« Le légionnaire Dovecar et Claude Piegts : peine de mort. Les légionnaires Tenne et Petri : réclusion perpétuelle. Malmassari : dix ans de réclusion criminelle. Frapolli : cinq ans de prison avec sursis. C’est ensemble, et au commandement de Frapolli, qu’ils ont lancé comme un défi leur slogan désespéré : Algérie… française ! Et c’est dans une même solidarité que les trois légionnaires ont arraché de leur tenue de combat leurs décorations pour les lancer à toute volée dans le prétoire d’où les juges du Tribunal militaire se retiraient. » (Le Monde, 2 avril 1962)
A lire : 7 juin 1962 : assassinat de Claude Piegts et Albert Dovecar par le régime gaulliste
Merci du fond du coeur pour cet émouvant rappel. Merci pour ceux qui entretiennent le flambeau du souvenir et de la fidélité.. Ni oubli ni pardon !
C’est l’occasion de rappeler ici que, loin d’être des nostalgiques, nous sommes des précurseurs !
Le combat de l’OAS : « Rester Français sur une terre Française » est plus que jamais d’actualité en ce début de XXIème siécle.
– Avec la même tentative de remplacement de notre population par les mêmes musulmans fanatiques.
– Avec la même complicité criminelle de ceux qui nous trahissent à la tête de l’Etat.
Mais une question reste pendante : Y aura-t-il dans la génération d’aujourd’hui des hommes prêts à tout sacrifier pour leur peuple comme nous avons été des milliers à y consentir ?