Brian Sicknick, le policier, avait eu son heure de gloire posthume, visite au funerarium du nouveau Président Biden, hommage national au Capitole, défilé sous forme de cortège funèbre entre deux haies d’honneur etc…
Il peut arriver que le New York Times soit honnête, mais si. Avec discrétion certes : alors que la mort du policier/martyr avait été largement mise en scène, c’est dans les archives mises en ligne du 12 février 2021 se référant aux articles antérieurs que l’on apprend une vérité toute différente. Le policier ne présentait aucune trace de coups, n’a jamais été frappé par des partisans de Trump, il serait mort des suites d’une maladie antérieure. Le corps ayant été incinéré, on ne saura jamais la cause réelle de son décès, sinon qu’il n’était pas consécutif à la manifestation des pro-Trump.
C’est hilarant quand on y réfléchit. C’est la version policière de George fentanyl Floyd. Les ficelles deviennent aussi blanches que la grande maison. Mais avec ce pays de synthèse, clone immonde de l’Europe, le mensonge est le langage courant.
Source: ojim.fr