2020, La Sfinge, 600 pages, 25 €
Étude comparative des différentes versions – Préface d’André Chelain
Henri Roques (1920-2014) était un honorable retraité, vivant dans la banlieue parisienne, qui défraya la chronique en soutenant avec succès une thèse de littérature comparée et de critique de textes devant un jury de l’université de Nantes. La teneur et les conclusions de cette thèse firent scandale dans les médias. Du jour au lendemain, Henri Roques occupa la première page des journaux, déclenchant une vaste polémique qui conduisit les autorités universitaires et le ministère de l’Éducation à prendre des mesures énergiques à la demande de ceux qui s’estimaient offensés par les conséquences que pourraient avoir les conclusions de la thèse dans l’opinion publique mondiale. Étrange affaire qui mit le monde entier en émoi. Qu’en est-il exactement? Quelle est la nature réelle des travaux universitaires d’Henri Roques? Quels sont les points de vue des différentes parties présentes dans cette affaire? On trouvera dans la troisième édition de cet ouvrage, enrichie de quelques nouvelles annexes (au total 150 pages d’annexes qui ne figuraient pas dans le texte original de la thèse de Roques), les principales pièces du dossier qui permettront aux lecteurs de se forger une opinion. À noter un additif qui résout l’énigme du « mystérieux visiteur » de Paul Rassinier en «juin 1963».
Disponible sur la Boutique nationaliste
Cette thèse minutieuse achève de démontrer la pression qu’ont exercé les « alliés » sur Gerstein pour qu’il consente à avouer des impossibilités matérielles telles que la mort de 25 millions de juifs à auchswitz dont les cadavres atteignaient une hauteur de 25 m, soit 8 étages, etc…
Et ce sont des « preuves » que le tribunal de Nuremberg a retenu ….
On comprend mieux pourquoi la loi Fabius-Gayssot refuse de mettre en doute les conclusions de ce tribunal.