2021, Akribeia, 600 pages, 30 €
Fascistes, pseudo-fascistes et mal-pensants
Au siècle dernier, de l’Irlande à la Mandchourie, ou de l’Inde à la Flandre, en passant par la France, les Pays-Bas, la Suisse, l’Espagne, la Norvège, l’Argentine, la Roumanie, la Slovaquie ou la Palestine, certains hommes – responsables politiques, militaires ou intellectuels – s’opposèrent, parfois les armes à la main, à ce que d’aucuns tenaient pour le « sens de l’histoire ». Cet engagement en conduisit même beaucoup à choisir le « mauvais camp » au cours de la Seconde Guerre mondiale, et il ne fut dès lors plus permis de parler d’eux qu’en termes de répugnance et d’exécration. Qualifiés, à tort ou à raison, de « fascistes » car ils s’inscrivaient peu ou prou dans le sillage de l’Italie et de l’Allemagne, ils étaient devenus de véritables parias. Huit décennies ont passé et cet ostracisme paraît aujourd’hui quelque peu désuet. Le présent ouvrage se propose donc de sortir des schémas habituels pour dépeindre quelques-uns de ces personnages sulfureux sous un jour moins passionné et peut-être plus objectif. Le but n’est pas de requérir contre eux et encore moins de les disculper ou de les réhabiliter, mais simplement de les présenter différemment. Au lecteur de se forger ensuite une opinion. 3e édition augmentée.
Au sommaire : John Amery, Hadj Amine al-Husseini, Subhas Chandra Bose, Staf de Clercq, Corneliu Zelea Codreanu, Arthur Fonjallaz, William Joyce, Oswald Mosley, Anton Mussert, Eoin O’Duffy, Juan Perón, Vidkun Quisling, Onésimo Redondo, Konstantin Rodzaïevsky, Anastase Vonsiatsky, Jozef Tiso, James Strachey Barnes, René Benjamin, Pierre Daye, Ezra Pound, Paul Gentizon, Ernesto Giménez Caballero, Pierre Hubermont, Sisley Huddleston, George Montandon, Louis Thomas, Georges Oltramare.
Disponible sur la Boutique nationaliste
comprends pas bien votre présentation…. Mon opinion est forgée depuis un moment!
Que faut il attendre de ce livre?