Ça, c’est du poison :
Le Quinquina (*) est un vin apéritif aromatisé de diverses plantes dont, traditionnellement, de l’écorce de quinquina qui contient de la quinine; celle-ci était une pharmacopée destinée au traitement de la malaria. L’hydroxychloroquine et ces apéritifs ont donc la même base, mais ça, Agnès Buzyn ne pouvait pas le savoir, pour elle, c’est une substance vénéneuse. Mais pour les Français, les effets secondaires de ces apéros sont bien connus et maîtrisés depuis des générations.
Ça, c’est sans danger :
Ce n’est pas très difficile d’avoir l’air d’un expert médical sur un plateau télé, il suffit juste de se renseigner sur le prix des produits en concurrence pour une maladie donnée, puis on peut immédiatement en déduire quel est le bon produit qu’on peut utiliser les yeux fermés (ça doit être pour cela qu’on parle à leur sujet des tests en double aveugle, donc les yeux fermés) et quel est le poison à utiliser avec moult précautions et à ses risques et périls.
C’est ainsi que pour le Covid, on peut affirmer sans crainte d’être contredit que l’hydroxychloroquine est un poison. C’est pourtant un produit de synthèse fabriqué depuis 1960, déjà isolé par les pharmaciens Français Pelletier et Caventou en 1820 de source naturelle: c’est la quinine tirée de l’écorce du quinquina dont les effets fébrifuges sont déjà connus XVIIe siècle. Ce produit est connu pour ses propriétés immunomodulatrices et et il fait partie de la liste des médicaments essentiels de l’OMS, seulement voilà, il ne coûte pas beaucoup plus cher que du Doliprane, environ quatre euros la boîte de 30 grammes.
C’est assurément un poison mortel pour l’industrie pharmaceutique, d’ailleurs on apprend que René Pich, fondateur du groupe de chimie SNF, comparaîtra devant le tribunal correctionnel de Saint-Étienne le 3 juin pour avoir invité, en mars 2020, ses salariés touchés par le Covid-19 à demander à la direction la délivrance de chloroquine. Il devra répondre d’«exercice illégal de la profession de pharmacien, exercice illégal de la profession de médecin, acquisition illicite, importation en contrebande et détention de substances vénéneuses».
En revanche, un vaccin conçu sur un coin de table en sautant toutes les étapes classiques précédant l’Autorisation de Mise sur le Marché, mais qui va rapporter 15 milliards de dollars à Pfizer, 19,52 euros pour les deux doses requises, un tel vaccin peut être dit d’avance sans danger. A fortiori pour Moderna avec 29,30 euros les deux doses.
Un vaccin est toutefois sévèrement critiqué, c’est celui d’AstraZeneca, mais comme par hasard, son prix pour les deux doses, 5 euros, n’est pas sans rappeler celui d’une plaque d’hydroxychloroquine. On peut en conclure que le directeur marketing d’AstraZeneca est un imbécile, il aurait dû fixer le prix de la dose à 10 euros minimum et le tour était joué.
Lorsqu’Israël a démarré sa campagne de vaccination Pfizer début janvier 2021, elle comptait un cumul de 430 000 malades et 3 200 décès, au 15 mars 2021, elle a dépassé les 800 000 malades et le chiffre – au combien symbolique – de 6 000 décès.
(*) À consommer avec… ses amis !