Des trahisons d’hier à celles d’aujourd’hui, il existe une continuité se nourrissant de la même lâcheté, celle d’apparatchiks carriéristes, qu’ils soient militaires ou civils, soucieux de complaire au pouvoir en place en s’alignant servilement sur la doxa officielle.
Une doxa remettant en cause, sous l’impulsion du président Macron, démolisseur acharné de notre Nation, tout ce qui, dans notre histoire, relève du patriotisme.
Et c’est ainsi que, dès les premiers jours de 2022, année anniversaire de la forfaiture gaulliste livrant à l’ennemi nos départements français d’Algérie, débute une offensive médiatique contre les ultimes combattants de la résistance Algérie française.
Offensive dont il est évident qu’elle s’amplifiera au fil des mois jusqu’au fatidique 5 juillet…
Illustrant le fait que l’on n’est jamais trahi que par les siens, c’est au contrôleur général des Armées, Serge Barcellini, président du « Souvenir Français » que revient le déshonneur de tirer la première salve.
Un « Souvenir Français » qui reste pourtant l’association mémorielle militaire la plus ancienne puisque créée en 1887, et partant de là la plus prestigieuse…
Mais une première salve qui n’en prend pas moins pour cible les ultimes fidèles à la parole donnée, les ultimes fidèles au sacrifice de leurs camarades tombés pour que flotte notre drapeau aux clochers et aux mairies de ce qui fut notre plus belle possession d’Afrique.
C’est en effet le numéro 68 de la « Lettre du Souvenir Français » qui nous inflige une analyse de la dernière fiente de Benjamin Stora, ce rapport commandé par Macron, dans lequel le susdit Barcellini ne discerne pas suffisamment de sollicitude pour les patriotes tombés au Champ d’honneur.
Surprenant de la part de Stora ? Pas vraiment…
Mais Barcellini, quant à lui, ne manque pas de créer la surprise lorsqu’il suggère aux autorités de faire bénéficier ceux qu’il appelle « les victimes de l’OAS » du titre « Mort pour la France » avec leurs noms gravés dans les lieux de mémoire !
Seraient donc désormais réputés tombés au Champ d’honneur, à la fois les tueurs du FLN et les barbouzes, qui constituaient la majorité des nuisibles châtiés par l’OAS.
Faut-il rappeler que les tueurs du FLN plaçaient des bombes dans les lieux publics, massacrant et estropiant femmes et enfants français ?
Faut-il rappeler que les barbouzes combattues par l’OAS à Alger et Oran étaient de dangereux malfrats extraits de leurs prisons par l’avocat véreux Pierre Lemarchand avec la complicité d’un magistrat qui ne l’était pas moins, le procureur Louis-Bruno Chalret, le même qui s’illustra lors de l’enlèvement de Ben Barka, puis dans la dissimulation de l’assassinat du ministre Robert Boulin ?
Faut-il rappeler que, parmi cette racaille gaulliste engagée contre des patriotes, on dénombrait des tueurs, tel Christian David, assassin d’un commissaire de police, des racketeurs, tel Jean Auger, du milieu lyonnais, des braqueurs de banque, tel Raymond Meunier, dit Raymond la science, des figures du milieu parisien, tel Jo Attia, et du milieu corse, tels les Marcantoni, Simonpiéri, Venturi, Francisi, dont certains s’illustreront dans la guerre des casinos et dans le trafic de drogue ?
Voilà donc à quel niveau est rabaissé aujourd’hui le « Souvenir Français » jusqu’à prétendre imposer sur les stèles mémorielles des noms d’assassins et de malfrats polluant la mémoire de nos héros de 14-18, de 39-45, d’Indochine, d’Algérie et des guerres plus récentes.
Comme quoi, pour la Macronie, ses séides et ses courtisans, il ne saurait y avoir de distinction entre ceux qui s’attaquent à la Patrie et ceux qui sacrifient leur vie pour elle, voire même entre truands et patriotes.
J’ai été président d’une section du Souvenir français dans la Haute Roya, que j’avais voulue faire fusionner avec celle de Menton, impossible ! Bref ! À la lecture de cet article, je suis écoeuré pour nos anciens, nos héros et nos martyrs par l’attitude de ce général, probablement macroniste, avec l’ignorance et la veulerie qui vont avec. Pas étonnant que cette association soit en complète et totale déconfiture.
Capitaine Nicolas ZAHAR
S’appeler Ahmed et être aussi ignare concernant l’histoire du Maghreb et de plus assez péremptoire pour ajouter encore au ridicule… il faut le faire !
Depuis quand l’Algérie fut-elle française ? Depuis que la France l’a créée… tout simplement ! Et crée à partir de tribus en perpétuelle opposition et sans aucun sentiment national que la France a libérées de la colonisation par les Turcs dont elle a pris la place.
Et crée encore en lui donnant des frontières et en remplaçant l’appellation de « Régence Turque d’Alger » par l’appellation Algérie, et cela par un courrier du Général Antoine Schneider, Ministre de la Guerre adressé au Maréchal Vallée, gouverneur de ce qui était jusque là, il faut sans doute vous le répéter, la REGENCE TURQUE D’ALGER ! Ce courrier daté du 14 octobre 1839 marquant la date précise de la création de l’Algérie par la France.
Mais encore faut-il savoir que, lorsque les Arabo-musulmans colonisèrent le Maghreb Berbère en l’an 630 de notre ère, ces derniers étaient à la fois Chrétiens et intégrés au monde occidental depuis prés de 500 ans. Ouvrez un livre d’histoire, si toutefois vous savez lire, et vous constaterez qu’il n’y eut pas moins de trois Papes Berbères à Rome et cinq Empereurs Romains.
De sorte que ce que vous appelez les colonisateurs de l’Algérie furent en réalité les Arabo-Musulmans et que la présence française à partir de 1830 exprimait le retour des chrétiens sur une terre chrétienne ancestrale.
Ce qui est tellement vrai que ces Berbères que sont les Kabyles considèrent encore aujourd’hui que la victoire des tueurs du FLN fut une recolonisation. Et à tel point que l’on peut lire sur le site « Debout la Kabylie » : 5 JUILLET FETE DE LA RECOLONISATION !
Et ce ne sont pas des nostalgiques Pieds Noirs qui l’écrivent, mais des Kabyles !
Des Kabyles fiers de leurs racines et… qui savent lire, eux.
Au fait, savez-vous comment ces Kabyles surnomment les gens de votre trempe ? Les ANES J’AI RIEN. Tout est dit…