Alors que la justice et la police ont couvert durant plusieurs années les agissements du pirate informatique Grégory Chelli quand ils visaient les patriotes et les historiens, les attaques contre des journalistes du système ont déclenché de nombreuses actions judiciaires. Ainsi, jeudi 4 octobre dernier s’ouvrait le procès en correctionnelle de Grégory Chelli, dit « Ulcan », cyberterroriste juif à papiers français, spécialisé dans le harcèlement violent sur Internet. Ce militant sioniste devait être jugé pour la première fois à Paris dans le cadre de cinq affaires. En « cavale dorée » en Israël depuis plusieurs années, il n’était pas présent sur le banc des accusés.
L’homme est donc poursuivi pour avoir fomenté des attaques de harcèlement malveillant à l’encontre de personnalités politiques, journalistes, militants, mais aussi de simples particuliers. Se qualifiant de justicier, né en 1982, il affirme s’attaquer à toutes les personnes s’en prenant à Israël.
Vers la fin des années 2000, il faisait partie de la Ligue de Défense Juive. Il est également le fondateur du site de messagerie instantanée en ligne « ViolVocal » – tout un programme – permettant aux utilisateurs de réaliser des canulars téléphoniques en direct et les rediffuser ensuite.
« Canulars » aux conséquences fatales
Dans les affaires qui devaient être jugées ce jeudi, l’une concerne la maire de Lille Martine Aubry. En 2014, l’élue avait suspendu un jumelage avec une ville israélienne à la suite d’une attaque israélienne sur Gaza. Le cyberterroriste sioniste Ulcan avait alors procédé à plusieurs appels malveillants et proféré des menaces à l’encontre de la maire. Il était allé jusqu’à appeler les gendarmes en se faisant passer pour le mari de cette dernière et affirmer qu’il venait de la tuer à coups de couteau…
Parmi les parties civiles on trouvait aussi l’ancien patron de Rue 89 Pierre Haski. Grégory Chelli avait également appelé la police en leur faisant croire que ce dernier avait tué sa femme, entraînant une lourde intervention des forces de l’ordre.
Un autre journaliste du média Rue 89, Benoit Le Corre, a aussi été victime du cyberterroriste après avoir écrit un portrait de lui. Ulcan avait appelé les parents de ce dernier en se faisant passer pour un officier de police et leur annoncer la mort de leur fils. Il déclenchait par la suite un assaut du GIGN au domicile de Thierry Le Corre après avoir appelé la police en se faisant passer pour lui et affirmant qu’il avait tué sa femme et son fils. A peine quelques jours plus tard, fragile et traumatisé, le père du journaliste faisait un infarctus entraînant un coma dont il ne s’est jamais relevé. «Le stress a été un facteur déclenchant direct et certain, révélant son état antérieur», expliquait L’Obs en 2016, citant un rapport d’expertise médicale sur l’affaire, faisant « le lien entre Ulcan et la mort de Thierry Le Corre ».
« Le jour de l’annonce du décès, Gregory Chelli a appelé Benoît pour se moquer de lui puis de nouveau le soir des funérailles pour lui dire que sa famille n’avait pas encore assez payé, et vendredi dernier encore pour lui dire que son père était sorti de son cercueil. Vous avez dit canulars ? »
a témoigné Pierre Haski en 2016.
La mansuétude habituelle de « l’État profond français »
Le grand historien Robert Faurisson, ayant été lui aussi la cible du cyberterroriste, racontait le peu d’empressement (euphémisme) des forces de l’ordre à agir contre lui :
« Pendant un an et cinq mois je me suis plaint auprès du commissariat de police de Vichy du harcèlement exercé par le juif Gregory Chelli, alias Ulcan, contre ma personne et contre mes proches, en particulier contre ma femme ainsi que contre l’un de mes fils et ses enfants. Mes plaintes n’ont eu aucun résultat. Ajoutant foi aux inventions du voyou juif, à deux reprises la Brigade anticriminalité (BAC) a fait irruption à mon domicile en pleine nuit comme si j’étais un dangereux criminel. Elle aurait pu se tromper une fois, mais deux fois ? »
Et contre les milices juives en général :
« Pendant deux ans et demi, les autorités judiciaires ou policières m’ont répondu par le silence. […] Dans toute cette affaire s’est vérifié ce que j’ai trop souvent constaté soit à Lyon, soit à Paris, en particulier au Palais de justice de Paris, lorsque des troupes juives sont venues régler leurs comptes [sic] aux révisionnistes : la police ferme les yeux et les oreilles et parfois collabore avec de soi-disant groupes d’autodéfense juifs (voyez ce que je vous ai dit, par ailleurs, d’une révélation faite sur le sujet par Mme Françoise Castro ».
Autre exemple : en février 2019, le parquet de Paris avait demandé un procès aux assises contre le hacker franco-israélien pour, entre autres, « violences volontaires avec préméditation ayant entraîné la mort sans intention de la donner ». Là encore, grande mansuétude de « l’État profond français » à l’égard de ce membre d’une milice juive : la Cour de cassation a annulé, en décembre dernier, le renvoi de Grégory Chelli devant une cour d’assises, au motif d’un problème de procédure. Les autres méfaits du cyberterroriste Chelli ont été disjoints et correctionnalisés.
Devant le Tribunal correctionnel, Chelli a pour avocat le grand « patriote »… israélien, Gilles-William Goldnadel, président d’Avocats sans Frontières, chroniqueur régulier sur CNEWS et avocat de Génération Identitaire dans la contestation de leur décret de dissolution (choix stratégique révélateur ?) Interrogé sur les multiples griefs à l’encontre de son client, Goldnadel relativise pour sa part les méfaits d’Ulcan :
« Quand on regarde les dossiers, la plupart sont vides, il n’y a pas d’éléments qui puissent montrer que monsieur Chelli ait été à l’origine des faits qu’on lui reproche. Il manque tout. Je pourrais non seulement dire facilement que ce n’est pas lui, mais je n’aurais même pas à le dire, parce que c’est aux autres de m’expliquer que c’est lui. »
Ou encore :
« Il s’agit certes de canulars de très, très mauvais goût, mais je n’ai pas l’impression de défendre un criminel de guerre »,
a déclaré goguenard l’homme de loi (très drôle…).
Et devant le tribunal il a argué que son client n’est pas Ulcan, qu’Ulcan n’est pas Grégory Chelli, et que Grégory Chelli n’a pas reçu le dossier à temps pour préparer sa défense. Et la mansuétude de la justice a donc continué puisque le tribunal correctionnel de Paris a finalement décidé le renvoi du procès aux 2 et 3 décembre 2021, notamment afin de laisser le temps au hacker juif d’organiser sa défense…
« Le tribunal ne sait pas quand Grégory Chelli a été informé alors que pour une personne à l’étranger le délai est de deux mois et dix jours. Il importe de renvoyer ces dossiers pour permettre à Grégory Chelli de comparaître et de préparer sa défense au fond »
a déclaré le tribunal.
On voudrait enterrer le procès qu’on ne s’y prendrait pas autrement.
Quant à Chelli, il vit vraisemblablement encore aujourd’hui librement quelque part dans l’État juif. Il avait été entendu en audition libre par des policiers français et israéliens, sur commission rogatoire internationale d’un juge d’instruction français, en juillet 2015 ; puis plus rien !
Depuis lors, l’État juif n’a pas donné suite aux demandes de la justice française de le transférer à Paris. Il peut continuer à narguer la terre entière depuis Tel Aviv.
Pour aller plus loin :
Haine juive : le criminel Ulcan lance un site de délation
Le cyberterroriste juif Gregory Chelli attaque le professeur Faurisson
L’affaire « Ulcan » ou la justice à deux vitesses (par Robert Faurisson)
La cyberracaille juive Ulcan défendue par le même avocat antifrançais (et israélien) que Philippot
Affaire Chelli : l’étrange soudain empressement de la justice
C’est incroyable comment cet article manque de source, les fameux patriote que vous parlez sont des meteques. Viol vocal ? Mais quelle époque séduisante magnifique, du sang de l’insulte, de la rigolade. Cet article est bourré de mensonge, d’un côté vous insultez la raiepublik froncaise et d’un autre côté vous la défendez. Vous êtes complètement contradictoire. Bref article giga cuck.
PS commentaire signer : Julien Laroche
Sans préjuger de la Justice divine, une justice ici-bas serait salutaire.
L’équipe de BTA est du même acabit et certainement accoquinée avec cet ersatz d’humain.
Thierry GAILLARD
Qu’on cesse d’appeler Ulcan un « hacker », ni même un « terroriste ». Ce n’est ni un as de l’informatique, encore moins un champion de Krav-Maga, juste un gros lard qui se sert de son petit téléphone pour faire ses coups bas à 4500 kilomètres de distance en fumant son joint.
L’essentiel est dit sur cet individu, représentant une idéologie supremaciste, raciste et criminelle ; mais il y a en France, des officines qui poursuivent de mêmes buts en toute normalité et impunité avec l’aide des institutions en pourrissant la vie de citoyens et de parties de nos concitoyens. Mais pourquoi devraient-elles se gêner…
Elles ne sont pas non plus étrangères à certaines convergences islamophobes et xénophobes, qui opèrent derrière les masques de la défense de l’identité, de la laïcité, de la République et des » valeurs de la République »…
Et cela sera ainsi, hélas, tant que les Français de toutes origines seront dans l’acceptation et la soumission ; tant qu’ il ne sera pas des hommes courageux et dignes de ce nom, pour mettre l’égalité et les droits humains, au centre de tout : des institutions, de toute loi, de tout débat, de tout programme politique…
Mais la f….. Dany!!!! Les droits humains, l’égalité (entre frères trois points), c’est ça la république…c’est dire le mal, la rivalité mimétique interminable, la haine de Jesus Christ.
Quant à GI, il y’avait là des bons gars sans aucun doute mais surtout des chefs sionistes ou sionisés. Pas étonnant que Goldie les défende un mouvement goy n’aurait jamais eu ces moyens ni cette latitude d’action.
Ah oui j’oubliais Ulcan….que dire de ce pauvre type….prions pour sa conversion, car sinon ce sera très très sûr pour lui après.