Bientôt tous en prison avec la nouvelle proposition de loi contre les infractions à caractère raciste ou antisémite ?
Le 6 mars, l’Assemblée dite nationale a adopté en première lecture la proposition de loi « visant à renforcer la réponse pénale contre les infractions à caractère raciste ou antisémite ».
Parmi les nouvelles dispositions introduites par ce texte, voici les deux plus inquiétantes :
- La possibilité de délivrer des mandats d’arrêts ou de dépôts contre un prévenu condamné à une peine de prison d’au moins un an ferme pour apologie de crimes contre l’humanité ou de guerre ou pour négationnisme ou encore pour injures ou diffamation publique à caractère raciste, antisémite ou discriminatoire. Jusqu’à présent, ces mesures ne s’appliquent pas pour les délits de presse.
- La transformation en délit des contraventions actuellement prévues en matière de provocation, de diffamation et d’injure non publiques à caractère raciste ou discriminatoire. Cela concernera également les propos tenus sur une messagerie privée.
Ainsi, l’arsenal législatif dont disposent nos maîtres, afin de bâillonner ceux qui refusent de voir mourir leur peuple, vient encore de s’enrichir de deux nouvelles armes de destruction massive.
Les Lois régissant la liberté d’expression appartiennent, traditionnellement, au domaine des textes réprimant les infractions à caractère politique.
Cela impliquait une impossibilité pour les tribunaux de délivrer des mandats d’arrêt ou de dépôt sur l’audience, l’exécution des condamnations qu’ils pouvaient prononcer, attentatoires par leur nature à la liberté d’expression, étant confiée à un Juge indépendant, celui de l’application des peines.
Il n’en est plus rien et maintenant, toucher au dogme sacré de l’antiracisme imposé pourra vous envoyer directement, par un mandat d’arrêt ou de dépôt, derrière les barreaux avant que vous puissiez avoir eu l’opportunité d’exercer le moindre recours.
Ainsi, les tribunaux qui auront condamné pour un banal autocollant à de lourdes peines de prison pourront aussi priver celui qui aura eu la tragique idée de l’apposer de la possibilité d’exercer librement son droit d’appel…
Rappelons que l’impossibilité de condamner avec mandat de dépôt, pour les délits se rapportant à l’exercice de la liberté d’expression, remonte au refus de l’Eglise de faire couler le sang et au refus de l’Etat royal de juger en matière de blasphème : ainsi était née la dualité entre le tribunal de l’Inquisition qui prononçait la peine contre le blasphémateur et le bras séculier royal qui appréciait souverainement l’opportunité de l’exécuter.
Plus de distinction entre temporel et spirituel avec leur religion de l’antiracisme obligatoire, venue de lointaines contrées soumises à l’obscurantisme infernal d’un dieu jaloux et totalitaire.
Dans le même sens, après la police de la pensée, voici maintenant la police des arrières pensées : le discours « de haine », c’est à dire l’expression de la légitime colère de ce peuple qui ne veut pas mourir, est frappé d’interdiction depuis déjà plus d’un demi-siècle par tout un arsenal antiraciste, anti-revisionniste… mais maintenant, c’est la provocation non publique, l’injure ou la diffamation dans le cercle privé, qui vont devenir des délits et non plus des contraventions.
Rappelons en effet que les simples contraventions, qui sanctionnent des comportements, peut-être répréhensibles mais dépourvus d’élément intentionnel de la part de ceux qui les commettent, ne peuvent normalement être punies que d’amendes.
Ce n’est plus l’expression d’une opinion interdite qui sera désormais réprimée par une peine de prison, mais le simple fait de concevoir une telle opinion, de l’évoquer dans un cercle privé, familial ou amical, sans intention de la diffuser. Cette extension est à nouveau révélatrice du caractère totalitaire de cette obligation de soumission antiraciste, qui ne respecte même plus l’intimité de chacun et essaie de faire irruption au plus profond de nos consciences pour venir y imposer ses oukases.
Nos députés n’ont même pas eu la décence de refuser un tel assassinat de nos libertés les plus fondamentales.
Leur prétendue démocratie n’est qu’un leurre, un masque destiné à dissimuler la disparition de l’état de droit au profit de l’état de soumission imposée.
C’est le gouvernement du peuple des électeurs par le peuple des élus, dans l’intérêt du peuple qui les a fait élire…
Je m’insurge ( et le mot est bien faible) contre toutes ces lois, visant à criminaliser toute opinion et à déshumaniser leurs auteurs.
Toutes ces lois dites » antiracistes » sont des lois racistes et des impostures, et sont à l’opposé de tout combat pour l’égalité humaine et les droits humains, car elles visent en fait à criminaliser et à faire taire toutes critiques à l’égard d’une idéologie raciste et supremaciste.
S’ils agissent ainsi, c’est qu’ils ne maîtrisent plus rien, sont complètement dépassés par les réseaux sociaux et n’ont plus que la violence brutale comme moyen de garder le pouvoir. Notre victoire est proche !!!
Ils maîtrisent tout, au contraire. Toutes les décisions qu’ils avaient besoin de prendre, ils les ont déjà prises. Les mesures qu’ils n’avaient pas encore prises, ça y est, c’est fait. Les réseaux sociaux leur rendent désormais le meilleur service : non seulement ils les surveillent, les passent au crible et au scanner, mais grâce à eux, ils repèrent le sous-citoyen « d’ultra-droite » chez qui ils vont ensuite appuyer sur la sonnette à six heures du matin.
La violence ? Mais c’est depuis le début ! Ils n’ont jamais eu que la violence brutale pour parvenir au pouvoir et pour s’y maintenir, depuis 1789 jusqu’à aujourd’hui en passant par le 06 février 34.
Vous parlez de victoire ? il va falloir aller la chercher ! A force de tendre la joue gauche et de ne faire que prendre des baffes dans la gueule, nous sommes presque morts aujourd’hui, et la médecine n’a rien d’autre à apporter aux moribonds que ses « soins palliatifs »… en attendant l’euthanasie prochaine qu’ils ont si opportunément renommée – avec cette violence dont la brutalité est aussi souvent pyschologique que physique – « fin de vie ».
Car on est obligé de le reconnaître : en plus d’être poétique, on ne pouvait pas trouver terme mieux approprié pour aller avec notre France elle-même finissante !
Avant d entrer en guerre on nettoie derrière soi…….Il s’agit simplement de neutraliser toute contestation future afin d’avoir les mains libres le jour ou s’engagera la grande boucherie. Donc les forces judéo-maconniques vont se montrer de plus en plus féroce au fur et à mesure de la marche en avant vers la guerre …Ils controlent absolument tout mais maintenant en plus ils ne veulent plus de voix dissonnantent .
Nous subissons des échecs lamentables depuis 1789 car nous trainons comme intellectuels des Maurassiens d inaction Française qui mettent la charrue avant les boeufs. Comprenez par là des bourgeois citadins ergotant sur la manière de redresser la France une fois aux affraires entre deux messes latines…La limite cérébrale de ces gens la est consternante car faisant l’impasse sur la prise de pouvoir par la force ou plutot en la relèguant au second plan ils sont d’une crasse stupidité: C’est le problème principal qu’avaient parfaitement compris Blanqui et la commune de Paris!!!!!!!!!!!!!
Les rouges cherchent le pouvoir avant toute chose mais l’intélo de droite s’imagine avant tout à remettre la France en ordre…… donc le rouge triomphe régulièrement.