Notre camarade et ami Hervé Ryssen n’en finit pas de subir la vindicte des organisations communautaires qui forment en France une « insupportable police juive de la pensée »(1).
En effet, il a à nouveau été condamné vendredi 13 octobre à 11 mois de prison ferme pour des messages publiés sur les réseaux sociaux que la justice, mise en branle par trois associations de parties civiles de pseudo-lutte antiraciste, LIC(R)A, SOS Racisme et Avocats sans frontières, ont qualifié d’antisémites.
Le tribunal correctionnel de Paris l’avait condamné le 7 septembre 2016 à un an ferme pour ce qu’il avait qualifié de délits de provocation à la haine et injure raciale. Mais Hervé Ryssen, absent de ce premier procès dont il n’avait pas été prévenu, avait fait opposition contre ce jugement, ce qui lui a permis d’être rejugé.
Les magistrats viennent donc de le condamner à 2 mois de prison ferme pour provocation à la haine et diffamation « raciales » à la suite de messages publiés sur Twitter le 4 avril 2015 : « Pas compliqué, tant que vous n’accuserez pas les juifs de leurs innombrables crimes, ce sont eux qui vous accuseront des leurs », « Les juifs sont les premiers responsables dans le massacre de trente millions de chrétiens d’URSS entre 1917 et 1947 ». Ces tweets avaient été signalés à la justice par la Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme et à l’antisémitisme.
Les magistrats l’ont également condamné à 6 mois de prison ferme pour provocation à la haine et injures « raciales » à la suite d’une série de tweets 2014 et 2015 dans lesquels il écrivait: « Trop de noirs dans l’équipe de France. Trop de juifs à la télé ! » ou encore « si on les obligeait à porter l’étoile jaune, ce serait plus simple pour tout le monde ». La condamnation porte également sur plusieurs textes publiés sur sa page Facebook, dont : « Dans tous les pays occidentaux, on le sait, la communauté juive a toujours encouragé et soutenu toutes les minorités? Non par amour des Noirs et des Arabes, certes, mais par volonté, en tout premier lieu, de détruire la race blanche, puis, en second lieu, de mettre sur pied une démocratie universelle après s’être débarrassé des races, des nations, des religions, et, en général, de tout ce qui pourrait être facteur de conflit : les classes sociales ».
Enfin, le tribunal l’a encore condamné à 3 mois de prison ferme pour « diffamation publique envers une groupe de personne à raison de son appartenance ou non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée » et « provocation à la discrimination à la haine ou à la violence » à la suite de la publication du livre Les milliards d’Israël. Escrocs juifs et financiers internationaux. L’ouvrage avait été transmis à la justice par la LIC(R)A le 7 octobre 2014.
Le tribunal a donc estimé que les messages poursuivis étaient « à l’évidence de nature à provoquer un sentiment d’hostilité » contre les juifs et, concernant l’un d’eux, les Noirs. Plusieurs messages font état « de la nécessité de mettre en place directement des mesures de discrimination » contre les juifs, « étoile jaune, tenue spécifique à caractère humiliante et dégradante », et l’un d’eux va jusqu’à « dénier l’appartenance de la personne de confession juive à l’humanité » en la comparant à « une chose », selon les juges.
Notre ami a même été condamné pour injure, pour un montage représentant une fausse publicité pour un médicament censé « guérir du judaïsme ». Ce même type de montages qui, lorsqu’ils dénoncent le discours médiatico-politique majoritaire du « pas d’amalgame » entre islam et islamisme, pullulent pourtant sur le web et les réseaux sociaux sans provoquer le scandale des mêmes belles âmes qui se prétendent antiracistes….
Quoi qu’il en soit, en plus des 11 mois de prison ferme le tribunal a aussi ordonné le retrait des messages litigieux et a condamné notre ami Hervé à verser 1000 euros à chacune des 3 associations partie civile.
Et les condamnations prononcées par leur justice, instrumentalisée par les associations de, chiens de garde de la domination du judaïsme politique sur la parole et la pensée, s’accumulent dangereusement contre le polémiste dans l’unique but évident de le faire taire.
Il a écopé de plusieurs amendes depuis les années 2000 pour antisémitisme ou homophobie, et il a été condamné une première fois en 2013 à 3 mois de prison ferme, pour menace de mort envers Bernard Delanoé. En 2015, c’est pour incitation à la haine raciale envers les juifs que Hervé Ryssen est de nouveau condamné à 3 mois de prison ferme suite à la publication du livre Les milliards d’Israël. Il est de nouveau condamné à de la prison ferme en mars 2016, et septembre 2017 toujours pour des propos supposés anti-juifs.
Mais notre ami n’est pas homme à se laisser impressionner et en tout cas à céder à la persécution. Hervé Ryssen a réagi en pointant du doigt l’hypocrisie de ses adversaires plus prompts à porter les affaires devant des tribunaux, qui pour beaucoup leurs sont définitivement acquis, plutôt qu’à lui porter la contradiction et tenter de lui répondre sur le fond.
« Les intellectuels juifs ne répondent JAMAIS aux questions légitimes que suscite leur discours. Tout ce qu’ils savent faire, c’est porter l’affaire devant un tribunal, où ils sont sûrs de gagner. Néanmoins, tout ce je dis correspond à une réalité, et si aucun de mes livres n’a fait l’objet de condamnations, c’est qu’ils sont tellement accablants pour eux que la Licra n’ose même pas porter plainte de peur que certaines vérités apparaissent au grand jour. »
Ainsi du « rôle épouvantable qu’ils ont joué dans la révolution bolchevique, par exemple : trente millions de morts balayés sous le tapis ».
Nous ne saurions trop conseiller à nos lecteurs qui veulent agir et soutenir Hervé Ryssen, d’acheter et lire ses livres disponibles sur les plateformes de vente en ligne ou sur : http://herveryssen-leslivres.hautetfort.com/
(1) « En confiant au pouvoir judiciaire la tâche détestable de paraître traquer le délit d’opinion et d’expression, en espérant de la concurrence entre organisations « antiracistes », une obsessionnelle chasse aux sorcières qui présente les mêmes excès que n’importe quelle chasse de cette nature, en s’abritant derrière des institutions juives inquiètes pour légitimer une insupportable police juive de la pensée, Michel Rocard devrait s’interroger en conscience s’il ne se prête pas à une assez répugnante instrumentalisation des concepts de racisme et d’antisémitisme en vue d’objectifs peu avouables. » (Annie Kriegel, Le Figaro, 3 avril 1990)
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