Quelle nation oserait se proclamer grande, solide et dynamique, sans posséder pour ciment
des familles fortes, soudées et traditionnelles ? La réponse tombe sous le sens, et la raison n’a point
besoin d’examiner cette problématique très longtemps avant de parvenir à une réponse d’une
simplicité déconcertante : aucune. Nulle nation n’est forte sans familles fortes en son cœur, de la
même manière que nul mur ne tient debout si les briques qui le composent se fragmentent,
s’écaillent, ou bien ne sont pas liées les unes avec les autres.
Dans un monde où toute conception traditionnelle tend à être évincée par les forces du
chaos, nous tâcherons d’aborder, sans prétendre à l’exhaustivité, laquelle serait impossible tant les
facteurs sont multiples, les principales menaces qui s’abattent sur le sanctuaire qu’est la famille.
Tout d’abord, l’un des facteurs les plus importants, donc dramatiques, est l’avènement du
féminisme. Ce dernier s’est effectué par étapes, chacune ayant été plus destructrice que la
précédente, car son degré de radicalité excédait celui de la vague antérieure.
Le féminisme repose sur le mythe de l’égalité, c’est-à-dire celui qui postule que les individus
sont égaux entre eux, et qu’ils ont ainsi les mêmes caractéristiques, objectifs, qualités, prérogatives
et rôles. C’est alors que le féminisme, encouragé par l’oligarchie financière, par un mensonge
éhonté, a fait croire à la femme qu’elle était l’égale de l’homme. Par conséquent, il fut dit aux
femmes qu’elles étaient sous le joug tyrannique de leur époux, et que le travail était un moyen
salutaire d’émancipation de cette tutelle.
C’est ainsi que nous observâmes un des tournants majeurs dans la destruction de la famille.
La femme s’est vue soumise au grand patronat, lui qui, dénué de tout principe hormis l’unique
recherche du profit, n’avait que faire du bien-être et de l’ordre social. Les rôles auparavant distincts,
et complémentaires, ce mot étant clef, des hommes et des femmes, n’étaient plus remplis. La
femme, incarnation par excellence de la maternité et du don de la vie, vit son travail être mis au
premier plan. Son rôle de mère, lui, fut relégué derrière ses aspirations professionnelles.
Voilà le plus grand mensonge fait aux femmes : celui de leur avoir fait croire que
l’accomplissement de leur rôle naturel de mère ne devait point être leur préoccupation première. Un
ami me disait « la femme à la maison jouit du plus grand privilège possible ». En effet, quel
bonheur est plus grand que d’avoir la sécurité, la stabilité ainsi que la chaleur d’un toit sous lequel
pouvoir s’occuper de ses enfants ?
Ensuite, la longue période de paix que l’Europe a connue, couplée à l’amélioration du niveau
de vie, a eu pour conséquence un accroissement de l’individualisme. La jouissance a remplacé le
devoir : à l’activité au sein de la sphère politique, voici l’individu qui préfère regarder des
programmes audiovisuels rivalisant de médiocrité ; à son accomplissement au sein d’une famille, le
voici qui préfère multiplier les conquêtes. D’ailleurs, le terme « conquête », afin de désigner un
coup d’un soir ou une relation frivole et par conséquent futile, est saisissant : il entretient chez
l’individu une notion positive, lequel, en pensant conquérir, croit que c’est sa force qui s’exerce. En
réalité, chaque « conquête » est une défaite, car elle multiple l’instabilité, est un nouveau facteur de
comparaison avec les partenaires précédents, et inhibe la capacité à aimer véritablement. Ce
processus est purement matérialiste, et il traite les individus comme de simples et surtout vulgaires
marchandises, tandis que les relations entre ces derniers prennent la forme de transactions. Cette
forme suprême de capitalisme corporel a engendré inéluctablement d’autres déviances toujours plus
ignobles. L’une d’elle est la mal nommée Gestation Pour Autrui, son appellation laissant supposer
une démarche altruiste, alors qu’elle est profondément anti-naturelle. Le corps n’est ni un objet ni
une marchandise.
Enfin, la destruction de la famille traditionnelle passe également par la promotion de
modèles alternatifs malsains.
Le plus visible de ces phénomènes est la promotion de l’homosexualité. Cette dernière est
absolument partout, dans les médias, à la radio, sur les réseaux sociaux, le tout repris par les
grandes entreprises durant tout un mois dans l’année.
Le lobby LGBT fait également, et c’est là le plus dangereux, sa promotion à l’école, donnant
ainsi des modèles totalement fous aux jeunes enfants encore en construction. Ce phénomène est
d’autant plus grave qu’il est en plein essor, et nous avons vu ces derniers temps pulluler à une vitesse
fulgurante des spectacles, présentés aux enfants, figurant « drag-queens » et autres fantaisies (nous
tâchons de rester polis et préférons mettre l’accent sur le fond, en nous épargnant d’aller sur le
terrain contre-productif de l’injure, bien que cette dernière ne serait point imméritée).
Il ne faut point sous-estimer le pouvoir de la propagande, telle qu’elle soit. D’ailleurs il nous
faut tout mettre en œuvre pour exercer une contre-propagande à la dégénérescence ambiante, c’està-dire une propagande qui se veut porteuse des valeurs traditionnelles qui nous sont chères.
La propagande LGBT fait évoluer la jeunesse dans un nouveau paradigme, un schéma de
pensée alternatif qui marque une rupture avec les générations précédentes, lesquelles, ayant certes
subies une propagande malsaine, n’avaient toutefois point été abreuvées avec autant de violence et
d’intensité que la génération actuelle. Il est inéluctable qu’une partie de la jeunesse succombe aux
affres multicolores, en raison de la pression permanente exercée par l’éducation dite nationale et le
fanatisme ambiant, si elle n’est point épaulée par des familles stables, c’est-à-dire traditionnelles.
La propagande à l’encontre de la famille, bien qu’elle touche son point culminant et visible à
travers la doctrine LGBT, revêt bien d’autres aspects pernicieux. En effet, outre la promotion du
sexe récréatif, que nous avons déjà mentionnée précédemment, il y a la promotion du métissage,
omniprésente dans la publicité, les livres pour enfants, les clips de musique, la télévision etc.
Enfin, l’agitation de la peur concernant le « réchauffement climatique », parfois plus
sobrement appelé « dérèglement », ou bien le problème de la surpopulation, sont également des
leviers utilisés par l’oligarchie afin d’exercer toujours plus de pression, donc de contrôle, sur la
population, l’invitant à cesser de se reproduire à travers un panel aussi grand que perfides
d’arguments infâmes et éculés. Ces leviers de contrôle mentaux reposant sur la peur et leur
fonctionnement ne seront point abordés ici, car ils nécessiteraient un article consacré.
À tous les phénomènes qui concourent à la destruction de la famille traditionnelle, s’ajoute
un facteur économique très important, qui prend à la gorge de nombreuses familles en devenir, à
travers l’inflation, la multiplicité des taxes, et bien évidemment la mise en place progressive d’une
politique anti-nataliste, laquelle, en plus de reposer sur l’ensemble des éléments cités
précédemment, jette l’opprobre sur l’école à la maison et décide de la suppression de maternités ou
d’écoles de province.
Pour conclure, dans un monde occidental où les rôles de l’homme et de la femme sont
progressivement détruits dans l’imaginaire collectif, il est urgent et nécessaire que chaque individu
prenne conscience du rôle qu’il doit jouer au sein de la famille. La femme, figure de la maternité,
doit embrasser pleinement son rôle de mère. L’homme, quant à lui, doit permettre
l’accomplissement de la femme dans son rôle maternel en lui offrant son amour, sa fidélité, sa
protection et toutes les conditions nécessaires à son épanouissement. Le modèle familial traditionnel
est la seule voie admissible si nous voulons une nation forte, composée d’individus sains.
Nous finirons notre article en citant une réflexion du célèbre penseur Julius Evola : « Il ne
fait aucun doute qu’une femme parfaitement féminine est supérieure à un homme imparfaitement
masculin, de même qu’un paysan fidèle à sa terre qui assume parfaitement sa fonction est supérieur
à un roi incapable de remplir la sienne. »
Le féminisme a tué la féminité.
EN DETRUISANT LA PAYSANNERIE, l’ENNEMI A DETRUIT LE PREMIER PILIER DE LA CIVILISATION CHRETIENNE: LA FAMILLE
Après l’hécatombe de septembre 1914, l’Etat-Major se rendit compte que pour enlever des mitrailleuses ennemies : « des nerfs d’acier et une bonne charge à la baïonnette » ne suffisait pas et que l’on mettra du temps à « couper les moustaches à Guillaume »…la paysannerie française en paiera le prix fort. En 1945 la victoire de la finance apatride et putride adoublera son laquais de Gaulle qui ramènera dans ses valises la maçonnerie, le socialisme, le communisme, c’est à dire l’anti-France, sans oublier d’ « épurer » 200 000 français (selon les sources de Vladimir Volkoff) qui nous auraient été bien utiles pour contrer la subversion communiste lors des guerres d’Indochine et d’Algérie, sans oublier Mai 68 dont l’idéologie se trouve dans la doctrine de l’Ecole de Francfort (H. Marcuse, W. Reich, Adorno) et aussi de l’Internationale Situationniste de Guy Debord et de Raoul Vaneigem.
La génération de cette époque, protagonistes d’une civilisation bimillénaire disparaîtra non d’une façon brutale comme celle des koulaks, nés de l’action bienfaisante de Piotr Stolypine (1862-1911) et du Tsar Nicolas II (1868-1918). Non, cette génération d’agriculteurs sera éliminée par un plan machiavélique dont la phase finale se déroule actuellement sous nos yeux.
Aujourd’hui, ce sont 20 000 exploitations agricoles spécialisés dans la viande bovine qui sont en état de quasi-faillite. Nos mamamouchis veulent créer les conditions de la destruction de ‘’notre’’ système agricole basé sur des exploitations ‘’familiales’’. Afin que cela passe progressivement entre les mains de multinationales en atteignant leur objectif qui est de laisser crever les paysans, et les anéantir volontairement avec des liquidations judiciaires. Leurs bourreaux leur ont d’ailleurs vendu la corde avec laquelle ils se pendent…Cette génération d’entrepreneurs s’est suicidée au sens propre comme au sens figuré, Enoch Yagoda chef du NKVD planifiera l’Holodomor, mais eu égard à ce qui se passe actuellement, il reste un enfant de cœur à côté des « assassins économiques » et de leurs méthodes , car ce totalitarisme marchand joue sur notre alimentation, et on reconnait sans peine la pestilence des Bill Gates pour Monsanto ou Dupont de Nemours pour les emballages plastic. Cette Engeance ayant déjà connu un autre criminel Luther (1483- 1546), lui- même dénoncé par Nietzsche (1844-1900) : « …si nous préférons la personne de Luther à celle de St Ignace de Loyola. Les horribles, orgueilleuses et fielleuses invectives de Luther qui ne sentait bien que s’il pouvait cracher de rage sur quelqu’un m’ont inspiré trop de dégoût. Sans doute avez-vous raison de parler des – progrès qu’il a fait réaliser à la démocratisation de l’Europe -, mais cet ennemi forcené des paysans (qui ordonnait de les abattre comme des chiens enragés et criait lui-même aux princes qu’on pouvait gagner le ciel en égorgeant et en étripant ce bétail) était bien l’un des plus involontaires promoteurs de cette démocratie ».
A) 1945 : Le nationalisme étouffé par le libéralisme et le socialisme sournois
1) Le libéralisme yankee à l’assaut de l’ « archaïsme » français
En 1947, les villes ont faim, la France doit importer pour se nourrir, les média (déjà) font porter le chapeau sur les paysans. Ils les décrivent comme des « collabos » qui auraient même profité de la guerre pour s’enrichir. François Pineau (1904-1995), social-traître aura le culot de s’écrier : « Le marché noir, c’est la Vème colonne de la France qui veut revivre ! » Et, pour mieux stigmatiser les paysans et monter la population contre ceux qui la nourrisse, des films de propagande montreront ces hommes embarqués pour la prison. L’occasion est trop belle d’exhiber leur ‘’archaïsme’’ face au modernisme yankee. On les culpabilise comme dans La soupe aux choux pour qu’ils abandonnent leurs activités de subsistance au profit d’une société d’abondance. C’est le progrès, deuxième vertu antithélogale maçonnique qui remplace l’Espérance !
Cette nouvelle inversion accusatoire aura pour effet l’extermination douce de ce monde séculaire. En effet, pour accroître la production agricole, il faudra faire table rase du passé, car la terre est cultivée selon une tradition qui n’a pas changé depuis des millénaires, ce qui implique une fidélité du fermier aux méthodes ancestrales.
2) Innovations et chamboulements
a) Innovation
En général, trois générations naissent sous le même toit (on nait sur place et on meurt entre soi). La subversion liée à la propagande du pouvoir va amener ces dilemmes :
• Faut-il l’électricité dans la ferme ?
• Faut-il agrandir ?
• Faut-il partager les terres ?
• Faut-il se soumettre aux lois « archaïques » de transmission ?
Le notaire tranchait toujours en faveur de la tradition, et nous avions sempiternellement cette cellule familiale qui était selon l’expression de l’ennemi « refermée sur elle-même » et qui semblait descendre de l’Angélus de Jean-François Millet (1814-1875).
b) Les chamboulements
L’arrivée du tracteur (plan Marshall) va en une génération diviser dans les champs le temps de travail par quatre, ce qui implique que le rapport du paysan à la terre et au temps est bouleversé, ce qui entraînera l’oubli des savoirs ancestraux et rendra obsolète l’outillage transmis de génération en génération ; matériel qui du jour au lendemain se retrouve sans finalité.
Mais l’acquisition de ce tracteur est inabordable pour les paysans, alors se produit la première brèche dans l’individualisme paysan (le chacun chez soi). Cela se traduira par la création de coopératives, autrement dit se mettre à plusieurs pour acquérir l’engin qui suscite tant de convoitises. Dès cet instant, on passera de la lenteur à la vitesse ce qui entrainera la disparition des maquignons, ferronniers, forgerons et deux millions de chevaux de labour qui seront voués à la boucherie (les pouvoirs publics encouragent alors la consommation de viande chevaline).
Au début des années 50, l’Eglise qui était toujours garante de l’ordre éternel des temps s’inquiète des impacts de la modernisation sur le monde paysan, elle mise sur la JAC (Jeunesse Agricole Catholique), cette génération prend le contrôle de toutes les organisations agricoles et adhère malheureusement à la frénésie de reconstruction du pays contenu dans le plan de Jean Monnet (1888-1975), plan de quatre ans qui vise l’augmentation de la productivité et sa planification ce qui aura pour conséquence funeste la défaite de la logique paysanne et la victoire de la rationalité économique quel qu’en soir le prix…
Ce plan prévoit de grands travaux :
• Canaux du Rhône ;
• Rizières en Camargue ;
• Canal du Languedoc ;
• Barrages (comme celui de Tignes).
3) Les engrais (empoisonnement des sols et dépendance économique)
Pour satisfaire aux lois du marché, on commencera par sélectionner des semences (qui deviendront chères pour le paysan), ensuite on utilisera le désherbant (qui est onéreux et dangereux – le Roundup de Monsanto qui sera commercialisé dès 1975 avec un actionnaire actuel connu : Bill Gates).
En 1950, il n’y avait pas de pesticides et de fongicides, par exemple pour les blés dont la hauteur était alors d’1,50 m et qui sera ramenée à 0,70m, car, avec trop d’azote, il tombe. Alors, on met des hormones pour raccourcir la tige ce qui entraîne la destruction de la flore (les coquelicots par exemple). Un pays comme la Hollande a perdu 75% de sa flore (source Claude Bourguignon, agronome). Cette situation est le résultat de la mainmise des multinationales de l’agro-alimentaire qui ne permet pas d’entretenir une agriculture pérenne. En effet, le sol abrite 80% de la biomasse vivante et ces produits tuent ce qui est à la source de la vie, une question se pose :
– Est-ce que les gens sont aussi bien nourris que cela pour être aussi malades ?
Jadis, la faune travaillait le sol et avant le « remembrement », il y avait des chemins forestiers, maintenant avec le labour intense, on maltraite les sols (il n’est plus comme une éponge, mais il est « resserré ») et lorsqu’il pleut c’est l’érosion. Depuis vingt ans, nous traversons les périodes les plus sèches connues depuis 3000 ans. On peut dire qu’on a inventé avec l’agriculture intensive les inondations avec les périodes sèches, une autre question vient à l’esprit :
– Quand cela va t’-il explosé ?
Cette intrusion dans la tradition paysanne va amener le crédit (les rendre dépendants des banquiers), le Crédit agricole et sa propagande feront croire au paysan que les machines travaillent pour lui, que c’est lui qui paye pour s’offrir le matériel : « Aides toi, l’Etat t’aidera ! ». A partir de ce moment l’Etat et la Banque vont s’immiscer dans sa comptabilité (adieu les conseils avisés du notaire) ; et ils vont inciter les plus anciens à céder leurs terres (partir en retraite) ou de se reconvertir dans une « bonne culture » au détriment des pratiques traditionnelles. Entendez, on passera d’une agriculture de subsistance où l’on vendait le superflu à une agriculture d’abondance et c’est là que se referme le piège de cette inversion satanique puisque la subsistance du paysan dépendra du superflu avec l’épée de Damoclès suspendu au-dessus de leurs têtes et, désormais l’agriculture sera soumise aux lois du marché qui n’amène que ruine.
Ce plan Monnet (monnaie ?) en écartant les anciens (agriculteurs) pervertit leurs fils (entrepreneurs) grâce au contrôle des esprits opérée par l’INRA (Institut National de la Recherche Agronomique).
QUE DIT LA RELIGION DE NOS ANCETRES?
SUBSISTANCE, ABONDANCE ET RUINE
Vers le désastre et l’Enfer…
Nous sommes arrivés au début de notre fin : la Ruine ! Pourtant celle des corps n’est rien en comparaison de celle de nos âmes. Le troisième Mystère Joyeux (la Nativité) de notre Saint-Rosaire nous enseigne, que quel que soit notre rang ou nos origines sociales nous devons avoir l’esprit de pauvreté qui se trouve dans la subsistance (notre pain quotidien), celle-ci doit provoquer chez le Chrétien, le mépris du luxe, de la cupidité : fruits empoisonnés de l’abondance.
Le pape Pie XII (1876-1958) dans son message radiophonique de Noël 1949 pour saluer l’ouverture de l’Année Sainte déclare ceci : « L’égalité entre les membres de la société consiste exclusivement en ceci : tous les hommes viennent des mains du Créateur ; ils ont été rachetés par Jésus-Christ ; ils seront jugés et récompensés ou punis par Dieu dans l’exacte mesure de leurs mérites ou démérites (Encyclique Quod Apostolici Muneris). Par conséquent, il est conforme à l’ordre établi par Dieu qu’existent dans la société humaine des gouvernants et des sujets, des maîtres et des hommes, des riches et des pauvres, des gens instruits et des ignorants, des nobles et des plébéiens, qui, unis par le lien de la charité, doivent s’entraider à atteindre leur but final, qui est le Paradis, de même que leur bien-être matériel et moral sur terre (Encyclique Quod Apostolici Muneris). En ce qui concerne les biens de la terre, non seulement l’homme en a l’usage au même titre que les animaux, mais il a aussi le droit d’en avoir la possession définitive ; cela vaut non seulement pour les biens consommables, mais aussi pour les autres (Encyclique Rerum Novarum 1. La propriété privée est un droit naturel inaliénable, qu’elle soit le fruit, soit du travail ou de l’industrie, soit de la cession ou du don entre personnes, et chacun peut disposer raisonnablement de ses biens à volonté (Encyclique Rerum Novarum). Pour apaiser le conflit entre riches et pauvres, il est nécessaire de distinguer entre la justice et la charité. »
Notre-Seigneur Jésus-Christ naquit à Bethléem (la maison du pain) dans la campagne et dans un endroit plus que champêtre, une étable ! Ses premiers adorateurs furent d’abord son père putatif, Saint Joseph et sa Sainte Mère, la Vierge Marie, puis vinrent des gens humbles, des bergers qui furent avertis, il est vrai par les saints anges. Mille cinq cents ans plus tard Saint Ignace de Loyola (1491-1556) honorera cette piété. Dans Le principe et fondement de ses Exercices Spirituels, on y médite cette vérité fondamentale : « L’homme est créé pour louer, honorer et servir Dieu, et par ce moyen sauver son âme. »
Cette Sainte Famille de Nazareth est la figure de la famille chrétienne unie par le sacrement du mariage (Encyclique Casti Connubii de Pie XI du 31/12/1930) – est l’exemple par excellence d’une cellule divinement ordonnée à la restauration de la Vie et de l’Ordre surnaturel, la famille chrétienne s’intègre dans le Corps Mystique du Christ.
Les paysans d’antan, ceux d’avant 1945 vivaient dans la subsistance, depuis se sont succédés des entrepreneurs qui ont succombé aux sirènes du libéralisme et d’un collectivisme qui ne dit pas son nom…le spirituel ayant disparu au profit du matériel, nous sommes tombés dans une société d’abondance. Cette troisième génération qui connait dans sa profession un taux de suicide élevé est co-responsable avec les multinationales de l’agro-alimentaire (Monsanto) de l’empoisonnement des sols, de l’air, des eaux, des plantes, des animaux et des hommes. Pourtant leurs ancêtres étaient des gens nobles, fiers, durs à la tâche qui faisaient la richesse de la France, Sully ministre d’Henri IV ne disait-il pas : « Labourage et pâturage sont les deux mamelles de la France. »
A leur décharge les meilleurs de leurs ancêtres furent sacrifiés pour servir la Révolution instaurée depuis 1792 (conscription) qui continue à nous détruire corps et âme, ses agents avaient planifié la guerre de 1914-1918 pour atteindre la première étape d’un plan machiavélique en vue d’une dominance mondiale pour servir les intérêts de ceux qui ont rejeté la Croix, « Folie pour les païens et scandale pour les Juifs » …
Pour le Dr. Alexis Carrell, prix Nobel de médecine en 1912 qui écrit en p. 271 dans L’homme cet Inconnu, la dégénérescence actuelle peut s’expliquer « […]la civilisation moderne a donné à beaucoup d’êtres humains de mauvaise qualité la possibilité de vivre. Eux et leurs descendants contribuent par une large part à l’affaiblissement des races blanches. Peut-être faudra-t-il renoncer à cette forme artificielle de santé, et cultiver seulement celle qui vient de l’excellence des fonctions adaptives et de la résistance naturelle. »
Mais à leur décharge, que peuvent faire des gens simples qui vont être les acteurs de la transition d’une société de subsistance à une société d’abondance et qui sont pris en tenaille par le libéralisme yankee (Plan Marschall) et le « soviétisme sournois » ? Les agents du socialisme s’attaquèrent à la propriété privée par le Remembrement, et le monde séculaire paysan fut soumis à une honteuse propagande de dénigrement dès 1947, les faisant passer pour des ‘’collabos’’ et des profiteurs qui s’étaient enrichis grâce au ‘’Marché noir’’…
Chrétiens, n’oubliez jamais que le travail de la terre fait partie des « artes possessivae », qui sont la maîtrise de l’agriculture, de l’industrie et de l’administration. N’est-il pas, par excellence générateur de santé physique et morale ? –, parce que l’existence de l’homme ne se trouve pas dans le dualisme de Descartes, victime du nominalisme mais dans son essence hylémorphique (avec un corps et une âme), le corps entier étant le substratum de l’âme.
Cette terre dont nous sommes issus nous colle aux guêtres, elle est celle du Pays Réel, et réunit les familles qui forment la Patrie. Elle n’est pas celle des Idéaux de la Révolution ‘’dite’’ Française. Elle est celle du chef Vendéen François Athanase Charrette de la Contrie (1763-1796) : « Notre Patrie à nous, c’est nos villages, nos autels, nos tombeaux, tout ce que nos pères ont aimé devant nous. Notre Patrie, c’est notre Foi, notre Terre, notre Roi. Mais leur Patrie à eux, qu’est-ce que c’est ? Vous le comprenez-vous ? Ils veulent détruire les coutumes, l’ordre, la tradition. Alors, qu’est-ce que cette Patrie narguante du passé, sans fidélité, sans amour ? Cette Patrie de billebaude et d’irréligion ? Beau discours, n’est-ce ? Pour eux, la Patrie semble n’être qu’une idée ; pour nous elle est une terre. Ils l’ont dans le cerveau ; nous, nous l’avons sous les pieds, c’est plus solide ! Et il est vieux comme le Diab’ leur monde qu’ils disent nouveau et qu’ils veulent fonder dans l’absence de Dieu… Vieux comme le Diab’… on nous dit que nous sommes les suppôts des vieilles superstitions…Faut rire ! Mais en face de ces démons qui renaissent de siècle en siècle, sommes une jeunesse, Messieurs ! Sommes la jeunesse de Dieu. La jeunesse de fidélité ! Et cette jeunesse veut préserver, pour elle et pour ses fils, la créance humaine, la liberté de l’homme intérieur. »
Ils ont prétendu libérer les individus des déterminismes passés, pour les précipiter dans les bras du capitalisme… Pas sûr qu’on y gagne au change effectivement…
Lire « Les damnés de la terre », d’Alexis Arette (1996)
DEMOCRATIES POURRIES / Les sodomites et autres pédophiles sont portés au pouvoir dans l’occident des banksters grâce à la GLUA* . Dans l’hexagone de Macaron le vice et la corruption sont promus par le truchement des ambassades noyautées par les FF .: ! L’infiltration de la Géorgie chrétienne par les maçons parisiens invertis Manu et Attal, les Juives sionistes américaines Madeleine Korbel alias Allbright et Victoria Noland pour le compte de l’Otan via le Juif de Kiev Volodimyr Zelensky en est un parfait exemple !
*Grande Loge Unie d’Angleterre
Voir ci-dessous l’article sur Tbilissi :
https://ge.ambafrance.org/Le-17-mai-2022-journee-internationale-de-la-lutte-contre-l-homophobie-et-la