Le Figaro nous apprend que « plusieurs dégradations d’églises ont été relevées ces derniers jours, à quelques heures de la célébration chrétienne de la Nativité ». Ce que Le Figaro oublie, c’est la vague de jugements laïcards de la justice administrative à l’encontre de crèches exposées dans des mairies, dans la France de 2022 pourtant toujours « fille aînée de l’Église ».
À Lorient (Morbihan) :
« Ce jeudi 22 décembre, l’église Sainte-Anne d’Arvor, a été victime de sérieux actes de vandalisme. Les statues en plâtre de la Vierge, de Sainte Jeanne d’Arc et de Sainte-Thérèse de l’enfant Jésus ont été brisées au sol, la crèche détruite et des cierges et bougies projetés au sol. Les profanations auraient eu lieu en pleine journée, alors que l’édifice était vide. »
À Paris :
« À l’église Saint-Roch, ce sont des tags qui ont été inscrits sur la façade, dans la soirée de lundi soir 19 décembre. « Faux nobles de m… », « nazis French pro Deutch f… off », textes et insultes erratiques ou encore symboles anarchistes ont ainsi été dessinés en couleurs vives, et une inscription à tonalité satanique : « lis ton p… de bouquin de m… à l’envers ». Selon nos informations, les inscriptions ressemblent graphiquement à des tags réalisés quelques jours auparavant sur certains murs et portes du Louvre. »
À Rouen :
« Lundi, deux étudiants de 18 ans ont de leur côté escaladé le toit de l’église Saint-Maclou, édifiée aux 15e et 16e siècles. Pendant leur virée, décrite comme «fortement alcoolisée», les deux mis en cause ont poussé un pinacle de l’église (ouvrage en pierre installé en couronnement d’un pilier ou d’un contrefort), qui s’est brisé en tombant au sol, sans faire de blessé. Le caractère volontaire de l’acte n’est toutefois pas démontré, l’hypothèse d’une simple escalade étant également retenue. »
À Anvers (Puy-de-Dome) :
« Dans l’église Saint-Jean d’Ambert (Puy-de-Dôme) ont été relevées depuis le début du mois de décembre deux traces de débuts d’incendies, relève La Montagne. Des feuilles auraient été brûlées avec des cierges allumés, provoquant des dégâts mineurs, mais entraînant la fermeture de l’édifice en dehors des offices religieux. »
Et encore à Bordeaux l’église de la Trinité, à Nice dans l’église Saint-Joseph de Cannes (avec profanation du saint-Sacrement).
Ces actes profanatoires de petits provocateurs et vandales ne doivent pas être ignorés. Mais ils ne doivent pas cacher non plus les attaques laïcardes non dissimulées d’officines maçonniques qui sont, de surcroit, validées par la justice administrative de la République. Et dans le lourd silence des autorités religieuses catholiques conciliaires.
Les juges-traîtres du Conseil d’État ont rejeté le 16 novembre dernier le recours de la ville de Beaucaire (Gard), récemment condamnée pour avoir exposé une crèche de Noël dans l’hôtel de ville, avec injonction de la retirer.
Le mercredi 14 décembre, la magistrature couchée du Tribunal administratif de Montpellier à enjoint la mairie de Béziers de retirer la crèche de Noël située dans la cour d’honneur de l’hôtel de ville sous 24 heures avec astreinte de 100 euros par jour.
Le 21 décembre, toujours les mêmes robes, noires comme le tréfond de leurs âmes, du Tribunal administratif de Montpellier, ont ordonné le retrait « dans les 24 heures » de la crèche de Noël installée dans l’Hôtel de ville de Perpignan (Pyrénées-Orientales), sous astreinte.
Et peut-être d’autres encore dont nous n’avons pas connaissance (nos lecteurs pourront nous les signaler si besoin dans les commentaires).
Des décisions rendues sur sollicitation quasi-systématique de l’une ou de l’autre de ces officines anti-françaises et anti-chrétiennes (comme la Ligue des droits de l’homme), qui éteignent l’âme chrétienne de la France sous l’étouffoir de cette conception pervertie de leur « laïcité républicaine ».
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