Il y a quelque chose d’obscur, presque d’inexorable dans ce qui s’est joué jeudi soir à Poitiers. Comme un avertissement, un murmure sombre venu troubler le sommeil des âmes endormies. Autrefois paisible, à l’abri du tumulte de la capitale, cette vieille cité française, là où les pierres gardent encore la mémoire des siècles, se trouve submergée par la violence brute et impitoyable du monde moderne.
Il est 22h45 ce 31 octobre quand des détonations éclatent, traversant le calme d’une rue où s’étaient attardés, pensait-on, les derniers flâneurs. Devant un restaurant, en plein cœur de Poitiers, une fusillade éclate, opposant des bandes rivales. Une rixe massive où plusieurs centaines de personnes se retrouvent piégées dans une danse de violence. Ce n’est plus seulement l’image d’une querelle entre petits voyous. Non, c’est bien plus terrible, c’est une bataille acharnée pour le contrôle du narcotrafic, qui s’installe ici même, dans une ville que nous pensions à jamais protégée. Cinq personnes sont gravement blessées, trois adolescents parmi elles. Et c’est un jeune garçon de quinze ans, fauché en pleine jeunesse, qui git là, touché d’une balle à la tête. Voilà Poitiers, ville de France, qui découvre soudain la froideur et l’impitoyable cruauté de cette guerre moderne.
Le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, a évoqué une « confrontation entre bandes rivales » comme s’il s’agissait d’un événement ordinaire dans la chronique des faits divers. Mais cette description clinique masque mal une réalité plus sombre et plus tragique : c’est l’âme même de la nation qui vacille, tandis que la violence, venue des marges, gagne le cœur même de notre pays.
Ce n’est pas seulement un affrontement ; c’est un combat que nous menons, non pas contre des hommes, mais contre un esprit de déchéance, un relâchement moral qui semble vouloir engloutir tout ce que nous avons aimé, tout ce que nos pères ont construit de leurs mains, de leur sueur. Comment en sommes-nous arrivés là ? À voir nos villes transformées en terrains de guerre, nos enfants pris dans la tourmente d’un monde qui a oublié jusqu’au sens même du bien et du mal.
Il n’y a pas de solution simple, et pourtant il faut agir. Non pas en multipliant les lois et les discours vides, mais en reprenant pied, en retrouvant le courage de restaurer ce qui a été abîmé. Cela commence par la force de l’esprit, par la volonté de ne pas céder, de ne pas détourner le regard. Nous devons refonder l’ordre, redonner à la justice son sens premier, implacable face aux ténèbres.
Il est temps d’être intraitables, de ne pas avoir peur d’affronter cette ombre qui s’étend. Si Poitiers nous apprend quelque chose, c’est bien que chaque coin de notre terre mérite d’être défendu, que chaque âme mérite la paix, et que chaque village, chaque ville, est une part du trésor que nous devons préserver envers et contre tout.
Tant qu ils deverseront des tombereaux d argent public ce genre d incident se tassera toujours…
Mais si demain la manne publique s arrete c est la fin pour le systeme.
Seule option possible pour survivre et sauver ses meubles: utiliser les attardes de droite pour l union sacre « type 1914 » et mettre au pas la racaille(les noix et les arbres…). Evidemment la vieille droite maurassienne « dans l interet national » dira oui… Le bourgeois est traitre par nature.
C est a ce moment la qu il faudra demasquer les traitres dans nos rangs et encourager a la fracture raciale de la population en deux blocs irreconciliables comme en irlande du nord.
Lorsque les deux blocs seront face a face et nos rangs bien purges en interne avec plein de creves la faim dans nos rues…les options seront nombreuses …
« Le bourgeois est traitre par nature. « comme le dit si bien Léon Degrelle : »Le bourgeois comprend, lorsque ayant la tête dans la lunette de la guillotine, on va le raccourcir de vingt centimètres. »