Alors que l’essentiel des terres à blé dans l’ancienne République soviétique d’Ukraine sont tombées sous le contrôle de « Big Agro » (les principales firmes multinationales de l’agro-alimentaire Cargill, Dupont, Monsanto…) et que BlackRock a emporté le marché de la « reconstruction » (qui lui permettra de mettre la main sur les dernières ressources naturelles et filières industrielles qui resteront au pays), Zelensky vient de confier au FMI la mise en œuvre des réformes structurelles, en vue de crédibiliser l’investissement en Ukraine aux yeux des financiers internationaux.
Le FMI envisage une aide financière à l’Ukraine et de ce fait, Kiev s’est engagé à suivre les réformes de l’institution internationale pour « donner confiance aux donateurs ».
L’Ukraine va suivre les préconisations du FMI au terme d’un programme de surveillance économique avec l’institution, qui pourrait ouvrir la voie à des aides. C’est ce qu’a annoncé le FMI le 19 décembre, alors que le pays aurait besoin de plus de 40 milliards de dollars. Dans son communiqué, le Fonds monétaire international explique que son Conseil d’administration a examiné le programme de surveillance (PMB) de l’Ukraine « visant à maintenir la stabilité financière et à catalyser le financement des donateurs ».
Les autorités ukrainiennes se sont engagées à effectuer des réformes concernant notamment la collecte des impôts, le marché de la dette intérieure, la transparence, ou encore l’indépendance de la banque centrale, toujours selon le Fonds, qui précise qu’elles ont quatre mois pour prouver leur avancement.
Chef de mission en Ukraine pour le FMI, Gavin Gray a précisé que ce cadre de mesures surveillé par le FMI visait à « ouvrir la voie à des financements » qui peuvent « venir de nombreuses sources ».
Les besoins du budget et de fonctionnement de l’Ukraine sont estimés entre 40 et 57 milliards de dollars pour 2023, a détaillé le responsable. Parvenir à suivre les préconisations du FMI vise selon lui à « donner confiance aux donateurs » alors que le pays a besoin de « dons et de financements concessionnels ».
« Un soutien financier extérieur important et prévisible sera essentiel au succès de la stratégie des autorités et des décaissements rapides contribueraient à faire face aux tensions dès le début de 2023 », a affirmé Gita Gopinath, directrice générale adjointe du FMI, dans le communiqué.
L’institution elle-même se dit ouverte, après « une mise en œuvre solide » du programme de surveillance PMB, « à un éventuel programme à part entière soutenu par le FMI ». « Il est trop tôt » pour indiquer quel montant ce programme du FMI pourrait atteindre, d’après Gavin Gray.
Depuis le lancement par la Russie de son offensive militaire en Ukraine en février 2022, le FMI a fourni une aide d’urgence s’élevant à 2,7 milliards de dollars à Kiev. La Commission européenne vient, elle, de proposer une aide de 18 milliards d’euros en 2023 sous forme de prêts. Mais dans le cadre de son soutien aux autorités ukrainiennes, Bruxelles avait elle aussi émis une liste de réformes souhaitables, et notamment une accélération de la lutte contre la corruption.
L’Ukraine ou ce qu’il en restera à la fin des hostilités, et surtout la population, seront bien prises au piège de l’esclavage mondialiste par la dette. En effet les prêts ne sont pas octroyés pour être remboursés. Dans le système financier mondialiste, l’octroi et les « remboursements réels » se font en pratique sous conditions de réformes économiques et sociales imposées aux pays emprunteurs.
Plus les dettes sont importantes, plus de lourdes réformes sont exigées des États, donc des peuples et des nations, et c’est par ce biais que sont souvent imposées comme étant des efforts « indispensables » de « modernisation », « d’adaptation », les réformes les plus impopulaires !
Ces réformes sont de véritables outils permettant aux oligarchies qui gouvernent la planète d’imposer des orientations de politique étrangère (géopolitique), ou encore de perpétuer leur pillage des ressources humaines, des richesses entrepreneuriales (entreprises, secrets d’entreprises, brevets, savoir-faire) et des richesses naturelles (sol, sous-sol).
Le système d’endettement permanent profite essentiellement à certains oligarques mondialistes au profit de leurs multinationales dont la plupart sont établies aux États-Unis ou dans les paradis fiscaux qui en dépendent ou les « taxes-free zone » qu’ils tolèrent !
L’Ukraine devient sous nos yeux un exemple archétypique de l’esclavage des nations et des peuples par la dette.
Ce qui surprend encore et toujours est le cynisme avec lequel les valets du mondialisme destructeur de nos peuples renversent toute vérité, jusqu’à imposer un vocabulaire exprimant l’exacte contraire de ce qu’il devrait signifier.
– Exiger ainsi « la transparence », alors que l’on trompe tout un peuple…
– Exiger « l’indépendance des banques centrales », alors que ladite « indépendance » consiste à placer ces banques centrales sous la dépendance de banquiers étrangers..
Rappelons que c’est précisément pour épargner à leur système bancaire la mainmise des banquiers de la City londonienne que les colonies anglaises d’Amérique ont pris leur indépendance… Ce qui n’a pas empêché ces oligarques financier de s’imposer quelques décennies plus tard par la corruption et de contrôler la Réserve Fédérale U.S….
Rappelons cette analyse de la loi Pompidou-Rothschild par un ministre socialiste bon teint, à mille lieux des prétendus « complotistes » d’extrême droite :
« La Banque de France a été créée en 1801 et a financé l’Etat sans intérêt jusqu’en 1973. Si on en était resté à ce système, la dette serait aujourd’hui à 17% du PIB. Mais la loi bancaire de janvier 1973 a obligé l’Etat à se financer sur le marché privé, avec un intérêt de 5%, d’où un endettement qui est aujourd’hui à 90% de notre PIB. » (Michel Rocard sur Europe 1, le 22/12/2021).
OUI ! Ce que combattent les armées Russes en Ukraine, est le racket de la maffia financière U.S. qui s’empare de toute la richesse d’un pays en trompant cyniquement les populations concernées !
La Russie devrait user de toute sa puissance militaire avant que cela soit réalisé ! Les enjeux sont d’une importance capitale si l’on veut préserver la liberté des Nations .
L’issue de la guerre Ukraine/Russie, ou, pour cerner au plus près la véritable cause du conflit : L’effort militaire des Russes pour permettre à l’une des provinces de ce qui fut naguère leur Empire d’échapper au racket des banquiers mondialistes et de retrouver son identité Slave… pourrait bien se décider très prochainement, et à des milliers de kilomètres de là.
De même que rien de moins que l’avenir du monde civilisé pourrait en dépendre…
En effet, s’il est un homme d’Etat ayant pris explicitement le contre-pied du mondialisme, c’est bien Donald Trump, dont le retour à la tête des USA est loin d’être compromis.
On l’oublie trop, sa première prise de parole devant l’ONU, à l’occasion de son élection, fut effectivement une véritable déclaration de guerre à l’oligarchie mondialiste :
« En regardant l’ensemble de cette magnifique planète, la vérité est évidente.
« Si vous voulez la liberté, soyez fier de votre pays.
« Si vous voulez la démocratie, gardez votre souveraineté.
« Si vous voulez la paix, aimez votre nation.
« Les dirigeants sensés accordent toujours la priorité au bien de leur peuple et de leur pays.
« L’AVENIR N’APPARTIENT PAS AUX MONDIALISTES. IL APPARTIENT AUX PATRIOTES ! »
Qui a jamais, depuis 1945, proclamé cela à la face du monde ?
Et peut-on être plus explicite ?
Reste cependant à espérer que les élections US ne seront pas truquées, ou que Trump ne sera pas assassiné comme Lincoln, Garfield ou Kennedy… et par les mêmes et pour les mêmes motifs !