On sait les manœuvres de Volodymyr Zelensky pour embarquer Israël dans le conflit par procuration que les États-Unis mènent contre la Russie en Ukraine. On sait aussi la mainmise de certains oligarques juifs sur la junte de Kiev depuis plusieurs années dont Ihor Kolomoïsky, homme d’affaires juif possédant trois nationalités (chypriote, israélienne et ukrainienne). Il est le cofondateur et président du directoire de la « PrivatBank », ainsi que du « Privat Group » et il a financé plusieurs bataillons spéciaux se battant contre les séparatistes du Donbass, dont le fameux bataillon « Azov » qui a repris la ville portuaire de Marioupol (en juin 2014), ainsi que les bataillons « Aidar », « Donbass », « Dnipro 1 », « Dnepr 2 ».
Depuis quelques semaines, on a appris aussi que la fondation de George Soros veut lever 100 millions de dollars au bénéfice de l’Ukraine. Le milliardaire juif originaire de Hongrie considère que la troisième guerre mondiale a commencé : « L’invasion de l’Ukraine par la Russie marque le début d’une troisième guerre mondiale qui peut potentiellement détruire notre civilisation. Vladimir Poutine veut imprimer sa marque dans l’histoire […] et semble croire que les Russes ont besoin d’un Tsar qu’ils suivent aveuglément » (Project Syndicate, Georges Soros, Vladimir Poutine et le risque d’une troisième guerre mondiale, 11 mars 2022)
D’où vient cette concentration de Khazars et leur intérêt pour ce bout de terre d’Europe ? Quelles sont leurs relations avec la puissance russe et leurs projets ? Voilà quelques éléments de réflexion.
Si l’Ukraine, dans ses frontières actuelles, devait séparer la Russie continentale de ses débouchés maritimes historiques en adhérant à l’Union européenne et à l’OTAN, elle la condamnerait à devenir un Etat enclavé, dont l’immense territoire, trop étendu pour sa population, susciterait les convoitises des peuples féconds d’une Asie toujours en embuscade.
En 1794, l’impératrice de Russie Catherine II créa une « Zone de résidence » pour les Juifs. Cette zone comprenait, outre la Pologne sous administration russe, plusieurs des provinces qui constituent en gros l’Ukraine actuelle. On y comptait près de cinq millions et demi de Juifs avant la Première guerre mondiale.
Mais d’où venaient ces Juifs ? Dans sa préface des Tribus dispersées (1959) de l’historien Isaac Ben Zvi (deuxième président d’Israël de 1952 à 1963), Léon Poliakov confirme l’hypothèse selon laquelle les Juifs de Pologne constituaient « un véritable Etat juif dans l’Etat » (p. 39).
Ben Zvi confirme l’hypothèse selon laquelle des tribus khazars se convertirent au judaïsme avant de former au VIIe siècle un royaume juif indépendant situé en Ukraine et en Crimée :
« Mais les princes russes envahirent l’Etat khazar au début du XIe siècle. Son ancien centre sur le Don fut détruit. Néanmoins, le royaume khazar subsista au Daghestan, au nord du Caucase et en Crimée. Il demeura intact jusqu’à l’invasion des Mongols, au XIIIe siècle, qui déferlèrent à travers l’Asie centrale et l’Europe orientale. Leurs hordes détruisirent alors toute trace du gouvernement des Khazars au nord du Caucase et en Crimée. » (p. 79)
Ce qui revient à dire que les prétentions des Juifs khazars sont mieux fondées en ce qui concerne les territoires de leur ancien royaume qu’envers la Palestine, puisqu’ils ne sont nullement sémites.
Pendant plus de soixante-dix ans, la Russie va subir la vengeance des Khazars sous couvert d’une révolution prolétarienne à vocation internationale fomentée en faveur des damnés de la terre, en réalité entièrement dévolue aux intérêts des Khazars internationalistes. En Russie, le bilan humain de cette tragédie s’établira à près de quinze millions de morts.
Délivrée du joug communiste, la Russie s’est reconstruite au cours de ces trente dernières années avec l’ambition de recouvrer le rang qui était le sien avant la Première guerre mondiale.
Pour les sionistes, l’origine khazar des juifs ashkénazes est à priori une hérésie car cette filiation contrarie la thèse du grand retour du « peuple sans terre sur une terre sans peuple », puisque les Khazars sont d’origine turco-mongole. Mais comme l’implantation sioniste en Palestine s’enferre dans une confrontation sans issue, le gouvernement israélien se doit de réfléchir à un plan B, autrement dit revendiquer le cas échéant un autre territoire « sans peuple » capable d’assurer la survie du peuple « sans terre… ».
L’implication des Khazars dans la crise ukrainienne n’est un mystère pour personne, depuis la révolution Orange de 2004 jusqu’à l’insurrection de la place Maïdan à Kiev en 2014, qui plongea l’Ukraine dans le chaos et la partition. Dans une déclaration publiée par Le Figaro du 8 janvier 2015, George Soros appelle l’Occident à débourser 50 milliards de dollars pour éviter une faillite de l’Ukraine.
Soros estime en 2015 qu’un soutien financier à l’Ukraine est une nécessité si l’on veut éviter une guerre. Les dirigeants européens « auraient tort de considérer que l’Ukraine est un pays comme un autre qui a juste besoin d’assistance financière », affirme Soros. Sa fondation, International Renaissance, dont le siège est à Kiev, souffle sur le feu pour inciter l’Union européenne à financer ses propres projets.
L’assistance à l’Ukraine devrait être considérée comme une « mesure de défense de la part de l’Union européenne », ajoute-t-il le plus sérieusement du monde :
« L’Europe et les Etats-Unis veulent éviter une guerre en Ukraine, mais s’ils ne compensent pas les sanctions contre la Russie par une aide financière importante à l’Ukraine, ils risquent bien de l’avoir, cette guerre ! »
L’Europe doit réaliser qu’elle est « directement menacée » par la Russie, laquelle offre « une autre vision du monde où la violence remplace l’Etat de droit ».
Pour contrer cette agression potentielle, l’Europe doit impérativement soutenir l’Ukraine pour éviter sa faillite financière, insiste le « mécène », qui a déjà soutenu en 2003 la « Révolution des Roses » en Géorgie, puis, une année plus tard, la « Révolution Orange » en Ukraine.
Israël 2.0, (Nouvel Israël) est un projet colonialiste dont le but est de former un Etat juif en Ukraine sur les territoires de ses cinq régions du sud : Odessa, Dniepropetrovsk, Zaporojie et Mykolaïv. Ainsi, d’ici quelques années, on prévoit qu’environ 5 millions de Juifs arriveront en Ukraine pour édifier la « Nouvelle Jérusalem ».
La première étape consiste à leur faire de la place : elle est déjà bien engagée puisque le conflit en cours a déjà provoqué l’exode de plus de 6 millions d’Ukrainiens.
La deuxième étape consiste à initier un changement de régime en Russie grâce à l’inculpation de ses dirigeants, d’ores et déjà accusés de crimes de guerre, crimes contre l’humanité et génocide…
Le projet de cette « Nouvelle Jérusalem » se fonde sur la loi du 1er octobre 2015 sur la décentralisation et la loi No 38 du 1er juillet 2021 sur les peuples « autochtones ». Elle s’est concrétisée début 2017 avec le débarquement dans le port d’Odessa des premiers migrants juifs. Ces 183 colons sont venus en Ukraine de Haïfa pour poser la première pierre de la Nouvelle Jérusalem « céleste »… La gestion de la Nouvelle Jérusalem sera confiée à un « Conseil des bienveillants » composé de douze chefs.
En juillet 2019, l’Ukraine a reçu un financement de la Suisse (25 millions d’euros), de l’UE (137 millions d’euros + 29,5 millions d’euros) et une assistance technique des Etats-Unis (695 millions d’euros) pour soutenir la « décentralisation », autrement dit la mise à l’encan du territoire au profit des « Résidents internationaux ».
Zelensky est la créature du milliardaire khazar Igor Kolomoïsky, autre cheville ouvrière de ce projet, qui règne sur un véritable empire (banque, transport aérien, sidérurgie, médias, pétrole, agro-alimentaire, etc…) depuis son fief de Dnipro (Dniepropetrovsk). Il a pignon sur rue à Genève, sa deuxième résidence, d’où il ne sort que protégé par ses gardes du corps israéliens.
Il a offert un million de dollars à qui assassinera Oleg Tsarev, député pro-russe et ancien candidat à la présidentielle ukrainienne du 25 mai 2014. Cette incitation publique au meurtre n’a pas empêché les vertueux magistrats du canton de Genève de lui accorder un permis de séjour.
Igor Kolomoïsky peut compter sur l’appui de deux poids-lourds locaux : Alexander Dubilet, président de PrivatBank, et le rabbin Shmuel Kaminezki, qui règne sur la communauté juive de la ville, forte de 50 000 personnes.
Ces philanthropes dirigent leurs affaires depuis le Menorah Center, un complexe où la culture se mélange à la religion et aux trafics en tout genre.
Le monde peut compter sur eux pour plonger l’Europe au cœur du conflit pour des intérêts qui ne sont pourtant pas les nôtres…
Merci à la lettre de Jeune Nation pour cet article particulièrement intéressant car abordant une problématique dont on ne parle jamais… Peut-être parce qu’elle est essentielle !
C’est pourtant déjà Jeune Nation qui nous avait ouverts à cette question de la véritable origine des juifs Ashkénazes, lorsque le regretté Jacques Sidos formait politiquement les détenus OAS dans la prison de Fresnes, en 1963, pour nous préparer aux combats à venir.
Puis-je suggérer une pensée de tous pour la mémoire de ce combattant d' »élite ?
Jacques Sidos soulignait l’origine Caucasienne des Ashkénazes, qui représentaient, à l’époque, 90% des 13 millions de juifs répartis dans le monde.
Une origine provenant de la conversion du roi Khazar Bulan en 735, puis du roi Harun al-Raskid, entrainant derrière lui l’aristocratie Kahzar puis tout son peuple, de 786 à 809.
A notre époque, le généticien Eram Elhaik, de l’Ecole de Santé John Hopkins, de Baltimore, a comparé les génomes de 1287 juifs, identifiant des signatures génétiques en majorité Caucasiennes, donc de descendance Khazar.
Amusant, non ? D’entendre certains bramer à l’antisémitisme…
– Alors que 90% d’entre eux ne son pas sémites…
– A l’opposé des Palestiniens sur lesquels ils tapent à bras raccourcis, et qui – EUX ! – sont des sémites authentiques.
N’est-ce pas là l’un de ces cas que le regretté Jean Raspail qualifiait comme « Un éclat de rire de l’Histoire ?
Nous connaissons , c’est ainsi, les endormis, qui soutiennent la clique, s’en rendront compte bientôt, mais que faire? Rien, cette foi monothéiste est la plus satanique de l’humanité et leurs croyants avec, spécialement les « descendants du Sion » rien à avoir avec les descendants d’Abraham… voleurs de terres d’autrui et créateurs d’Etats bidon, assoiffés d’argent et du sang des autres.