Ils ne reculent devant rien. Quatre rabbins américains dirigés par Avi Weiss de New York se sont rassemblés fin janvier devant une église à côté du camp de Birkenau en Pologne, exigeant son retrait. « Cette protestation fait pour nous partie intégrante de la commémoration des 75 ans de la libération du camp d’Auschwitz (NDLR : en réalité le mot libération est un abus de langage puisque, lorsque l’Armée rouge est arrivée à Auschwitz le 27 janvier 1945, il n’y avait plus personne dans le camp). Une cérémonie de commémoration sans une expression d’indignation profonde qu’une église catholique soit toujours là enverrait un message que nous sommes d’accord avec cela », a déclaré Weiss. Les rabbins soutiennent que l’église ne devrait pas être sur le site de ce qu’ils considèrent comme l’un des plus grands cimetières juifs du monde et qu’elle viole un accord de 1987 entre les “cardinaux” européens et les dirigeants juifs selon lequel il n’y aura pas de lieu de culte catholique permanent sur le site d’Auschwitz ou les camps de Birkenau. « C’est l’église qui est dans mon esprit la plus grande profanation de l’histoire de l’Holocauste », a osé déclarer Weiss. « Sous ce sol, a-t-il ajouté, il y a un cimetière… leurs sangs pleurent depuis le sol pour demander justice. » Les rabbins veulent que l’église soit déplacée ailleurs à Oswiecim. Weiss a mené une campagne odieuse dans les années 1980 pour obtenir le retrait d’un couvent de carmélites des terrains d’Auschwitz et Wojtyla, qui était un apostat doublé d’un traître, a fini par lui donner raison.
On voit à quel point le culte holocaustique est un poison anti-chrétien. Et comment la Shoah se substitue au Golgotha. Pour un chrétien le plus grand crime de l’histoire est le déicide, la passion et la mort du Christ asphyxié sur la Croix le Vendredi Saint. Pour les juifs et tous les tenants de la contre-religion de l’Holocauste, le plus grand crime de l’histoire, c’est la mort de six millions de juifs asphyxiés dans des chambres à gaz. Le Christ meurt victime de l’humanité par amour, en prenant sur lui tous les péchés des hommes et en leur ouvrant le Ciel par sa mort et sa résurrection. Dans le culte holocaustique qui repose sur la haine, la vengeance, le vide et le néant, les juifs sont une sorte de Messie collectif victime de l’humanité qui doit sans cesse réparer son péché, y compris par d’incessantes réparations financières, multiplier les reptations, passer sous les fourches caudines du judaïsme et du sionisme international. Cette contre-religion est blasphématoire puisqu’elle postule que Dieu s’est tu à Auschwitz et a laissé faire le massacre industriel de tout un peuple. Pour les tenants de ce culte, si Dieu s’est tu, c’est qu’il n’est ni infiniment bon, ni infiniment puissant, c’est donc qu’il n’existe pas. C’est pourquoi ce culte est inséparable de l’athéisme. Lucie Aubrac (de son vrai nom Lucie Samuel, née Bernard) aimait à répéter, lorsqu’elle allait porter la mauvaise parole aux collégiens et lycéens enrégimentés de France, avec de la haine dans la voix, que depuis Auschwitz elle ne croyait plus en Dieu. Par conséquent, la présence d’une église, de la Croix, d’une statue de la Sainte Vierge, d’un couvent de religieuses est insupportable à ces tenants de ce culte aujourd’hui universel et obligatoire, de Moscou à Paris, de Londres à Jérusalem, de Washington à Berlin.
Ce n’est pas un hasard si au moment même où l’on célébrait le 75ème anniversaire de la prétendue libération du camp d’Auschwitz, le mafieux Netanyahu, qui n’en est pas à une ignominie près, utilisait une nouvelle fois avec cynisme le Dogme holocaustique pour appeler à une nouvelle guerre contre l’Iran. Le Premier ministre israélien a ainsi parlé des « tyrans de Téhéran » alors que le vrai et seul danger, ce sont les tyrans de Tel Aviv. L’entité sioniste et son bras armé états-unien ne nous ont-ils pas fait le coup naguère en diabolisant l’Irak de Saddam Hussein et en inventant la fable des « armes de destruction massive » pour détruire son régime, affamer et massacrer le peuple irakien et créer le chaos dans la région au plus grand profit de l’Eretz ? N’ont-ils pas fait de même avec la Syrie de Bachar el-Assad, le Hezbollah libanais et le Hamas palestinien, tout est bon pour diaboliser, éliminer, vitrifier tout ce qui leur déplaît selon un calcul machiavélien ?
Ce n’est pas un hasard non plus si, en marge de ces commémorations qui ont réuni la plupart des dirigeants du monde, les sites juifs revendiquent ouvertement, et de manière bruyante, « le droit au blasphème », à commencer par la LICRA. Les épouvantables blasphèmes contre Jésus sur France Inter, radio publique qui a été longtemps dirigée par l’affreux Philippe Val, ancien directeur du vomitif Charlie Hebdo — qui a de nouveau blasphémé contre le Christ il y a quelques semaines en dessinant de manière ignominieuse sur la Croix des parties génitales masculines en lieu et place du visage ensanglanté du Dieu fait homme ! — ont été redoublés par les blasphèmes tout aussi orduriers et scatologiques d’une lesbienne gauchiste, dégénérée et athée de 16 ans, une certaine Mila, qui s’en est prise fin janvier à la religion et à Dieu. Elle s’adressait certes plus spécifiquement à de jeunes musulmans mais il ne fait aucun doute dans le contexte qu’elle s’en prenait ouvertement à la religion et à Dieu en tant que tels. Ce fut l’occasion et le prétexte pour tous les sites communautaires de vanter un droit au blasphème. Or s’il est vrai que la République judéo-maçonnique a aboli la loi contre le blasphème qui existait sous l’Ancien Régime et qui avait été rétablie sous la Restauration, il n’y avait pas pour autant jusque-là un droit au blasphème. C’est si vrai qu’une association comme l’AGRIF poursuit régulièrement depuis plusieurs décennies des propos, publications, spectacles, initiatives blasphématoires, offensantes pour les chrétiens et qu’elle obtient parfois gain de cause. S’il existait un droit au blasphème, elle ne pourrait pas ester en justice.
Il y a donc une volonté farouche actuellement d’imposer un droit au blasphème qui interdira désormais toute poursuite judiciaire contre tous ceux qui
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RIVAROL.
Editorial du numéro 3411 de RIVAROL daté du 12 février 2020
C’est aujourd’hui l’anniversaire du bombardement de Dresde, le véritable holocauste de la 2nde guerre mondiale. Ce 75ème anniversaire ne donnera pas lieu aux pleurnicheries qu’on a vues récemment sur les sujets habituels, politiquement corrects, eux.
Dommage que vous n’en faites pas mention.
Allez donc faire un tour ici : https://jeune-nation.com/culture/le-vrai-devoir-de-memoire-des-europeens-cest-dresde-les-1314-et-15-fevrier-1945.html
Et là : https://jeune-nation.com/actualite/jdj/3966-dresde-martyre-de-leurope.html