États-Unis : une élection peut en cacher une autre
Alors que Donald Trump, champion de l’Amérique blanche, était porté à la Maison Blanche le 8 novembre dernier, une autre élue était portée à la Chambre des représentants du Minnesota. Celle-là, Ilhan Omar, envahisseuse à papiers américains, vient de Mogadiscio en Somalie.
C’est une musulmane de 34 ans qui a séjourné dans un camp de réfugiés au Kenya et qui est arrivée aux États-Unis à l’âge de 12 ans avec le statut de réfugié. Elle a fait des études supérieures en économie, sciences politiques et relations internationales avec une bourse de la prestigieuse École des Affaires Publiques Hubert Humphrey de l’Université du Minnesota. Elle a ensuite siégé dans divers conseils d’administration de pseudos organisations de défense des droits de l’homme, en réalité les lobbies de la colonisation étrangère, telles que la Ligue de Défense des Droits Civiques, la YMCA, la Confédération Somalienne du Minnesota, et le Comité Central du Democrat Farmer Labor.
C’est la première femme somalienne élue aux États-Unis représentante à une Chambre d’État, ici le Minnesota. Et comme Trump, son élection est un symbole. Mais pas le même évidemment. Il s’agit là, au contraire du milliardaire incarnant peut-être le réveil des « petits blancs », du symbole de la colonisation rampante des États-Unis par des étrangers importés d’Afrique, qui sont aujourd’hui de plus en plus nombreux et qui auront donc un jour la loi du nombre pour eux, si rien n’est fait.