Place Saint-Augustin à Paris, des commandos de l’OJC « Organisation Juive de Combat » (paravent ponctuel de la milice juive Betar) attaquent à coups de barres de fer des militants de l’Œuvre française qui se préparent à participer au défilé traditionnel et à rendre hommage à Jeanne d’Arc.
Ils font une quinzaine de blessés, deux étant très grièvement atteints. Quatre des personnes agressées seront hospitalisées dont notre ami et directeur de Jeune Nation, Yvan Benedetti, frappé à la tête et alors qu’il est au sol, qui en conservera quelques cicatrices ; et un septuagénaire restera plusieurs semaines dans le coma.
Pierre Sidos, chef de l’Œuvre française, en réchappe sans égratignure mais ne devant son salut qu’à sa présence d’esprit de glisser sa main dans son veston vers son insigne : ses agresseurs le croyant alors armé, détalent !
Dix membres de l’OJC sont interpellés par la police. Le soir même, Jean-Pierre Pierre-Bloch intervient en leur faveur auprès de la police judiciaire.
Malgré tout, des poursuites sont engagées contre quelques agresseurs. Certaines sont abandonnées avec la mention suivante du juge d’instruction : « Instruction inopportune ».
D’autres agresseurs sont jugés non sans que des pressions venues du plus haut niveau politique se soient exercées sur le parquet.
Au total, seuls trois seront condamnés (sur la cinquantaine de membres du commando) à deux ans de prison avec sursis dont Meyer Habib (le futur député…) qui avait quand même fui en Israël pour échapper aux pandores, et qui finalement ne remboursera jamais aux Fonds de garantie pour l’indemnisation des victimes des actes de terrorisme les sommes versées aux blessés du guet-apens…
Pour aller plus loin :
En France, comme en Palestine, même colons, même combat de libération (avec l’extrait du documentaire de Philippe Girard détaillant le parcours de Thierry « Pinhas » Attali, membre du Betar qui a participé au guet-apens du 8 mai et raconte le déroulement de l’agression par le commando juif)
La kolossale délicatesse du député Habib
ce sont des démons je suis algerien j’ai connu la france des annés soixante une france magique feérique de valeurs gerare philipe
Très simple : renvoyons-leur l’ascenseur !
LE BETAR . LEVIATHAN ET LE JUDENSTAAT DU PS : cette attaque a été rapportée dans le film de Stephane Girard LE DESCENDANT , passé plusieurs fois à la TV israélienne de France … Ce documentaire ignoble et dithyrambique de la terreur juive a Paris à la Gloire d’un chef du Betar , montre en toute impunité le rôle joué par Robert Badinter dans la preparation et la couverture judiciaire du PS de ces attaques hyperviolente à la barre de fer des milices du Betar .. le Film montre le ministre de la PEUR , de Francois Mitterand justifier et assumer ces » descentes » des Pasadarans sionistes du Betar et de ses succursales , dans les rues de Paris pour traquer et massacrer les jeunes militants gaulois nationalistes du FN et de l’œuvre française , en toute impunité et à la Gloire de la DémonKratie du Judenstaat du gouvernement du PS et de l’UMPS et de leurs polices … Le Héros du film , c’est un Kapo et un tortionnaire juif algérien , membre du Betar puis de l’armée israélienne et qui se prend pour LE DESCENDANT de Moise et de Josué et qui est revenu , après une carrière de tueur d’enfants palestiniens comme soldat de Tsahal , dans la Ville de Chirac et de Hidalgo , sur les lieux parisiens où il cassait les os et les fémurs des pauvres étudiants nationaliste gaulois , abandonnés de tous , qui venaient honorer la mémoire de Jeanne d’Arc dans un monde de repentants , de mutants , de rampants et de mitterands … Tous est dans ce Film : le » Descendant » de Stephane Girard ,avec les sourires vicieux et répugnants de Robert Badinter et avec les scènes du massacre documentées et filmées par les Bourreaux et les miliciens israéliens eux -mêmes
Je répète : renvoyons-leur l’ascenseur !
Ces gens entendent transformer l’Occident à leur image, faire table rase de son passé dans tous les domaines matériels et immatériels, pour qu’il soit à leur botte. C’est ce qu’ils appellent dans leurs médias les « valeurs occidentales », qui n’ont en fait rien d’occidental.