Voici un enregistrement audio explosif entre Nixon et le révérend Billy Graham en 1972. Il n’y est ni plus ni moins question que de l’emprise des Juifs sur les médias américains. Ceux qui en avaient entendu parler à l’époque, surtout en France, pouvaient se dire qu’il s’agissait d’une légende urbaine, mais l’enregistrement a été rendu public en 2002 :
Voici le texte de ce qu’on entend :
Nixon : … Newsweek is totaly. It’s all run by the Jews and dominated by them. Their editorial pages, the New York Times, the Whashington Post, Totally Jewish too…
Billy Graham : The stranglehold has got to be broken or the country is going down the drain.
Nixon : Do you believe that ?
Billy Graham : yes sir
Nixon : I can’t ever say it, but I believe it
Ou en français :
Nixon : … Newsweek l’est totalement. Ils sont tous tenus par les Juifs. Leurs pages éditoriales, le New York Times, le Washington Post, entièrement juifs aussi.
Billy Graham : Il faut briser ce carcan ou le pays court à sa perte.
Nixon : Vous le pensez vraiment?
Billy Graham : Absolument
Nixon : Jamais je ne pourrais le dire en public, mais c’est bien ce que je pense aussi.
De tels propos antisémites de la part de Nixon sont tout à fait remarquables, en effet, voilà quelqu’un qui se rend parfaitement compte de la situation, de la mainmise des Juifs sur l’Amérique, et qui va pourtant être le premier président américain à se rendre en Israël, du 16 au 17 juin 1974, accompagné de son conseiller à la sécurité nationale, un certain Henry Kissinger, et, cerise sur le gâteau, qui à l’occasion de ce voyage, sera celui qui va inaugurer ce qui va devenir un pèlerinage obligatoire pour tout chef d’État occidental : une visite au Yad Vashem.
Que dire alors de la puissance de cette emprise ? Rien, si ce n’est que Nixon en a lui-même fait les frais, les Juifs n’étaient certainement pas dupes de son philosémitisme de façade, le Watergate n’est pas sorti de nulle part : c’est le journaliste Carl Bernstein du Washington Post, qui avec Bob Woodward va faire éclater l’affaire.
L’attitude du révérend Billy Graham est tout aussi ambivalente. Il expliquait à Nixon que son opinion sur les Juifs, loin d’être fortuite ou épidermique, s’était forgée au fil de toute une fréquentation assidue qu’il entretenait avec nombre de personnalités de la communauté : «J’ai des nombreux amis juifs comme Monsieur Rosenthal le rédacteur en chef du New York Times. Ils me tournent tous autour parce qu’ils savent que je suis un ami d’Israël», il a même été question qu’il devienne ambassadeur des USA en Israël.
C’est comme ça qu’il savait, expliquait-il à Nixon, que « Les Juifs étaient derrière le développement galopant de la pornographie » ( »They’re the ones putting out the pornographic stuff » ), il leur en voulait « pour ce qu’ils faisaient à ce pays » :
« Je ne peux rien faire pour les en empêcher, je n’ai aucun moyen, aucun pouvoir, mais si les circonstances devenaient favorables, je me dresserais contre eux ».
Bien entendu, tout ceci était dit sous le sceau de la confidence, « les Juifs ne savent pas ce que je pense d’eux ».
Les circonstances ne sont jamais devenues favorables, bien au contraire, et lorsque l’enregistrement de cette conversation a été rendu public, il a fait carpette, techouva, et ce, de la plus lamentable des façons en déclarant au Newsweek :
« Si ce n’était pas sur la bande, je ne le croirais pas. Je pense que je devais avoir envie de lui faire plaisir. Je me suis rendu devant un parterre de dirigeants juifs et je leur ai dit que je pourrais me prosterner à leurs pieds pour obtenir leur pardon »
(«If it wasn’t on tape, I would not have believed it, » Graham told Newsweek. « I guess I was trying to please. I felt so badly about myself – I couldn’t believe it. I went to a meeting with Jewish leaders and I told them I would crawl to them to ask their forgiveness. »)
Au moment de son décès en 2018, Donald Trump a twitté un vibrant hommage : « Le GRAND Billy Graham est mort. Il n’avait pas d’égal ! C’est une grande perte pour les chrétiens et pour toutes les religions. Un homme vraiment à part. ».
Pas sûr que l’hommage lui porte chance.
Source : certaines informations sont tirées d’un l’article du Haaretz
Bonjour, dans le titre, pas de « t » à « médias » merci
C’est la manière dont les révisionnistes écrivent ce mot. Je crois que l’habitude en a été prise aux éditions (qui n’existent plus) la vieille taupe
Voilà : http://jeune-nation.com/kultur/culture/15057-pourquoi-mediat
Le « deep state », c’est Israël.