Venus à Lisbonne à l’invitation des camarades portugais du « Nouvel Ordre Social », les nationalistes français ont tenu à rendre hommage au fondateur de l’État nouveau, Antonio de Oliveira Salazar, 130 ans après sa naissance le 28 avril 1889.
Ils se sont donc rendus dans son village natal de Vimieiro, et sur sa modeste tombe, ont déployé leur drapeau, aux côtés de celui du « Nouvel Ordre Social ».
Ils ont visité l’école où ce brillant universitaire, professeur d’économie, avait commencé son éducation, puis ont pu visiter sa maison natale, où une plaque commémorative indique : « Ici est né le 28/04/1889, le Dr Oliveira Salazar, un homme qui a gouverné et n’a rien volé. »
Nommé ministre des finances le 18 avril 1928, alors que la situation économique et politique du Portugal était devenue catastrophique et paraissait même désespérée, Salazar a, en un an, procédé à un redressement financier spectaculaire : rétablissement de l’équilibre budgétaire et stabilisation de la monnaie.
Fort de ce succès, le 25 juin 1932, il a été nommé président du Ministère (chef du gouvernement) par le président de la République, le général Óscar Carmona.
Il a alors consolidé un régime autoritaire en créant un mouvement qui deviendra le parti unique (l’Union nationale) et en instaurant une nouvelle Constitution en 1933 ; celle-ci lui confère les pleins pouvoirs et le contrôle total de l’État en qualité de président du Conseil.
C’est « l’Estado Novo », l’État nouveau fondé sur les principes organicistes et la tradition portugaise et qui incarnait la devise du Docteur Salazar : « Tout pour la Patrie, Rien contre la Patrie ».
Cet état corporatiste a permis au Portugal de traverser les crises et les guerres du XXe siècle en conservant son unité et de garder ses territoires coloniaux bien plus longtemps qu’aucun autre pays d’Europe, à rebours de la politique générale d’abandon pratiquée partout ailleurs par les gouvernants de notre vieux continent.
Il a jeté les bases d’une économie saine, dans laquelle tant la lutte des classes que le libéralisme sauvage étaient bannis, pour le plus grand profit de chacun, du producteur au cadre.
La mémoire des grands hommes du siècle passé, qui ont réussi à redresser des situations dramatiques et à poser les bases de systèmes politiques conformes aux lois naturelles, doit nous rappeler, comme le disait Charles Maurras, « qu’en politique, le désespoir est une sottise absolue ».
Forts de la doctrine de nos prédécesseurs, nous, Nationalistes, jurons de ne jamais cesser le combat qui rendra à nos Nations d’Europe la seule place au monde qui leur convienne : la première !
Viva Victoria !
Qui vive ? France !
Antonio de Oliveira Salazar? Présent !
Reportage photos :
Sur la tombe d’Antonio de Oliveira Salazar
L’école fréquentée par Antonio de Oliveira Salazar
La maison natale d’Antonio de Oliveira Salazar
Pierre Sidos et Jacques Ploncard d’Assac chez Antonio de Oliveira Salazar