L’organisation des Journées de retrait de l’école (JRE) subit des nombreuses défections.
Farida Belghoul s’était présentée comme la chef de file des JRE, au sein de la Fédération autonome des parents engagés et courageux (FAPEC)
Opportuniste ou cheval de Troie : de quoi se mêle-t-elle ?
Comme toujours dans la République des forces d’occupation en France, certains mouvements qui défendent les valeurs et l’identité de la France ont tendance à se laisser infiltrer par des communautaristes étrangers qui n’ont rien à faire chez nous.
Les organisateurs de la résistance aux lois scélérates contre les familles et l’identité des enfants auraient pourtant dû se méfier. Mais encore leur aurait-il fallu s’informer plutôt que de faire preuve d’angélisme tout content qu’ils furent en voyant venir vers eux de la « diversité » prétendant leur apporter rien d’autre qu’un soutien désintéressé… et prendre la direction des opérations.
En effet, cette Farida-ci avait été à l’origine de Convergence 1984, qui a organisé la deuxième « Marche pour l’égalité et contre le racisme ». Elle affirmera alors tout simplement « le Front national, c’est un problème de toute la société française [sic] et pas simplement le problème des enfants issus de l’immigration ».
Demander l’égalité, alors qu’elle existait, revenait à réclamer un traitement qui rendrait certains « plus égaux » que les Français : une sorte de discrimination dite positive, comme celle qui a fait entrer les minorités ethniques à l’université aux États-Unis au détriment des Blancs… et a fait baisser le QI moyen dans les facs… de dix points (seul l’impact de la télévision étant retenu dans les rapports politiquement conformes sur la question).
http://www.youtube.com/watch?v=NvMNf0Po1wY
Accorder plus de droits aux « Beurs » et autres allogènes qu’aux Français
Dans un élan communautariste victimaire, tourné vers les « Beurs » qu’elle souhaitait représenter, elle avait, en vain, réclamé qu’on nommât des professeurs pour prendre en charge ceux qui sortaient de l’école sans diplôme, comme si cela allait changer leur mentalité ou leur propension à étudier. D’ailleurs qui aurait voulu aller officier dans ces familles, sinon des « altermondialistes » gauchistes ethno-masochistes et des « grands frères » allogènes ?
Précisément, avec le « Projet REID », elle demanda encore plus de moyens d’enseignement supplémentaires pour les enfants des colons en France, oubliant qu’ils avaient déjà accès gratuitement à l’école, où, avec les mêmes moyens que les autres (stylos, chaises, tables, professeurs, salles de classe, manuels, étude, etc.), la raison la plus évidente de leur échec résidait dans leur tendance à rejeter en bloc tout ce qui leur était enseigné, faisant entrer à l’école des mœurs incompatibles avec les nôtres et empêchant les jeunes Français d’étudier correctement dans cette ambiance doublement mixte et dénaturée ! D’ailleurs, elle souhaitait que les cours supplémentaires demandés soient individuels et aient lieu… au domicile des élèves concernés, soit sans aucun contrôle et hors des classes devenues invivables autant du fait du laxisme soixante-huitard que du maintien à l’école d’élèves immigrés au comportement incompatible avec l’apprentissage d’un groupe de Français et sur lesquels ils déteignent gravement.
Quant au fait de devenir délinquants ou criminels faute de diplômes, là encore, les employeurs se fient au comportement avéré des candidats à l’embauche et si les parents d’enfants difficiles leur expliquaient les choses clairement, doublaient les punitions scolaires quand il y en a, proposant un coup de pied dans le fondement à la prochaine occasion, les casiers judiciaires seraient moins chargés, les vocations pour apprendre un métier remplaçant celles de tremper dans le premier trafic possible.
Puis, elle s’est ralliée à ceux qui ont dénoncé – à juste titre : il aurait fallu être aveugle pour ne pas le constater – la mainmise de groupes du judaïsme politique sur les mouvements « antiracistes », dans une sorte de compétition des marchands de vent (en quête de subventions publiques), pour lequel les populations qui ne laissent que le désert derrière elles semblent avoir un goût particulièrement prononcé.
Ce faisant, plus que de dénoncer l’acharnement antifrançais de toutes ces organisations de prédation, elle avait regretté qu’on ne lui ait pas accordé de fonds, mais n’avait toujours pas admis les contradictions de son discours, réclamant, au nom de « l’égalité »… plus de droits pour son groupe ethnique. Elle n’a pas non plus souligné le caractère mensonger d’un prétendu racisme envers ceux qui avaient tout obtenu gratuitement, mais qui se plaignaient de n’en recevoir jamais suffisamment alors que sans eux, nous n’aurions aucun déficit public, dette, ni appauvrissement accéléré de notre pays… sans parler des questions de délinquance et de criminalité, les problèmes sanitaires et de logements, qui ajoutent le lent génocide au rapide remplacement de population !
Elle attrape au bond une nouvelle cause mais continue d’habiter la maison de feue son ex-pacsée
Alors, la révélation que cette soudaine défenseuse de la famille a formé une paire avec une dame pour des motifs qui restent obscurs (lesbianisme ? Profit financier ? Les deux ? Autre ?) n’a rien de plus étonnant que sa mue depuis le communautarisme de colonisation de la France – et la tentative de prise du pouvoir sous-jacente – vers le rôle d’organisatrice des JRE (lui permettant de prendre la direction d’une forme de résistance à l’occupant qui nous a pourtant imposé sa présence, à elle), certains vendredis (ce qui permet, accessoirement, aux familles islamiques d’envoyer tout le monde à la mosquée sans avoir à s’en justifier ensuite ?).
Certes, les ridiculissimes médiats du Système, pas à une contradiction près, la classent désormais à « l’extrême droite », alors qu’elle est marquée tant par le marxisme que par le communautarisme de ceux qui colonisent notre pays (mais se disent « victimes ») et font ainsi le jeu de l’occupant au pouvoir.
Tout ça parce que Farida Belghoul a désormais épousé une meilleure cause en s’opposant aux saletés que le sárkösiste Luc Châtel, puis le socialiste de la Place des Vosges Vincent Peillon et enfin sa collègue marocaine Najat Belkacem ont décidé d’enseigner aux enfants en France. Mais cette résistante partielle à la République dégénérative n’a jamais, à notre connaissance, renié cette attitude mesquine de l’envahisseur perpétuellement en train de quémander et qui, non satisfait d’être illégitimement nourrit aux frais des Français (le riz offert aux « migrants » n’est pas assez épicé…), geint encore de ne pas être privilégié par l’exercice de droits exorbitants pour que ses enfants mal élevés qui utilisent l’école comme un défouloir anarchique puissent avoir un serviteur-précepteur corvéable et gratuit à domicile, au nom de… « l’égalité ».
Le nom de nombreuses associations membres du mouvement collectif FAPEC apparaissent désormais dans une lettre dans laquelle est annoncé leur démission « pour divergences d’appréciation de certains principes fondamentaux de la famille traditionnelle et pour incompatibilité de caractère ».
Au vu, tant des antécédents les plus anciens que des informations diffusées plus récemment, pouvait-il en aller autrement, entre ceux qui croient à l’égalité et aux vertus de l’école de cette République et les occupants qui les utilisent comme des outils de notre asservissement total à nous, les Français, se disputant l’exercice du pouvoir que le Système nous a confisqué ?
Cela me rassure de voir que nous sommes sur la meme longueurbd ondes a propos de ces cheval de troie.