Alors que la justice et la police ont couvert durant plusieurs années les agissements du pirate informatique juif Grégory Chelli quand ils visaient les patriotes et les historiens, les attaques contre des journalistes du système ont déclenché de nombreuses actions judiciaires.
Plusieurs juges d’instruction ont mis en place des enquêtes pour violences volontaires avec préméditation, piratages informatiques, harcèlement, usage de données d’identification d’autrui en vue de porter atteinte à sa tranquillité ou son honneur, détention et diffusion de documents portant atteinte à l’intimité de la vie privée, dénonciation de crimes et délits imaginaires – ô atavisme – et actes de malveillance commis par la cyber-racaille juive. La justice réagit après la mort du père du journaliste Benoît Le Corre (voir notre édition d’hier).
Le professeur Faurisson a adressé une longue lettre au commissaire de police de la ville de Vichy à ce sujet, pour que reste dans les archives de la police « la trace des multiples plaintes que, depuis le 7 mars 2012 » le célèbre historien a déposé « contre le juif franco [sic]-israélien Gregory Chelli qui, au vu et au su des autorités judiciaires ou policières de notre pays, a pu en toute impunité multiplier les voies de fait les plus graves ».
« Pendant deux ans et demi, les autorités judiciaires ou policières m’ont répondu par le silence. […] Dans toute cette affaire s’est vérifié ce que j’ai trop souvent constaté soit à Lyon, soit à Paris, en particulier au Palais de justice de Paris, lorsque des troupes juives sont venues régler leurs comptes [sic] aux révisionnistes : la police ferme les yeux et les oreilles et parfois collabore avec de soi-disant groupes d’autodéfense juifs (voyez ce que je vous ai dit, par ailleurs, d’une révélation faite sur le sujet par Mme Françoise Castro, l’ancienne épouse de Laurent Fabius).
Quand, tout récemment, à la suite de votre nomination à Vichy, vous avez bien voulu m’accorder un entretien, j’ai noté avec quelle attention vous paraissiez prendre conscience de ce que cette affaire risquait de connaître des suites dramatiques. Je vous ai notamment dit que la santé de ma femme ne résisterait probablement pas à une troisième intervention de la BAC provoquant en pleine nuit l’affolement des voisins.
Les médias “officiels” ont observé, eux aussi, le silence sur cette forme de terrorisme juif. Ils ont même tout fait pour susciter la haine contre les révisionnistes et provoquer la violence à leur encontre. Jusqu’au jour où les horreurs perpétrées à Gaza par les juifs de l’État d’Israël ont fini par émouvoir Le Monde, Libération, Le Nouvel Observateur ou Rue89. Du coup G. Chelli a commencé à leur prodiguer un peu, seulement un peu, du traitement que jusque-là il réservait aux révisionnistes. Il s’en est pris, par exemple, au journaliste Benoît Le Corre de Rue89. Le hasard veut qu’un jour le père de ce dernier décroche le téléphone. Mal lui en a pris. Il a dû entendre ce que les Faurisson ont maintes fois entendu de la bouche du juif Chelli. Il a été frappé d’un infarctus. Il a fallu l’hospitaliser et le mettre en état de coma artificiel »
précise le professeur Faurisson, apprenant au commissaire de police la mort du père de Benoît Le Corre.
Quel beau pays…aux mains des lobbys …