du Front Fatah al-Cham, a annoncé le ministère russe des Affaires étrangères : « Le 3 octobre, la mission diplomatique russe à Damas a été attaquée au mortier. Un des projectiles a explosé sur le territoire de l’ambassade près d’un complexe résidentiel. Heureusement, personne n’a été blessé. La mission diplomatique a subi des dommages. Deux autres mines ont explosé près de l’ambassade. Selon les informations disponibles, les tirs ont été portés depuis une banlieue de Jobaria contrôlée par les organisations terroristes Front Fatah al-Cham (ex-Front al-Nosra) et par Faylaq al-Rahman ».
Le ministère russe des Affaires Étrangères a mis en cause les États-Unis et leurs alliés qui jouent avec le feu par leurs relations et soutiens de certains groupes de l’opposition syriennes qui ne sont pas aussi modérés qu’ils essaient de le faire croire : « Nous considérons le pilonnage de l’ambassade russe à Damas comme la conséquence des actions de ceux qui, comme les États-Unis et certains de leurs alliés, provoquent la poursuite du conflit sanglant en Syrie en jouant avec différents extrémistes ».
États-Unis : des millions de dollars pour de fausses vidéos jihadistes
Selon une ONG britannique de journalistes, le Pentagone aurait signé un contrat de plus de 540 millions de dollars avec la société Bell Pottinger pendant la guerre d’Irak. Parmi ses missions, elle devait notamment créer de faux clips de propagande signés Al-Qaïda pour tracer les personnes qui les regardaient. Cette somme aurait été dépensée entre 2006 et 2011, en pleine guerre d’Irak. C’est le vidéaste Martin Wells, ancien employé de Bell Pottinger, qui a révélé les dessous de l’opération.
Au départ la société avait pour mission officielle de créer des vidéos afin de « promouvoir les élections démocratiques ». Mais rapidement, elle s’est mise à fabriquer des productions d’un tout autre type. D’abord, en créant des clips anti-Al-Qaïda, tournés en basse qualité afin de paraître comme des « productions de télévision arabes ». Ces productions étaient ensuite vendues et diffusées dans les chaînes locales. L’armée américaine, qui était le commanditaire, n’était ainsi pas reliée à ces faux reportages.
Puis la société s’est mise à créer de fausses vidéos de propagande signées par l’organisation terroriste, la partie la plus sensible de leur mission selon Martin Wells. Le but était de tracer les personnes qui visionnaient ces vidéos. Les CD sur lesquels étaient gravées les vidéos étaient encodés afin que l’armée américaine puisse localiser l’ordinateur de l’utilisateur grâce à son adresse IP. Les DVD étaient abandonnés par les militaires lors de perquisitions menées en Irak a expliqué Martin Wells. Certains DVD, qui passaient de mains en mains, ont ainsi été pistés à l’étranger, en Iran, en Syrie mais également aux États-Unis.
Vidéo
Du nouveau dans le procès Pétain – Jean-Marc Varaut & Jacques Le Groignec (Radio Courtoisie)
Ephéméride nationaliste
7 octobre 1900 : naissance de Heinrich Himmler
7 octobre 1940 : abrogation du décret (((Crémieux)))
Le décret Crémieux est abrogé le 7 octobre 1940 par une loi de l’Etat de Marcel Peyrouton, ministre de l’Intérieur de l’Etat français et ancien secrétaire général du gouvernement général à Alger.
Agenda
Madrid : Commémorations du 20 novembre
18 novembre – 21 novembre 2016
Avec une délégation de Jeune Nation.
© Jeune nation – 2016
Christ à la pièce de monnaie, 1625, Antoine van Dyck
(Musei di Strada Nuova – Gênes)