Alors que les Français sont sommés de remplir leur déclaration de revenus pour 2019 afin que le fisc, qui a déjà prélevé l’impôt à la source, puisse vérifier qu’il n’a rien oublié et faire le rattrapage le cas échéant, la corne d’abondance continue à se déverser sur les allogènes, et pour une grande part, le plus illégalement du monde ! C’est ce que Charles Prats, ancien magistrats de la délégation nationale de la lutte à la fraude nous dit.
Dans une interview accordée au Figaro, il chiffre le montant à plus de 30 milliards d’euros la fraude aux allocations diverses. Pour se faire une idée du montant, cela représente 10 fois le montant du budget alloué au ministère agriculture-alimentation-forêt ! Pour atteindre un tel montant, la fraude est forcément multiforme, mais Prats nous donne des pistes. Ainsi, nous dit-il :
« 12,4 millions de personnes nées à l’étranger ou dans un territoire d’outre-mer ont bénéficié l’an dernier de prestations sociales (allocations, pensions de retraite, chômage, maladie…) alors qu’il ne devrait en exister qu’un maximum de 9,9 millions selon les chiffres de l’Insee et des organismes sociaux. Il y a donc environ 2,5 millions de fantômes qui passent chaque mois au guichet pour toucher des sous ! Si ces 12,4 millions de personnes existaient vraiment, cela signifierait par exemple que 42 % des allocataires des caisses d’allocations familiales seraient nés à l’étranger. »
On se rend donc compte que le système français, qui est légalement le plus généreux au monde à l’égard des allogènes, est également fraudé très massivement par les mêmes ! La générosité du boloss n’empêche pas sa razzia par les tribus africaines ! Ici, Prats ne parle que des fraudes aux allocations familiales, mais ce sont toutes les caisses qui sont touchées. Rappelons que la branche vieillesse continue à verser une pension à des milliers de centenaires à l’étranger (pour moitié en Algérie !) Soyons sûrs qu’aucun d’entre eux ne va mourir du Coronavirus !
On peut se demander comment en est-on arrivé à une telle situation ? En fait, il y a une réelle volonté idéologique à ne pas lutter contre cette fraude, ce que Prats reconnaît pudiquement : « J’ai donné ces documents et informations à l’Assemblée nationale le 3 mars dernier. Le ministère des Affaires sociales et les organismes sociaux se sont depuis réfugiés dans un silence gêné, personne ne commentant ces chiffres provenant du gouvernement lui-même dans une réponse à une question de contrôle publiée au Journal officiel. » Les gouvernements et autres parlementaires sont donc les complices de ces fraudeurs-allogènes. L’anti-France est au plus haut sommet de l’Etat !
🟣⭕️12,4 millions de personnes nées à l’étranger ont des prestations sociales alors qu’elle ne sont que 8,2 millions selon l’INSEE… Finalement l’enjeu de #FraudeSociale sur les NIR c’est 30 milliards, pas 14‼️Je viens de donner les docs issus du Gvt à la commission d’enquête ⤵️ pic.twitter.com/DD4msyjJTg
— ✈ Charles Prats APM (@CharlesPrats) March 3, 2020